Liste des comtes et ducs de Tours

devant le juge. Le préteur va vérifier si les prétentions des partis correspondent aux actions en justice qu’il avait promise à son entrée en charge.Toutes ces actions qui sont promises sont rassemblées dans une liste appelée « l’édit du préteur ». A partir du 1er siècle après JC, la liste l’édit a tendance à peu évoluer et il va se figer, on l’appellera ainsi plus tard, « l’édit perpétuelle ».Au début du IIème siècle (entre 125 et 138), l’empereur Hadrien a demandé à l’un de ses fidèles, le juriste

par des édits prétoriens. Le préteur créé des édits prétoriens : * Tous les ans, le nouveau préteur fait un édit affiché sur sa porte. Son édit contient tous les droits qu’il peut défendre en justice. Cette liste s’est allongée au fil de la république. Cette liste s’appelle la liste des actions de la loi. →Les sénatus consulte : le droit qui émane du sénat : * Sénatus consulte : c’est une sorte de validation de la loi. Pour ce faire, le sénat consulte la volonté des Dieux. Suite à cela

civitas va être remplacé par le mot pagus qui signifie pays. L’habitant du pays est paganisis qui donne le mot paysan. 1.Le recrutement des comtes - Premier choix : recrutement au choix du roi. C’est le princeps qui en vertu de son auctoritas, qui les choisit. - Deuxième caractéristique : le roi repère un ciblage géographique. Dans l’ensemble, les comtes qui exercent au sud de la Loire sont d’origine gallo-romaine, ceux qui exercent au nord de la Loire sont plutôt d’origine germanique.

plus de 200, dirigées par des comtes. Présents dans la Gefolgschaft, les comtes sont chargés d’exercer tous les pouvoirs de l’empereur : le mundium et le bannum. Voulant contrôler ces comtes de manière étroite, Charlemagne les nommes lui-même. De plus, ils sont assistés dans leur tâche par toute une série d'auxiliaires dans des circonscriptions plus réduites, dirigées par des vicomtes ou des centeniers. Innovation célèbre qui apparaît sous Charlemagne, les comtes et leurs auxiliaires sont contrôlés

siècle, les insignes royaux sont ceux des dieux cet a dire la toge pourpre, la couronne d’or, le sceptre, la chaise curule et les faisceaux portée par 12 licteurs. Le sénat : conseil d’anciens composés des chefs ou des patrès qui sont inscrit sur une liste conscrite. A l’origine, ils étaient 100 puis 300 (100/tribus) ils sont choisis par le roi. Il est le conseiller du roi et le protecteur des coutumes des ancêtres. Il a la tutelle sur l’assemblée des curies en ratifiant leurs actes et assure l’interrègne

1. Statut et recrutement des comtes  Le comte est recruté librement par le roi, même si ce dernier était restreint donc le roi était obligé de recruté dans un cercle restreint. Pour être élu il y avait une contrainte d’ordre ethnique, une contrainte de faire parti de l’aristocratie franque. Alors que quelque famille fournissait la majorité des comtes. Le lien de cette aristocratie c’est le palais du roi car ce dernier était le lieu de formation de ces comtes. Cette vocation était alors consolidée

est divisé en une multitude circonscriptions appelés pagus. A la tête du pagus on trouve le comte. (au moyen âge à chaque fois qu'on a délégué du pouvoir à un agent il usurpe le pouvoir). Les comtes commettaient des abus fiscaux, donc Charlemagne crée des agents administratifs chargés de contrôler les comtes appelés les missi dominici qui sont administrateurs fidèles dans l'entourage du Roi et qui ont des pouvoirs énormes. Récapitulatif : l'empire carolingien est organisé autour d'un pouvoir fort

se contentaient de canaliser la vengeance privée, mais certaines coutumes sont tenaces : ils n’y renoncent pas. Ainsi Grégoire de Tours relate certaines affaires : « dans l’esprit des francs, la voie des armes est plus noble que celle de la composition pécuniaire ». Par conséquent il y a un effort des rois francs

disciples de Manès et ces nouveaux hérétiques. Il est évident que les chroniqueurs ou les controversistes de l’époque ne voyaient pas les choses comme nous, qui accepterions volontiers cette filiation, à la condition que l’on mette sous nos yeux la liste des manichéens, avec leur profession de foi, depuis les successeurs de Manès jusqu’à l’évêque albigeois Guilhabert de Castres. Cependant, à la réflexion, les contemporains de l’hérésie qui nous occupe paraissent avoir fait preuve de bons sens, à défaut

rois chevelus ou la conception du pouvoir chez les Méro. B. Théocratie et renaissance de l’Empire aux temps carol. § 2. Le gouvernement et l’administration du regnum Francorum A. Le gouvernement : Palais, maires et conseils. B. L’administration : comtes, vicomtes, vicaires et missi dominici ____________________________________________________________ ____________________ Deuxième Partie : DU MOYEN ÂGE À L’ANCIEN RÉGIME (11e-18e siècles) [ fera l’objet d’un second document-plan… ] UNIVERSITÉ