Maritimisation

au centre d’enjeux multiples. La mer, les littoraux, les frontières terrestres et maritimes occupent une place croissante dans la mondialisation contemporaine. La place des espaces maritimes est telle que l’on évoque souvent une « maritimisation de l’économie mondiale ». Ce sont des espaces de contact, de circulation, qui sont au centre d’enjeux économiques et géoéconomiques, politiques et géopolitiques, mais également environnementaux. A. Les espaces maritimes et frontaliers, nouveaux

du sud-est asiatique, importance de la culture confucéennes, diaspora chinoise de 25 millions de personnes qui conservent de forts liens avec la mère patrie. Le milieu est fortement peuplé avec de fortes densités héritées de la riziculture. La maritimisation des activités est prépondérante avec la « révolution du conteneur  » fait en 2005. Il est nécessaire de savoir que les pays de l'Asie orientale représentent 43% du trafic conteneurisé de la planète, les littoraux sont attractifs. L'aire de l'Asie

peuplent certaines vallées. 2.3. Des pleins devenus vides, des vide devenus des pleins. • Les littoraux où la littoralisation est une retombée de la mondialisation. Activités portuaires, industrielles et touristiques ont fait naître le concept de maritimisation. Les aménagements voulus par l'État et les collectivités locales sur les littoraux leur ont permis de se peupler. Ainsi la Méditerranée depuis Port-Vendres (Perpignan) jusque Monaco. Avant 1960, les régions méditerranéennes manquaient d’eau, depuis

Prévention de Risques Industriels  aucune usine à potentialité dangereuse ne peut s’implanter dans un milieu urbain, pb : chômage avec 3% auj. Conclusion : les risques augmentent avec la multiplication des flux économiques ex : mondialisation, maritimisation et donc un risque de marée noire, législation prise mais pas encore prise : rétroactivité de la loi, ex : auj interdit de fumer mais pas de loi votée, popularisée qui condamne. On a voté une loi qui oblige les bateaux à avoir une double coque

comme le Nord le Lorraine développe des coopérations transfrontanières, elles attirent des investissements étrangers. ( Toyota, à Valenciennes, soit smart en Lorraine). Interface littoral: Ils attirent les activités, on parle de phénomène de Maritimisation Ce sont surtout, les grandes villes portuaires, qui attirent, car elles sont intégrés aux système monde. Il se développe ainsi de vastes zones industrialo-portuaires. Ces grandes villes portuaires attirent d'autres activités: le tertiaire supérieur

alors que la Chine est devenu « l’atelier » du monde, assurant 60% de la production mondial de jouet, 14% de la production de TV, 15% de la production textile, etc. Le rôle financier de l’ensemble considéré est de plus en plus important. c. La maritimisation des économies • • • III. L’Asie orientale comprend aujourd’hui 8 des 10 plus grands ports de la planète. Cette situation provient essentiellement de deux facteurs : la géographie locale, qui privilégie les échanges par voie navale, et

spatiale de la puissance américaine. 7. Il y a à la fois littoralisation des activités mais aussi dynamisme des régions frontalières. L'économie de certaines régions se développe du fait du développement massif des échanges maritimes ( maritimisation) + disparition des barrières douanières sur les zones frontalières. Ex: la pugetopolis ou l'axe du Saint Laurent + l'axe mexico-etatsunien. 8. Ce sont des territoires transfrontaliers qui naissent qui avec l'intégration dans l'ALENA

par exemple. La maritimisation On peut parler de maritimisation car l’essentiel des échanges se fait par voie maritime (75 % en poids et 60 % en valeur). Cette victoire du transport maritime sur les autres modes est due à son coût très faible grâce aux conteneurs qui permettent l’inter modalité (passage direct d’un mode de transport à un autre ; exemple : du bateau au train de marchandises puis au camion). Les grands ports jouent donc un rôle essentiel dans cette maritimisation. Observez la carte

de transport : ✓ Le transport maritime (de marchandises) = mode de transport dominant des flux mondiaux de marchandises → « maritimisation » de l’économie mondiale depuis 2de moitié du XXe s. 2,5 Mds de tonnes en 1970, 8,4 Mds de tonnes en 2010, 11 milliards de tonnes en 2019 ! En volume : pas loin de 90% du C.I. (en valeur : autour de 80%). On parle de maritimisation du monde. Répartition entre vracs liquides (pétrole), vracs secs (charbon bois… dans vraquiers) et marchandises (manufacturés

l’Organisation Mondiale du Commerce -OMC- a accéléré le mouvement de libéralisation des pays membres, promouvant de facto la globalisation des peuples. Ce développement s’est accompagné d’une dépendance croissante des économies à l’égard de la Maritimisation qui reste la voie de passage obligée pour le commerce des pondéreux. Incontestablement moteur de la croissance commerciale, le transport maritime apparaît dès lors comme le vecteur par excellence du commerce international qui facilite et contribue