Légèreté Et Le Rire

? lui criaient-elles, et on sentait dans leurs voix quelque chose qui ressemblait à de l’envie. -On m’attend en bas, répondait-elle. Je ne peux pas m’arrêter. Excusez-moi. » Et elle riait encore en voltigeant avec légèreté le long du précipice, mais ce n’étaient plus les éclats de rire d’avant. La nuit était sournoisement descendue et Martha commençait à sentir le froid. A ce moment, en regardant en bas, elle vit à l’entrée d’un immeuble, un vif halo de lumières. De longues automobiles noires s’arrêtaient

terme à terme). De plus, le côté superficiel est bien souligné par l'évocation de ses occupations : elle aime danser, s'amuser, rire et plaire, et se soucie de son apparence, ce qui contraste avec l'attitude d'Antigone. Antigone diffère de sa soeur par son physique (elle n'est pas belle) et par son attitude. La gravité d'A. s'oppose aussi à l'insouciance et la légèreté d'Hémon. Elle est caractérisée par sa tristesse. - seule consciente de son destin, contrairement aux autres pges "elle sent qu'elle

conteste l'adjectif « raisonnable ». Effectivement, la taupe et la tortue, comparées à l'homme, placé dans une position d'infériorité « au-dessous de ... » possèdent « l'instinct de leur nature », contrairement à l'homme, dévalorisé ici pour ses « légèretés », « folies », et « caprices » (dans un rythme ternaire qui mime son égarement). Son imagination et son intelligence techniciennes sont mises au profit de la destruction : « car avec vos seules mains que vous pouviez-vous faire les uns aux autres

Abeaucourt Inès 2nd4Commentaire composé Le marivaudage est une manière de parler ou d’écrire utilisée pour évoquer l’amour d’un ton léger. Ce terme provient du nom de Marivaux, écrivain français du 18e siècle, qui utilisait cette légèreté dans ses pièces, notamment dans Les fausses confidences ou encore dans L’île des esclaves , dont nous étudions ici un extrait. Cette pièce comédie invite à un questionnement sur l’ordre établi et les

celle du rire qui, selon lui, serait une forme de libération émotionnelle et de catharsis. Il explique son analyse dans son ouvrage L e mot d'esprit et ses rapports avec l'inconscient parut en 1905, d’où provient la citation : « L'humour a non seulement quelque chose de libérateur, mais encore quelque chose de sublime et d'élevé ». L’humour serait donc la libération d’une pulsion mentale tout en ayant un aspect encore supérieur. À la même époque Bergson publie son essai Le Rire. Il y expose

connotant la beauté et la pureté : « or vivant », « frais », « angélique ». - cependant, flou créé par « douce et sonore ».   3) Quelques attitudes du couple sont indiquées. - marche suggérée par le tétramètre du v.5 (3/3//3/3), attitude rêveuse, légèreté des cœurs par le zeugma « les cheveux et la pensée au vent ». - spontanéité heureuse de la jeune fille suggérée par le discours direct interrogatif. L’expression grammaticalement peu rigoureuse aux v.7-8 traduit l’attitude de la jeune fille. Réponse

contenue est d’une tout autre valeur que ne le promettait la boîte: c’est-à-dire que les matières ici traitées ne sont pas si folâtres que le titre le prétendait.» (ibid.) Voilà donc le but premier de l’écrivain: appâter le lecteur suffisamment, le faire rire, pour qu’une fois dans les meilleures dispositions possibles, il puisse (s’il le désire, bien évidemment) tenter de rechercher ce que cache cet humour populaire et souvent vulgaire. Il faut «... par une lecture attentive et une méditation assidue,

FORMES DU COMIQUE DANS LES FABLES A Le rire et le comique Les Fables sont placées sous le signe du rire et des bons mots d'Esope, comme l'atteste La Vie d'Esope qui ouvre le recueil des Fables (éd. M. Fumaroli, p. 11-24). LF associe le rire grimaçant d'Esope à une démarche philosophique. Le rire franc, l'éclat de rire, apparaît en outre explicitement dans les Fables, comme dans Le Milan, le Roi et le Chasseur (XII, 12) : Lui de crier, chacun de rire, Monarque et courtisans. Qui n'eût ri

l’humour de la scène se caractérise par la légèreté, la variété et la vivacité des répliques et des mouvements. • Répliques brèves et rapides : « Il devient fou ! » • Nous avons un effet de miroir renforcé par le ton « Piteusement » « Le contrefait » • Il y a des jeux d’écho : « mon cœur » « eh que non pas ; son cœur ! » B- La manière dont traite Suzanne • La camériste de la comtesse traite, avec distance, les élans de l’amoureux, qui la ont rire « ah, ah, ah, ah ! » • Elle se moque

par les idées développées que les auteurs veulent rendre compte de l’insignifiance de la vie dérisoire de l’homme . Ces textes dépassent le simple divertissement et incitent à une réflexion philosophique sur l’existence humaine. L’absurde fait rire au premier abord, ce n’est qu’après réflexion que l’on se rend compte du malaise qui y est dénoncé. Dans Camus, l’absurdité de l’existence est symbolisée par Martha qui a une vision pessimiste de l’existence. Jan est un personnage impuissant face