Melange Registre

=> les personnages : - réduits ici à eux infirmes = piètre image de l'humanité représentée. #princes, #rois, #héros MAIS un aveugle grinçant et tyrannique ( Hamm → marteau ) + un boiteux soumis ( Clov → clou ). - Registre tragique car ; leurs conditions dégradées sont le reflet de la société d'après-guerre ( 1957 ), meurtrie et désemparée => le sens/signification : - pas de repères stables - la parole devient suspecte, se perd dans un

précurseur du théâtre de l’absurde, s’empare de cette figure d’ordinaire noble pour créer un personnage grotesque et tyrannique, Ubu, dans la pièce intitulée Ubu roi parue en 1896. Situation du passage + résumé. b) Pbtiques possibles : Comment le mélange du comique et du tragique contribue-t-il à dénoncer un pouvoir tyrannique ? Comment Ubu est-il montré comme un tyran grotesque ? De quelle façon cette figure de roi exerce-t-elle le pouvoir ? Je retiens la suivante : en quoi cette scène d’affrontement

mythes d’Œdipe, d’Electre et d’Orphée ont-ils inspiré Cocteau, Sartre ou Giraudoux. La mort du héros tragique ou des personnages importants, si elle ne constitue pas un élément obligatoire dans le dénouement d’une tragédie ou d’une pièce recourant au registre tragique apparaît néanmoins comme récurrente. Dans cet extrait d’Electre (1937) de Giraudoux, Oreste, pour venger la mort de son père, tue le couple Clytemnestre-Egisthe. Le récit de cette double mort, assumé par le personnage du Mendiant, est destiné

symbole. Registre pathétique :champ lexical de la misère- comparaison avec les animaux (déshumanisation)-réaction affective de Candide (larmes, indignation, voc péjoratif, excamations, empathie « mon ami », « son négre »: l'adj. Possessif révèle qu'il épouse sa cause, comme Voltaire.)-découverte progressive de cette « abomination » par Candide : c'est la vue du nègre qui déclanche l'émotion et donc l'indignation, le conte permet une réprésentation physique , concrète de l'eclavage. Registre satirique:

7FR20CTPA0509 Objet d’étude :Théâtre, genres et registres statut: 81 Questions (6 points) Question 1 (3 points) Identifiez les registres employés dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage

par les personnages.  En effet, le registre de langue est peu soutenu : « bonne femme ; une mouflette ; p'tite mère ; Foireux » ; « la gosse se marre ». Ce vocabulaire, un peu particulier dans la littérature, fait sourire le lecteur et donnent un ton humoristique aux personnages et au texte. Mais ces termes employés s'opposent parfois et créent des jeux de mots ou des antithèses drôles. Ces mots sont de style très différents : les uns appartiennent au registre soutenu voire très soutenu, tandis que

théâtre car c'est un lieu où sont représenter des histoires réalistes qui les font réfléchir sur leurs vies et leurs désires tout en les distrayant. Par exemple, la pièce « On ne badine pas avec l'amour » de Alfred de Musset est un drame, car l'auteur mélange des éléments de comédie (avec les conflits entre les figures d'autorité : Dame Pluche, Le Baron, ect ..) et de tragédie (avec la mort de Rosette et le départ de Camille) tous sa dans le but de faire réfléchir les spectateurs sur leur désirs tous en

Nous sommes en présence d’un corpus de textes dont le registre est autobiographique. Nous pouvons constater que l’enfance y occupe une très grande place. Néanmoins dans une autobiographie les origines de l’auteur ne sont pas toujours présentes. C’est pourquoi, à partir de ces constats, nous allons nous demander si pour écrire son autobiographie, il est nécessaire pour l’auteur de remonter à ses origines. Dans un premier temps, nous verrons que l’autobiographie nécessite effectivement une remontée

révélation s’est faite pendant la cérémonie qui consacre l’entrée d’Amélie dans la vie religieuse. Ce passage représente donc, dans le cours du roman, un coup de théâtre qui va réorienter complètement la vie de René. Au tout début du passage, le registre pathétique mêlant violence et souffrance domine le texte avec ces mots : « cri » et « larmes ». Notons ensuite l’accumulation de verbes d’action dès la première phrase qui renforcent cette violence : « troublent [...]s’interrompt [...]ferment [

élémentaire, issu de la tradition de la farce et de la commedia dell’arte, et fondé sur des enjeux de mise en scène : mimiques, tics, mécaniques, cabrioles, chutes, coups de bâton… * Le comique de mots exploite le lexique familier ou grossier, le mélange du niveau de langue, les jeux sur les sens ou le son des mots (antiphrases, homonymie…), les déformations verbales et les effets de grossissements (hyperboles, répétitions…). * Le comique de situation consiste en quiproquo, travestissements, présence