Liturgie orthodoxe

«  adore ces chandelles et néglige leur maître et le sien  ». « Sétoc comprit le sens profond de cet apologue ». «  Il ne prodigua plus son encens aux créatures, et adora “l’Être éternel” qui les “a faites” ». Aux yeux de Voltaire les cultes, les liturgies nous éloignent et de nos semblables, et du divin. La médiation religieuse compromet donc l’accès au divin et la fraternité. Il y a comme une fatalité de la communication ou de la mise en forme de la croyance dans l’ordre religieux : le rituel qui

Gramsci, l’infrastructure et la superstructure constituent, donc, ce bloc historique. En reliant ces deux niveaux, il accorde cependant la priorité à la lutte sur le plan idéologique (contrairement à Marx et à Engels). Il estime que le marxisme orthodoxe, en réduisant la pensée à un “reflet” du processus de la production, sous- estime le pouvoir des mythes et des idées. Or, dit-il, la force et la cohésion de la société bourgeoise moderne vient d’abord de “l’hégémonie”, autrement dit la domination

héritent de la faute d’Adam. Il leur faut donc chercher à faire leur salut (à se faire pardonner le péché, à se libérer de leur misère) par de bonnes actions, une attitude exemplaire et la plus sainte possible. {cf Pascal} 3) Les rites Culte, liturgie (célébrations) ° Dans beaucoup de religions, les rites sont ce qui entretient le contact avec les dieux et maintient la stabilité du monde. Ils passent avant toute question métaphysique. On les pratique et les entretient avant de connaître leur

spirituelle. Jean Damascène : la théologie de l'icône, la matière salvifique. Il y avait eu avant eux la lignée des Pères du Désert, les "pneumatophores", premiers maîtres de l'oraison perpétuelle, ou "prière du cœur". Plus récemment, plusieurs penseurs orthodoxes se sont inscrits dans le même courant ésotérisant : V. Soloviev : la transfiguration de la Matière dans l'Esprit ; l'éternel Féminin, la Théotokos, en tant que Sophia, "complément" de la Trinité. N. Berdiaev à la suite de Jacob Böhme : le Mal en

Prayer book éclate contre la mise en place d'une réforme modérée sous l'égide du régent Lord Edouard Seymour, duc de Somerset, au nom du jeune roi Edouard Vl. Les émeutiers des Cornouailles et du Devon voisin protestent contre la suppression de la liturgie en latin et des dévotions populaires. A cette occasion, la révolte révèle la coupure entre une gentry acquise à l'introduction du nouveau Livre de prière et une population qui tient à ses pratiques traditionnelles « comme c'était avant » (« as it

Il y a donc quatre Védas, pour les nécessités du culte, à une certaine époque postérieure à leur composition, ces hymnes ont été présentés sous forme de collection : les Samhitâs. Ce sont le Rigvéda (Hymnes), le Sâmavéda (Chants), le Yajurvéda (Liturgie), et l’Atharvavéda (Magie). Quant au mot Véda, il dérive de la racine sanskrite : vid, qui signifie : connaître. Le Véda, c’est donc la Sagesse. La sagesse indienne se présente donc à son aurore comme une sagesse religieuse. Dans leur ensemble

(commun à tous les Grecs) comme la langue ou la religion… Chaque cité avait aussi des spécificités comme le calendrier, le régime politique,… Cadre 2 : La religion dans la Grèce Antique. Actuellement, la religion des Grecs est le christianisme-orthodoxe, il s’agit donc d’une religion monothéiste.  Dans l’antiquité, il en allait autrement. La Grèce Antique est le berceau de la mythologie Grecque et Romaine. Les romains l’ayant reprise et enrichie. Un nombre incroyable de Dieux, de divinités, de héros

texte écrit structuré Prendre des notes Notions PARTIE 1 : Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-Ive siècle av. J.C) Cité / Démocratie / Etat / Citoyen / Aristocratie / Tyrannie / Ecclésia / Ostracisme / Magistrat / impérialisme / Bas-relief / Liturgie / Gynécée / Métèques / Barbare / Démagogue / Oligarchie PARTIE 2 : Citoyenneté et Empire à Rome (1er-IIIe siècle) Pérégrin / recenser / Province / Patricien / Plébéien / Comices / Romanisation / Municipe / Droit Romain / Droit latin / Province /

la Réforme protestante avec Luther/Calvin → texte contre les indulgences, opposition interne contre le christianisme → guerre de religion. (1515 Marignan) A partir du 16ème il y a alors les protestants et toutes les autres catégories (anglicans, orthodoxes, protestants...) par rapport au christianisme. (donc catholiques pas forcément chrétiens). II) Le processus de désacralisation. Tournant de la modernité : XVIIème / XVIIIème – Désacralisation Démythologisation « Désenchantement du monde »

en tenant compte de problème de cette époque, la préoccupation des Pères était le mystère du Christ en lui-même et sur son mystère en nous. Et aussi la relation que le croyant peut avoir à ce mystère à travers la contemplation, la prière, la liturgie ; mais la synergie de sa liberté est jugée nécessaire malgré la gratuité de la justification divine et adoptive. I.3. La tradition latine Comme la réflexion orientale, la théologie occidentale offre beaucoup d’éléments significatifs à l’intérieur