Marque Nationales Vs Marque De Distributeur

L’environnement Politique – Economique – Socioculturel – Technologique – Ecologique – Légal => PESTEL => Analyse macro et micro Kotler-Dubois : 4 niveaux d’environnement Voir schéma 6) e.ii.IV) Analyse interne de l’organisation Identité (marque…) Fonctionnement Organisation Historique But DAS, portefeuille d’offres Stratégie marketing et relationnelle Pour déterminer la capacité stratégique de l’entreprise : Les composantes de l’analyse interne Qualitatif Quantitatif Les ressources

client, mais surtout afin de rentabiliser l’investissement de la prospection initiale des clients détenus en portefeuille. Par ailleurs, le recours aux techniques promotionnelles est très répandu, et le consommateur est vite devenu un zappeur de marques et d’enseignes à la recherche du produit le plus promotionné. Lorsque la promotion est définie sur le court terme, la fidélisation quant à elle est envisagée sur le long terme. Les deux approches sont donc paradoxales, l’une relevant du plan

DOUGLAS ET WIND "Le mythe de la globalisation" 3 STRATEGIE MARKETING INTERNATIONAL GLOBALISATION OU LOCALISATION? ADAPTATION DU MARKETING MIX COHERENCE AU NIVEAU INTERNATIONAL Chaque pays est différent. Économie d’échelles Image de marque 3 QUELQUES CONSTATS: L’environnement change de plus en plus vite. Développement des flux des personnes des biens de l’information. La concurrence devient mondiale donc plus intensive. Obligation de rechercher des économies d’échelle

Entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD), la Fédération des Enseignes de l’Habillement (FEH), le Fédération Française de la Franchise (FFF), la Fédération des Magasins de Bricolage et de l’Aménagement de la Maison (FMB), la Fédération Nationale des Métiers de la Jardinerie (FNMJ), la Fédération Professionnelle des Entreprises du Sport & des loisirs (FPS), la Fédération française du Négoce de l’Ameublement et de l’Equipement de la Maison (FNAEM), GS1 France, l’Institut Français du Merchandising

la redécouverte des fonctions du commerce. Le consommateur reste fidèle à une marque tant qu’il continue d’avoir ce qu’il veut, quand il le veut et au prix qu’il veut. Mais l’offre excessive qui lui est aujourd’hui proposée l’a entraîné à se remettre en question. Les clients historiquement fidèles à une enseigne aujourd’hui ne le seront plus systématiquement demain. C’est ce qu’on appelle l’« attrition » à une marque. La stratégie de fidélisation découle donc d’une réflexion approfondie sur les

idées séduisantes ne sont pas justes et toutes les idées justes ne sont pas séduisantes ». Il est à l'origine de l'enrichissement du travail qui remet en cause la division verticale du travail en donnant plus d'autonomie aux salariés. ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) Mais la relation de cause à effet entre satisfaction et production n’est pas forcément vérifiée, d’ailleurs un travailleur satisfait peut être improductif. En conclusion des relations humaines :

répondra aux questions : Qu’est-ce qu’un iPhone ? Un BlackBerry ? Quelles sont les sociétés qui possèdent ces marques ? Comment se porte le marché  mondial? Européen ? Chinois ? Etasunien ? Et quelle est la stratégie de Nokia, leader sur le marché de la téléphonie et des Smartphones ? Ensuite, nous découvrirons le plan de l’étude qui s’axera autour de trois composants : les stratégies des marques, l’implantation en région, et le comportement des consommateurs. L’iPhone d’Apple : La société Apple

Globalement, seule une minorité déclare  bénéficier d'avantages fidélité client : − Environ 1 sur 7 en banque.  − Moins de 1 sur 10 en assurance. Le taux de satisfaction des programmes  apparait nettement meilleur : − En assurance : 85% satisfaits  − Vs. 68% satisfaits en  banque Des avantages en lien avec les produits et services les plus  porteurs avec une forte dimension "économique" Les cumuls de points attractifs sur le principe s'avèrent déceptifs à l'usage. • En banque : 2ème CB gratuite

2010. Même tendance pour les effervescents Aop : ils enregistrent une perte d’acheteurs de 4,4 % par rapport à 2010, pour un taux de pénétration estimé à 21,8 %. Le niveau moyen d’achat recule également (- 5 % vs 2010 à 5,6 cols), tout comme le nombre d’actes achats annuels (2,7 soit - 5 % vs 2010) (voir graphique 2). Par ailleurs, ces vins effervescents ont principalement été achetés en grande distribution, avec 68

contraints de mettre en place des programmes de restructuration ces dernières années afin d’accroître la rentabilité de leurs sites, voire de cesser leur activité. A titre d’exemple, Groupe Alma a fermé son usine d’embouteillage d’eaux de source (marques Cristaline, Grands Bois et Sainte Lucie) basée à Fismes (Marne) en décembre 2010. De leur côté, les sociétés Eaux des Landes et Eaux d’Alet, toutes deux détenues par le groupe Eurokin, ont été placées en liquidation judiciaire début 2011. Ces nombreux