Linguistique Cognitive

scientifiques de la sémantique des mots en particulier et des processus de signification dans la société et dans la culture en général. Bien que les ambitions de Sémantique structurale soient essentiellement d'ordre linguistique, la recherche menée dans ce livre se distingue doublement de la linguistique telle qu'elle était pratiquée à l'époque par les partisans de la grammaire transformative-générationnelle de Chomsky. D'abord, parce que Greimas opte pour une théorie grammaticale dont la portée excède de loin

les éléments clés de l’explication du comportement humain). Les gestaltistes s’attaquent notamment à la théorie de THORNDIKE sur l’apprentissage par essais et erreurs, apprentissage très courant. La sélection de la réponse provient d’une activité cognitive consciente, basée sur la présence d’informations rétroactives. C’est l’apprentissage par l’action ou l’apprentissage par la découverte. II.2 L’apprentissage par essais-erreurs est substitué par l’insight ou phénomène de compréhension soudaine, développer

prioritaire. - Notion repérable par les dates de naissances des effectifs qui la constituent, et où on peut donner un profil démographique, une représentation sur la base de la démographie. | La génération se construit à partir de l'empreinte cognitive (manière de voir et de penser le monde) | Critères refusés | Ambiguïté du terme par rapport au temps : une génération peut désigner une classe d'âge, une période de 30 ans ou toutes les personnes vivant à la même époque. | - Génération

transmettre des messages sans forcément attendre un retour. Communication = échange entre plusieurs personnes. Communication : utilisée comme un outil de performance, de stratégie en entreprise. Une mauvaise communication peut amener des dissonances cognitives dans la mesure où les personnes ne recevront pas le message comme il le faut. Il faut donc bien connaitre la politique de communication et l'organisation en elle-même. Il faut adapter sa communication au sein de chaque entité. Cela nécessite

61 50 49 51 05 61 50 43 28 Langues Etrangères Appliquées parcours Traduction et interprétation Mathématiques et applications : Informatique, statistique, mathématiques appliqués à la gestion de production Psychologie : Ergonomie cognitive et ingénierie linguistique Psychologie : Psychologie clinique et psychopathologie parcours Psychologie clinique Psychologie : Psychologie clinique et psychopathologie parcours Psychologie gérontologique Psychologie : Psychologie clinique et psychopathologie parcours

LE TECHNOLECTE ET LES RESSOURCES LINGUISTIQUES. L'exemple du code de la route au Maroc Leila Messaoudi Maison des sciences de l'homme | Langage et société 2002/1 - n° 99 pages 53 à 75 ISSN 0181-4095 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-langage-et-societe-2002-1-page-53.htm ----------------------------------------------------------------

et de se faire comprendre de leurs interlocuteurs. Par le mot activité ludique nous entendons nous rapporter au jeu, en impliquant les élèves d’une façon amusante et stimulative, activant et exerçant en même temps les capacités linguistiques mais aussi celles cognitives. Les activités stimulantes, ludiques et créatives favorisent l’implication des élèves et leur permet de mieux réussir leur apprentissage. Pour motiver les élèves et les inciter à lire, à comprendre, à écrire et à parler le français

progressive : Chaque séquence prépare l’autre selon le principe de décloisonnement. La séquence didactique est organisée selon trois principes : Le principe de cohérence : les activités s’articulent en fonction de leur nature et leur spécificité cognitive (capacité intellectuelle selon la taxonomie de B.Bloom). Le principe de décloisonnement : chaque activité est en relation avec la précédente et la suivante. Le principe de la progressivité : la progression est une graduation des apprentissages, c’est

ordinaire fait référence à une suite d’expériences. Un troisième critère de l’objet esthétique est la «saturation syntaxique relative»: dans un objet esthétique pris dans on ensemble, les éléments signifiants sont plus nombreux que dans un signe linguistique. Mais tous ne sont pas signi-fiants: par exemple, être transporté de New-York à Chicago n’est pas signifiant pour un tableau. Le quatrième critère est «l’exemplification»: un objet esthétique peut exemplifier de façon directe ou symbolique quelque

réponse est oui, massivement. Si en revanche l'on restreint le PDV à un phénomène narratif, à l'instar des « focalisations » (Genette 1972, 1983), la réponse est nettement moins assurée : d'abord parce que la focalisation externe n'a aucun fondement linguistique (Rabatel 1997a, b), ensuite parce que la focalisation zéro y apparaît très problématique, dans la mesure où le texte théâtral se caractérise par l'absence de narrateur primaire (1). En sorte que la seule instance disponible pour un PDV est le person