Liberté église Gallicane

également libres face à l’État. La laïcité évolue dans la continuité de la construction et de l’évolution de la République et affirme la liberté des consciences, qui permet à chaque citoyen le choix de ses convictions religieuses. C’est en effet une notion très ancienne qui apparaît déjà avant 1905 et la loi du 9 décembre 1905 qui établit une séparation entre les Églises et l’État. C’est principalement l’action des républicains en 1879 et 1905, soutenus par une majorité électorale pourtant massivement

les nobles voulant leurs liberté sur l'exigence d'un ordre rigoureux du roi. -L'échec de la réaction nobiliaire: noble n'ont pas obtenu leur indépendance. -L'effervescence religieuse est aussi une grande caractéristique du siècle avec: le courant catholique qui s'affirme avec la Contre-réforme. Effectué par les jésuites (fondé au XVIe siècle par Ignace de Loyola). -Les jésuites sont fondé sur une doctrine théologique: le molinisme exaltant la confiance en la liberté de l'homme qui par sa volonté

siècle débute véritablement en 1715, à la mort de LouisXIV, et s'étend jusqu'à la Révolution française. De la monarchie de droit divin à la république, le chemin ne fût pas aisé mais fut préparé par les philisophes et penseurs des Lumières. II- Les libertés anglaises, un nouveaux modèle politique. 1. Un roi et un parlement. A partir du XIIIéme siècle, la monarchie anglaise incarne progressivement un modèle parlementaire de gouvernement: la monarchie tempérée. Celle-ci est fondée sur la collaboration

des François ». Ce livre a été écrit au XVIIe siècle et publié en 1607. L’écrivain est Guy Coquille (1523-1603). C’était un avocat, qui fut ensuite procureur. Il est considéré comme un grand théoricien de la monarchie absolue ainsi que de l’Eglise gallicane. Il a été député aux Etats généraux également. Le présent texte a paru après sa mort. Ce document porte sur le droit et le pouvoir à partir de la famille des Bourbons, dès la fin du XVIe siècle. Guy Coquille nous y donne les attributions du roi

sans dogme, sans église, essentiellement dominée par la morale. Il s'attaque aux différentes sectes, à l'intolérence, au fanatisme, au clergé et aux superstitions léguées, selon lui, par l'Écriture de l'Église. 1. critique du jansénisme (doctrine religieuse. Les jansénistes considèrent que la grâce n'est pas donnée à tous et que J-C n'est venu sauver qu'un petit nombre d'élus. Pour eux, il n'y a pas de liberté humaine): À l'époque, le Parlement de Paris, à tendance gallicane et janséniste, intervient

aux institutions de l’Ancien Régime. Il prend l’administration de Napoléon telle qu’elle est. Dans le texte il y a une contradiction très forte entre le préambule assez réactionnaire où il affirme sa légitimité divine et les libertés publiques accordées : égalité, liberté de presse, de religion, individuelle, inviolabilité de la propriété, amnistie politique, abolition de la conscription. La religion catholique redevient la religion d’Etat du royaume Le pouvoir exécutif : Le roi=inviolable,

d’origine noble = creuse un fossé entre Haut clergé et bas clergé (curés de petite paroisse du TE). Le roi s’assure la dépendance de ces dernier au pouvoir royal, plus d’assemblée ecclésiastiques sans son accord, église soumise au pouvoir royal, on parle d’église gallicane. Église gallicane : gallicanisme est une doctrine religieuse et politique qui cherche à promouvoir l’organisation de l’église catholique en France de façon autonome par rapport au pape, l’inverse s’appelle ultramontanisme. Le développement

socialistes et des démocrates-chrétiens. Ils ont été d'accord de déclarer que la France était une république laïque. De toute évidence, chacun des partis avait son idée de la laïcité et ils l'ont expliquée. Pour les socialistes, c'était la séparation des Eglises et de l'Etat. Les démocrates-chétiens, au nom desquels Maurice Schumann (1911-1998) a parlé, se référaient pour leur part à une déclaration des cardinaux et archevêques de France. Elle disait que le mot laïcité avait deux sens qui étaient inacceptables

Diandra Sadjania Matthieu Saunal Exposé : La Laïcité La Loi de 1905, aboutissement d'un combat anticlérical ou création d'un milieu permettant la liberté de tous les cultes ? Depuis le moyen âge, la question des relations entre pouvoirs temporels et spirituels se pose entre les souverains et l'Eglise, particulièrement l'Eglise catholique romaine. Ainsi, avec la Théorie des deux glaives, le pape Boniface VIII entend imposer l'idée que le pouvoir temporel de l'Eglise doit s'imposer au pouvoir

Dangereuse, car ceux qui prétendent détenir la volonté peuvent prendre le pouvoir. Il n’y a donc pas d’intermédiaire. Cette théorie du droit divin direct a été jugé tellement importante que lors des Etats Généraux en 1614. En 1682, elle a été adoptée. Eglise toujours très réticente à l’égard de cette théorie, c’est une originalité française. Cela a fortifié la monarchie, qui a essayé d’affecter mais sans succès. On peut évoquer le sacre qui n’est pas un sacrement, c’est une cérémonie par l’évêque, qui