Libre-pensée

devoir, on obéit en quelque sorte à soit même dans la mesure où l’on est d’accord avec l’ordre donné. On choisit d’obéir parce que notre vision du juste et du raisonnable va dans le sens de l’ordre reçu. L’individu n’obéit à un ordre, seulement s’il pense cet ordre juste ou raisonnable. Pour obéir à une loi il nous faut donc penser que cette loi est telle que nous voudrions qu’elle soit, c’est-à-dire, vérité et justice. Montesquieu énonce : « Platon remerciait le ciel de ce qu’il était né du temps

abstenir, de vivre sans une personne qui a des disciples et qui leur sert de modèle, de quelqu'un qui a le pouvoir de décider? A vrai dire ce qui différencie l'homme de l'animal c'est que l'homme, lui, a la liberté de choisir, c'est le principe même du libre arbitre. Mais toutes ces notions on été inculquer chez l'homme par un maître. Il en existe deux formes, celui qui soumis sont disciple parce qu'il croit détenir le droit de le priver de liberté, en le réduisant à l'esclavage le privant alors de toute

détermine sa vision de la vie et de la mort, il a été conditionné par ses parents à penser comme eux. Il serait donc possible d’amener le fait que le père d’Eichmann ayant lui-même servi pour l’armée aurait conditionné son fils à appliquer le même mode de pensée que les soldats dès son plus jeune âge. Affirmer qu’Eichmann aurait été influencé par toute la propagande et le totalitarisme nazis serait logique, car comme Watson l’a dit d’après le principe béhavioriste :  « Donnez-moi une douzaine d’enfants en

prépondérant dans la manière dont la pensée juridique française interpretera les principes du constitutionnalisme moderne. Aujourd’hui, il est possible de définir le pouvoir constituant comme la ou les autorités (personnes, institutions, etc) chargés d’écrire la Constitution. La nature de cette autorité est double : elle est politique, donc libre, et juridique, soit potentiellement contrainte. On peut dès lord se demander dans quelle mesure ce pouvoir dit constituant est libre de rédiger ce qu’il lui plaît

préconçue nous empêche d’être libre et de consulter notre raison, afin d’avoir une réflexion personnelle. Ce sont des obstacles à la vérité, car ils permettent à des gens de vivre plus heureux dans leur ignorance et leurs illusions. Se complaire dans l’ignorance est encore plus condamnable que d’accepter des idées reçues. Cela ne justifie pas la paresse intellectuelle, qui s’oppose en tout point à la réflexion philosophique. Il n’y a plus de liberté de penser, car la pensée reçue étant immédiatement

l’humanité. Un de ces questions agite les esprits il y a déjà très longtemps; est-ce que l’homme est un être libre dans sa nature? Cette question nous intéresse parce qu’il est lié directement à la question du bonheur. Bien sûr, seule la liberté ne permet pas atteindre le bonheur, mais un prisonnier n’est certainement pas heureux. C’est pourquoi nous voulons tant apprendre si l’on est libre ou non. Dans le texte qui suit, on va tenter de répondre à cette question importante à l’aide de deux

conception kantienne, une approche sensible de la liberté 1° De la catégorie de causalité à la liberté 2° La Canon de la raison pure. 3° L’inconditionnement de la raison Conclusion : Fin de l’opposition cartésienne à la pensée kantienne Intro : Nous ne naissons pas libre, puisqu’à notre naissance nous ignorons ce qu’est la liberté. Et comment posséder vraiment quelque chose dont on ignore l’existence? Elle peut être à moi, je ne la possède pas. Or, à un moment de notre vie, on prend conscience

un artiste, il doit respecter les règles qu'on lui donne. Lorsqu'il les a respectées, il est libre pour le reste. Par exemple, si quelqu'un commande un objet chez un orfèvre, il peut ordonner que cet objet ait une taille et des motifs bien précis, Pour le reste, c'est le travailleur qui décide. Pour bien faire son travail, l'artiste ou artisan doit se plier aux demandes de ses clients, il n'est pas libre pout toute l'oeuvre. Mais cette liberté ne se limite pas à celle des conditions de travail

était liée à la notion de liberté, liberté de penser, d’exprimer sa pensée, de contredire la pensée d’autrui. Mais convaincre, c’est bien chercher à imposer son avis à quelqu’un. D’une certaine façon, n’est-ce pas nier sa liberté ? L’argumentation est-elle manipulation ? Il peut être tentant de répondre par l’affi rmative à cette question. D’ailleurs, si ce livre existe, c’est qu’existent des moyens d’organiser sa pensée (chapitre 3) et que ces techniques sont, disons-le, destinées à faire

sûr et certain.Il convient donc de lire et d'étudier cet extrait de la lettre préface aux Principes de la philosophie de Descartes, où il va s'attacher à effectuer l'éloge de la philosophie et à montrer sa nécessité. Descartes inaugure la pensée moderne, comme pensée des Lumières et des individus dans leur effort pour se libérer de l'obscurantisme religieux et des pratiques inefficaces, voire dangereuses pour la connaissance et la polis qu'il génère. Contre ceux donc qui doutent du pouvoir de la raison