Limites Vente Directe

I- Les canaux de distributionDoc 1 - La notion de canal de distributionQ1- A partir du document 1, identifiez les différents canaux de distribution que peut utiliser Jefferson. Canal direct Canal court Canal longDoc 2 – Extrait du JT de NC 1èreMaraîchers et consommateurs du Nord dans l’inquiétudeLa pénurie de fruits et de légumes à Nouméa prend d’abord racine dans le Nord

possibilité de négocier en direct fournisseur permet de créer ses propres promotions internes et donne une vraie valeur ajoutée à la fonction. La liberté de changer les prix, les emplacements sont également des vrais avantages sur ce poste. Degrés d’autonomie : * Les managers bénéficient à ce poste, d’un degrés d’autonomie sans commune mesure avec d’autres enseignes. En effet, la liberté des prix, la liberté du merchandising dans la limite du concept, les négociations direct fournisseurs donnent

véhicules automobiles ● La succursale = circuit ultra court ou direct ► Définition Une succursale est un point de vente qui est rattaché à un siège social. Il relève de la technique dite du commerce intégré apparu à la fin du 19e siècle en France, en ce sens où son directeur est salarié de l’entreprise mère et où la fonction d’approvisionnement assurée par une centrale d’achat est commune à l’ensemble des points de vente des succursales. Elle peut certes jouir d’une certaine autonomie

MARKETING OPERATIONNEL Marketing Direct et Promotion des ventes Jean-Lou POIGNOT MARKETING OPERATIONNEL Le marketing opérationnel vise 2 objectifs: 1.Conquérir de nouveaux clients, 2.Fidéliser les clients acquis. MARKETING OPERATIONNEL Mais les motivations d’achat ont évoluées ainsi que le contexte général. Le modèle AIDA serait dépassé au profit du modèle ADICAS MARKETING OPERATIONNEL Le modèle AIDA: A = Attention I= Intérêt D= Désir A= Achat MARKETING OPERATIONNEL Evolutions du contexte:

....................................................................................................... 15 2.2.2. Les différents types de géocodage ................................................................................... 16 2.2.3. Les limites du géocodage ..................................................................................................... 17 2.3. LA MODELISATION GRAVITAIRE APPLIQUEE AU GEOMARKETING ......... 18 2.3.1. La délimitation des zones de chalandise par les polygones

télévision 20 2.5.1.5 Le cinéma 21 2.5.1.6 Internet 21 2.5.2 La communication Hors média 21 2.5.2.1 La promotion 22 2.5.2.1.1 Objectifs 22 2.5.2.1.2 Actions 22 2.5.2.2 Le marketing direct 24 2.5.2.2.1 Objectifs 25 2.5.2.2.2 Supports 25 2.5.2.3 La publicité sur le lieu de vente ou PLV 26 2.5.2.3.1 Objectifs 26 2.5.2.3.2 Supports 26 2.5.2.4 Le mécénat et parrainage (sponsoring) 27 2.5.2.5 Les relations publiques : relations presse et lobbying 28 2.5.2.6 Les salons

calcul intègre l’ensemble des charges supportées durant le processus de fabrication et de distribution des produits.   La méthode des coûts complets réparties les différentes charges incorporables aux couts en deux catégories : * Les charges directes. Elles sont directement affectées aux coûts des produits, car la consommation de ces charges par chaque type de produit est connue; * Les charges indirectes. Généralement regroupées dans les centres d’analyse, elles ne peuvent pas être directement

IV-limites d marketing sensoriel 1-limites pour le consommateur « L’exploitation systématique de la sensibilité par le marketing et les médias de masses conduit à une ruine du corps et de l’âme »

primaire, la plus directe, Relation évidente et pourtant bien lâche, relation évidente et pourtant précaire, peu significative,. menacée. bien Les tentatives visant à Yétablissement dece lien direct producteur-consommateur, sont certes nombreuses, et pour beaucoup des Sont-elles succès. pour autant, généralisables ? Et si elles l'étaient, signifieraient-elles grand chose pour la collectivité agricole ? On peut s'interroger, on doit s'interroger tant sur la validité de ce lien direct que sur les formes

 Page 1 : Sommaire Page 2 : Fiche signalétique Page 3 : Analyse de la concurrence (concurrence directe et indirecte) et structure de l’assortiment (assortiment du point de vente) Page 4 : Suite structure de l’assortiment (assortiment du rayon où se déroule la vente) Page 5 : Les objectifs (Quantitatif, Qualitatif), la cible, zone de chalandise (Courbe Isométrique) Page 6 : Représentation géographique de la concurrence, Techniques