Libre-pensée

1. « La dernière chose à laquelle on pense avant de commencer un ouvrage, c’est par quoi il faut commencer » Pascal, Pensées. 2. « Il y a » Apollinaire, Calligrammes. 3. « La pensée est essentiellement à l’écoute de l’être » Martin Heidegger, Lettre sur l’humanisme. 4. « Cogito ergo sum » Descartes, Discours sur la méthode. 5. « Ça pense donc ça est » Volonté de puissance, Nietzsche. 6. « Dieu est la pensée qui éternellement et sans fatigue se pense elle-même » Aristote. 7. « Il est tout

connaissance/moitié perdue. * L’ignorant est celui qu’il ne sait pas qu’il ne sait rien * Dogmatisme : Ceux qui pense avoir la connaissance absolue → absence d’ouverture d’esprit ; intolérance = Fixisme de la pensée car pas d’élan vers la connaissance ≠ philosophe * Scepticisme : Ceux qui pratique le doute → ils affirment comme vrai « L’homme ne peut atteindre aucune vérité » = Fixisme de la pensée + contradiction inhérente dans les principes de cette école. 2 types de doute : * Le doute sceptique

contraire sous la tutelle d'autrui. Autrement dit, le principe subjectif d'action de l'individu n'est pas sa propriété mais l'œuvre d'autrui. Or tous les despotismes n'ont-ils pas comme support l'abdication des sujets soumis, d'où renoncement à la pensée et à l'action...? Et Kant impute la faute (morale) et non l'erreur (épistémologique) de ‘état de minorité non à l'oppresseur, mais à ceux qui consentent à leur autorité, à ceux qui par leur paresse ou lâcheté laissent leur entendement sous la direction

Peut-on se connaitre soi-même ? Ce corrigé de philosophie porte sur le sujet suivant : « Peut-on se connaitre soi-même ? ». Il faut montrer que l’opinion commune qui pense que l’on se connaît est très critiquable. On se dit donc que l’homme a une prétention de la connaissance de soi. Cette prétention correspond à la conscience de soi. En effet, l’homme possède, à la différence de l’animal qui n’a qu’une conscience immédiate, une conscience réfléchie. L’animal est capable d’avoir des sensations

qui pose la certitude du doute comme fondement de la pensée, de l’existence. - Ils en arrivent à nier la légitimité même du savoir de la vérité. Tout cela ne pouvait qu’amener au scepticisme. « Bouvard ne croyait même plus à la matière » est posé dans une affirmation lapidaire. - B et P s’expriment toujours en paradoxes sophistiques devant le juge. C’est la philosophie de Spinoza qui inspirent leur rejet de la morale et de l’existence du libre arbitre. Ils sapent les bases de toute morale et

tutelle (les mineurs) qui ne développent pas leur capacité à prendre leurs propre décisions et à oser savoir et qui vivent sous la paresse et la lâcheté sont condamné à être prisonnier (mentalement et physiquement) donc ils ne pourront jamais devenir libre (majeur). Pour défendre convenablement sa thèse, dans un premier temps, l’auteur va nous présenter la définition et les causes de l’état de tutelle, dans un deuxième paragraphe il développera les éléments qui poussent un homme à être dépendant d’un

Toute la morale par provision de la troisième partie du Discours de la Méthode propose une véritable théorie de la liberté, et même, des règles pour se rendre libre. Dans les deux premières parties, il s’est proposé de mettre en doute toutes nos connaissances, afin de rebâtir tout l’édifice de la connaissance sur la certitude, et non plus sur l’habitude. Mais, doutant de tout, il doute aussi des préceptes de la morale. Il faut donc, en attendant d’avoir réussi à déterminer par l’entendement ce qu’est

des êtres capables de se servir de leur propre entendement, soit de penser par eux-même, d'émettre des idées sans attendre la réflexion d'autrui: Ils créent leurs propres pensées sans avoir besoin qu'on leur dicte un moyen ou une manière de le faire. Ils profitent librement de leur raison et sont responsables d'eux-même par la pensée. Ce sont des êtres courageux, qui prennent des décisions notamment celles de penser et de réfléchir par eux-même. Quels sont les différents obstacles à l'accession aux

- sa volonté de vérité : le texte philosophique s'adresse à l'intelligence au moyen de raisonnements, il n'est ni poème ni prophétie, il ne revendique aucune illumination, ni inspiration ; il est caractérisé par la volonté de saisir le vrai par la pensée   - son refus de l'anecdote, de l'inessentiel   - son caractère systématique : idées logiquement solidaires   I- ANALYSER LE SUJET   Rudimentaire : il faut toujours commencer par définir tous les termes du sujet et par souligner les concepts

- sa volonté de vérité : le texte philosophique s'adresse à l'intelligence au moyen de raisonnements, il n'est ni poème ni prophétie, il ne revendique aucune illumination, ni inspiration ; il est caractérisé par la volonté de saisir le vrai par la pensée   - son refus de l'anecdote, de l'inessentiel   - son caractère systématique : idées logiquement solidaires   I- ANALYSER LE SUJET   Rudimentaire : il faut toujours commencer par définir tous les termes du sujet et par souligner les concepts