Management Interculturel Renault Nissan

Plus concrètement, l'interculturalité peut se réaliser de deux manières principales pour apprendre les réalités de sa propre culture et non seulement des conceptions de la culture de l'autre, un discours à son sujet. : • l'apprentissage interculturel : rencontrer l'autre pour améliorer la communication et encourager la connaissance et la compréhension de la culture de l'autre • les échanges avec le pays d'origine : établir de la formation conjointe entre les acteurs du pays d'origine et

Alliance Renault - Nissan mémoire d'analyse appliquée Paris 2008 TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES..........................................................................................................2 INTRODUCTION......................................................................................................................3 I. ENTREPRISES AVANT L’ALLIANCE...............................................................................4 1.1 RENAULT........................

Management Stratégique Dossier Renault Nissan * Stanislas Puente * Perrine Prevosteau * Jules Roy * Charlotte Sauvaige * Marie Scarline * ESPEME 4 GR.G Table des matières PARTIE 1 3 1. Présentation du secteur étudié 3 1.1. Eléments clés (acteurs principaux, produits, structure du secteur, cycle du secteur, etc.) 3 1.2. Faits marquants
 4 1.3. Filière, arène stratégique
 6 2. Analyse externe
 7 2.1. PESTEL (O/M) 7 2.2. Les 5 forces de Porter 12

étrangères. C’est pourquoi, il est dans un premier temps indispensable de poser un référentiel, de définir les cultures, notamment à travers quelques exemples afin de comprendre les modes de contrôles dans certaines sociétés et d’y adapter le futur management commun entre les cultures. 1) Cultures et culture a - Définition et caractéristiques des cultures Bien que depuis la chute du mur de Berlin en 1989, la plupart des pays voient apparaître un modèle prédominant tel celui libéral de la culture

types d’alliance I-4 Avantages et limites des coopérations stratégiques Ch. II- L’alliance « cas de réussite » , « cas d’échec » : Présentation de Renault : ← Renault & Volvo cas d’échec Présentation Nissan ← Renault & Nissan cas de réussite Ch. III-Analyse et recommandation : ❖ Pourquoi l’alliance ➢ Conclusion • Annexes • Bibliographie

Cas Renault-Nissan 1 L’alliance Renault-Nissan1 Ce cas a été réalisé en fonction des données disponibles sur Renault, Nissan et l’alliance RenaultNissan Par : Fabien Blanchot, Université Paris-Dauphine Michel Kalika, Université Paris-Dauphine Toute communication sans accord des auteurs est interdite Document pédagogique qui n’engage que ses auteurs et, en aucun cas, les entreprises citées. PRIX du STYLO D’OR 2002 CCMP CCIP 1 Fabien Blanchot & Michel Kalika, 2002 Cas Renault-Nissan

…………………………………………………………………..26 3 – Les connaissances interculturelles …………………………………….....27 3.1 Les études déductives……………………………………………………………….....27 3.2 Les études inductives………………………………………………………………......28 4 – Synthèse des recherches & conclusion………………………………...…31 4.1 Les approches déductives………………………………………………………...……32 4.1.1 Prédominance du paradigme anglo-saxon…………………………………………………………..……….32 4.1.2 Style de négociation intra et interculturel…………………………………………………………..………...33 4.1.3 Culture et sous-cultures……………………………………………………………………………

On parlera à ce propos d’image interne (vue des salariés) et l’image externe (vue par les partenaires externe : clients, fournisseur, décideurs). Attention : ce concept ne doit pas être confondu avec le management interculturel des grands groupes internationaux (exemple réussi de Renault Nissan Carlos Goshn) ni avec l’adaptation du produit avec les cultures locales (stratégie glocale. de Danone et les yaourts). Hors programme : le concept d’éthique en entreprise (code de bonne conduite, charte

un contact régulier avec son partenaire afin d’établir une relation stable et solide : travail d'équipe, recherche de consensus, communication, action sont quelques ingrédients clés du modèle de management suédois où l’importance du pouvoir et de la hiérarchie est minimisée. Pour instaurer un management collaboratif, il est important de laisser une certaine autonomie aux collaborateurs. Les responsabiliser en leur laissant gérer les problèmes et trouver les solutions par eux-mêmes. L'écoute active

construction à partir des identités de chacun des acteurs = vision personnaliste Le concept anglo-saxon relève de la logique fonctionnelle des activités professionnelles Japon : la communication interne est omniprésente . Les pratiques du management interculturel : Classique : relation entre les filiales et l’entreprise mère Intégration de l’acquisition Des exigences plus complexes : le cas des joint-ventures B- Comment s’adapter à la culture d’entreprise : 1- L’employé qui s’adapte dans