Logique mathématique

donc à certaines règles qui sont celles de la logique. Descartes pense que l’évidence est le critère du vrai. Pour Kant , dans le domaine des sciences , ce ne sont pas les choses en elles mêmes qui sont vraies au fausses mais ce qui nous en apparait. 2. demonstration de la verite : Démontrer quelque chose, c'est établir une vérité par un raisonnement rigoureux. En tant que telle,la démonstration relève en priorité du champ des mathématiques, et elle exclut la subjectivité ou la particularité

langue de la tradition savante, mais aussi celle de l’Eglise catholique, le latin : le premier véritable programme d’enseignement n’apparaît pas immédiatement puisqu’il n’est arrêté qu’en 1823, il est rédigé en latin et comporte trois parties : la logique, la métaphysique et la morale. Comme dans les collèges jésuites, les exercices demandés aux élèves sont en latin, le cours également – du moins, en principe, car constatons que le cours de l’abbé Flottes, très répandu en son temps, Leçons élémentaires

II- AFRIQUE CENTRALE BERCEAU DES MATHEMATIQUES : Ishango est un petit village au bord du Lac Rutanzige à la frontière entre le Congo et l’Ouganda Au courant des années 1950, l’archéologue belge Jean de Heinzelin fait des fouilles archéologiques dans les environs d’Ishango, au Congo. Au cours de ses recherches, il découvre un os d’environ 10 cm de longueur au bout duquel se trouve encastré un fragment de quartz. Le long de cet os, s’alignent 3 colonnes d’encoches. La première colonne comporte

réflexion et le raisonnement, à la perception, aux sensations de plaisirs, aux souvenirs, aux associations d’idées, à l'expérience  esthétique et l’imagination. Il semble bien, à première vue, que la pensée ne puisse pas se réduire à une opération logique de calcul que la raison effectuerait au moyen des idées.     Et pourtant, dès qu’il y a un but à atteindre, une prévision à faire, un problème à résoudre, notre pensée se rapproche beaucoup d’un calcul. Il serait donc tentant de dire que d’un côté

jugements mathématiques, comment les qualifier de vrais ou de faux ? On admet en général que les notions mathématiques n'ont pas de référents empiriques : un triangle existe en raison de sa définition, mais on n'a aucune chance de le rencontrer dans des "fats", pas plus qu'un 5. A moins d'admettre précisément que cette existence purement conceptuelle permet aux "croyances" mathématiques de disposer d'une vérité pouvant se déduire de leur constitution interne, et définie par leur cohérence logique. Une

exemple, il a crée le cogito. Il s'agit d'une expression latine qui signifie "je pense, donc je suis". En plus, il a apporté une contribution à l'optique et est considéré comme le fondateur du mécanisme. Par ailleurs, il était aussi intéressé aux mathématiques, plus précisément la géométrie analytique. Il a des théories mais quelques uns n'ont pas été accepté. Il est le troisième enfant de Joachim Descartes qui était le conseiller au parlement de Bretagne à Rennes, et de Jeanne Brochard. Il est né chez

Qu’est-ce que la logique ? Le sens commun interrogé dira que cela doit être est une sorte « d’étude de la pensée », « étude du raisonnement ». Mais la pensée peut s’entendre de deux manières. Le psychologue et le logicien ont tout deux affaire à la pensée en un sens, mais pas dans le même sens. Le psychologue s’intéresse aux faits de conscience, aux vécus de conscience et à leur explication. Ce n’est pas le champ d’intérêt, le point de vue du logicien sur la pensée qui est seulement intéressé par

sciences positives détermine la doctrine positiviste, compte tenu de cette science nouvelle venue qu’est la sociologie. Celle-ci renverse les perspectives de la classification des sciences jusque-là tenues sous l’empire des mathématiques. Parties de la mesure concrète, les mathématiques demeurent la science-modèle du passage du concret à l’abstrait, ce passage étant nécessaire à toute science dans ses données spécifiques. Ce qu’apporte la sociologie, c’est le point de vue social, qui désormais, pour Comte

Introduction à la thermodynamique Atelier de Physique 1 Coefficients N° Unité d'enseignement 1 2 Mathématiques 1 Physique 1 Fondamentale Fondamentale 3 Informatique 1 Fondamentale 4 EEA 1 Fondamentale 5 U.E. Transversales 1 Transversale Algorithmique et programmation Architecture Atelier d’informatique 1 Circuit électrique Systèmes logiques combinatoires Atelier de EEA 1 C2i 1 Culture d’Entreprise 1 Droits de l’Homme Instrumentation Schéma Electrique

commutative, c’est-à-dire que quels que soient les nombres a et b, a + b = b + a. Lorsqu’on raisonne sur autre chose que des nombres, on utilise bien également des règles, à savoir celles de la logique qui peuvent également faire preuve de démonstrations comme les théorèmes des mathématiques. Mieux, la logique elle-même peut être mathématisée, comme Leibniz (1646-1716) en avait caressé le projet, et comme les mathématiciens l’ont fait à partir du xix° siècle. Par exemple, le syllogisme aristotélicien