Logique mathématique

n’est pas sur les sens (la perception par les sens), que peut être établie la preuve des vérités mathématiques, qui sont des vérités nécessaires. La nécessité de ces vérités s’établit, en effet, par la voie de la démonstration, qui, en mathématiques, consiste à montrer que, si l’on pose une proposition comme vraie, telle autre s’en déduit, c’est-à-dire est vraie à son tour. C’est une nécessité logique, ou mieux purement rationnelle, qui ne doit rien aux exemples. Les exemples (comme un triangle, ou

l’essence et qui vont des causes aux effets. 3) Mathématique et philosophie : Les Éléments d’Euclide sont l’acte de naissance de la science géométrique. À partir des définitions, axiomes, postulats et notions communes qui sont les propositions premières (non démontrés), et par déduction, on démontre des théorèmes qui pourront à leur tour servir dans la démonstration d’autres théorèmes. La méthode d’Euclide et plus généralement la méthode mathématique s’est présentée comme un idéal pour les autres

l’essence et qui vont des causes aux effets. - Mathématique et philosophie : Les Éléments d’Euclide sont l’acte de naissance de la science géométrique. À partir des définitions, axiomes, postulats et notions communes qui sont les propositions premières (non démontrés), et par déduction, on démontre des théorèmes qui pourront à leur tour servir dans la démonstration d’autres théorèmes. La méthode d’Euclide et plus généralement la méthode mathématique s’est présentée comme un idéal pour les autres

alors » | | | | | Logique, voirConnecteur_logique | | | | ⇔ | Équivalence logique |  signifie : « A est vraie quand B est vraie et A est fausse quand B est fausse ». | | | | « si et seulement si » ou « équivaut à » | | | | | Logique, voirConnecteur_logique | | | | ∧ | Conjonction logique |  est vraie si et seulement si A et Bsont vraies (donc fausse si A ou B ou A et B sont fausses) | , si n est un entier naturel | | | « et » | | | | | Logique, voirConnecteur_logique

sens contraire : " trop d’information tue l’information " dit-on. Répondre à la question du sens des messages suppose un élargissement de la problématique : inclure une physique et une mathématique de l’information dans le cadre d’une sémiotique, un élargissement qui ne nie pas pour autant le caractère concret de l’information. A l’opposition inopérante en elle-même entre un contenu quantifié et son récepteur, il faut ajouter la médiation

l’analyse de l’esprit, du problème d’épistémologie, de la connaissance, ou encore de l’existence du monde extérieur. En ce sens, on prendra d’une part Bertrand Russell et le rationalisme russellien qui procède par l’utilisation des méthodes de l’analyse logique et affirme la proximité de l’approche philosophique avec celui des sciences exactes et d’autre part, par opposition, on analysera Bergson et l’intuitionnisme bergsonien, formée sur la critique des prétentions immodérées de la raison d’être la source

qu’il défend n’est pas conforme aux principes de la logique. Le premier principe de la logique est le principe de non contradiction, c’est-à-dire que deux propositions contradictoires ne peuvent être vraies ou fasses en même temps. Cependant nous pouvons nous étonner que blaise Pascale écrit que « l’homme est grand et misérable et cela de façon inséparable » ce qui parait non conforme aux principes de non contradiction. Les principes de la logique sont tirés de l’expérience des maths purs et gratuites

regardant derrière le rideau (John Tenniel, 1865) I- L’auteur et sa muse A) Qui est vraiment Lewis Carroll ? Lewis Carroll, autoportrait (vers 1855) B ien singulier personnage que ce Lewis Carroll, pasteur anglican et professeur de mathématiques à Oxford. Nous le savons préoccupé au plus haut point d’entretenir des correspondances et des conversations avec les petites filles de sept à huit ans, généralement celles de ses amis. Il est infiniment probable en effet qu’un psychanalyste aurait

matérielle et spirituelle, une cosmogonie ».2.. Dans son ouvrage Euréka, autrement nommé Essai sur l’univers matériel et spirituel, Poe révèle en effet l’ambition de l’ensemble de son œuvre, celle d’explorer « l’univers physique, métaphysique et mathématique, matériel et spirituel, dans son essence, son origine, sa création, sa condition présente et sa destinée ». En effet, si l’œuvre de Poe peut apparaître à première vue comme un ensemble hétéroclite, oscillant entre fantastique, policier et grotesque

« Il n’est pas douteux… » (16), « Je pense que les choses se passeraient ainsi, très certainement » (22). 2-2 La démonstration Pour convaincre, il va faire une démonstration logique et mathématique. Son raisonnement est mathématique puisqu’il fait la moyenne approximative de la vitesse des deux masses mais aussi logique puisqu’il utilise un syllogisme : il part du postulat aristotélicien que deux corps de masses différentes auraient des vitesses de chute proportionnelles à leur masse, suppose que