Limites Et Avantages De La Concentration Des Entreprises

utilisé par n’importe quelle entreprise. Il faut attendre les années 50/60 pour voir des cours appelé politique générale de l’entreprise. Apparaitrons seulement en 1970 les modèles d’analyse stratégique, période de la fin des trente glorieuse, car l’environnement des entreprises est stable. A la fin des années 80, on est revenue dans une logique ou les modèles ne servent à rien et l’on ne fait pas de stratégie. Aujourd’hui on utilise ces modèles en étant conscient de ces limites. La stratégie est un domaine

nous terminerons par analyser les limites et les conséquences du développement d’un tel système de production.2min 40 I/ le passage d’une manufacture éclaté à concentré A) Manufacture éclaté : caractéristiques et inconvénients. Au 16ieme siecle, en parallèle des corporations (orga sociale reconnue par l’autorité publique, qui regroupe les membres d’une meme profession) se développe un nouveau système d’organisation du travail moins couteuse pour les entreprises: la manufacture éclaté. Ce système

CONNAISSANCE DE LA GRANDE DISTRIBUTION Directive communautaire (réf. UE) → armonisation du droit au moins sur un socle commun Texte qui n'est pas applicable directement. Une date limite est fixée pour transposer la directive mais le pays est libre d'aller plus loins en gardant le socle. Etude qualitative → comprendre un phénomène sans avoir pour objectif de mesurer quoi que ce soit Etude quantitative → mesurer un phénomène (ex : combien de clients achètent sur internet, en magasin ou

Univers conflictuel Si la stratégie ne rime pas nécessairement avec la guerre, il n'en demeure pas moins que la stratégie prend place dans un univers de conflit. La stratégie est une action finalisée dans un contexte conflictuel. Pour une entreprise, il s'agira des concurrents, de l'Etat (réglementation), syndicats, groupes de pression… qui vont s'inscrire dans l'univers conflictuel. 2) Action finalisée La stratégie est une action finalisée, c'est-à-dire qui dépend de buts quels qu'ils

dans une entreprise résidente d’une autre économie dans le but de contrôler la gestion de cette entreprise. Cela s’inscrit dans une relation de long terme et traduit l’intérêt durable de l’investisseur (logique d’industrielle). Par convention, on dit qu’une relation d’IDE est établie lorsque l’investisseur acquiert au moins 10% de l’entreprise investie étrangère. Cela peut prendre différentes formes : ➢ logique d’investissement en installation nouvelle : nouvelle entreprise affiliée à

construire la réflexion stratégique), l'analyse concurrentielle (analyse des caractéristiques intrinsèques des domaines d'activité, détermination des forces qui s'y exercent et identification des ressorts de la concurrence), la construction d'un avantage compétitif durable, les voies et modes de développement stratégique (ex : intégration, diversification géographique ou globalisation, diversification liée, diversification conglomérale), le management d'un portefeuille diversifié d'activités (utilisation

situation d’un marché parfait ne correspond pas à la réalité ; dans son état naturel le marché est imparfait, il faudrait donc l’améliorer par l’édification des institutions nécessaires. C’est une approche réaliste, qui part d’un constat simple : une entreprise va toujours chercher à constituer un monopole, et le fera en différenciant suffisamment ses produits de ceux de ses concurrents. De fait, elle pourra disposer d’un monopole et fixer librement les prix, ce qu’il faut éviter. C) La

La structure de gouvernance influence t’elle la performance des entreprises ? 2011-2012 Sommaire Introduction…………………………………………………………………………………………………………………3 I] Le cadre théorique de la gouvernance et son environnement juridique4-10 A] La gouvernance et ses typologies4-7 B] Le cadre législatif de la gouvernance7-10 II] La corrélation gouvernance/performances10-19 A] l’influence des acteurs de la gouvernance10-15 B] Illustration de pratique de « bonne gouvernance » avec le cas BNP15-19

macro. L’objectif est d’établir un système de pondération plus fin, qui tend à surpondérer les entreprises ayant une dette de bonne qualité ou les Etats ayant une probabilité faible de « downgrade » ou de défaut ; alors que les indices à pondération classique ont plutôt tendance à surpondérer les émetteurs les plus fortement endettés, surexposant les investisseurs à un certain degré de risque de concentration. De plus, certains indices basés sur cette méthode « classique » souffre d’un manque de liquidité

historique : La grande crise des années 30 il y a eu une amplification de la crise du fait des activités spéculatives des banques. Les banques US faisaient toutes les activités, les activités spéculatives ont mal tourné et elles ont entrainé les entreprises avec elles. La réaction aux US a été de mettre en place une forte réglementation visant à séparer strictement les activités bancaires de détails, des activités bancaires dites de gros et de marché qui sont plus risquées. Quand on dit banque de