Melange Registre

une dimension comique après le registre tragique qui imprègne l’Acte III, mais mise en relief du thème de l’identité présent dans toute la pièce : DC déguisé, n’est pas reconnu pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il n’est pas (Matalobos) ; et son véritable costume va causer paradoxalement sa perte  DC, le noble déguisé en bandit, devient aux yeux des autres, le bandit déguisé en noble. Lire la scène en entier Bien situer le passage Savoir ce qu’est le registre burlesque Savoir ce que sont un

roman. Présence de termes prosaïques. On a recours à un lexique qui renvoi à une réalité très « triviale », très terre à terre. Les dialogues sont d’une banalité absolue, à la limite du registre familier. En revanche, le dernier paragraphe se distingue par un style beaucoup plus noble. Il y a un mélange de niveau de langue et de style très différents qui n’est pas présent dans la Bible qui adopte un style soutenu. Axe II : La fin de l’histoire (dans les deux sens). On a le sentiment d’être

par la force" + grand général athénien. Début → scène d'expo. Ils sont échoués & commentent leur situat°. Comment la relation d'autorité vacille-t-elle au fil des répliques ? I. Exposition de la situation a) Des protagonistes Un début annonciateur Registre pathétique (soupir puis parole : syntaxe affective) → il l'appelle, met en valeur son rôle de maître mais a besoin d'un contact humain. Les répliques agissent comme un parallélisme ce qui souligne une antithèse (ils n'éprouvent pas le même sentiment)

de Victor Hugo sont "Notre-Dame de Paris" (1831) et "Les Misérables" (1862). L'auteur des Misérables, des Châtiments et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. I écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné. Poète militant, il s’est préoccupé tout au long de sa vie du sort

pages 220 et 219. J’ai demandé aux élèves de retrouver les éléments du décor qui faisaient référence d’une part à l’Antiquité, d’autre part au monde contemporain. Dans la question 5 , on montrera aux élèves qu’Anouilh tient à la juxtaposition des registres de langue. Cela débouchera sur des exercices et une évaluation. Séance 3 : Lecture / Ecriture. Comparer l’exposition de la pièce d’Anouilh à celle de La Thébaïde de Racine On s’appuiera sur la scène 1 du premier acte de La Thébaïde, lue et expliquée

questions est une parodie du langage tragique avec ses grandes questions existentielles qui tournent autour de la même notion : « Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point là ? N’est-il point ici ? » (l.5, 6). A la ligne 12, nous voyons des termes du registre tragique : la structure est emphatique et présente une gradation en rythme ternaire : « j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ». Le comique naît de l’écart entre les propos et les attitudes pathétiques d’Harpagon et la réalité qui, objectivement

FIGURE SYMBOLIQUE DU SPECTATEUR : Dans la première réplique de Pridamant le registre est tragique mais surtout pathétique. On repère cela grâce à la situation (un père voit sont fils mourir) qui suscite de l'émotion chez le spectateur ainsi qu'avec le champ lexical de la mort, la douleur et le désespoir. De plus, au vers 11, l'interjection « Hélas » nous confirme ce registre pathétique (type même d'interjection du registre pathétique).Le rythme ternaire ligne 6/7 nous apporte une sensation d'accumulation

vient compromettre son attrait pour la puissance politique. Il a fait son choix depuis le début, délaissera sa bien aimée pour le devoir politique, mais il en souffre atrocement. En effet, le verbe « aimer » clôture l’une de ses interventions.Le registre tragique est très présent dans ce passage et constitue la base du dilemme de Titus, ainsi qu’une amplification de ses doutes : les protagonistes de la scène sont de sang et de rang nobles, ils ressentent l’importance de la fatalité qui les mène.

du public, afin qu’on puisse facilement se mettre dans la peau du personnage. Puis, le texte de Samuel Beckett mélange tragique, comique et lyrique. On peut dire qu’il est tragique car leur destin est fatal « Venais à mourir » ( l10), « Plus un mot jusqu’au dernier soupir » (l16), «Plus rien qui rompit le silence de ces lieux »(l16-17). Ils sont donc tous destiner à mourir. Le registre tragique se retrouve en effet dans les deux autres textes avec l’évocation de la mort comme dans celui de KOLTES qui

tous les types d' argumentation mais nous pouvons aussi distinguer le registre pathétique qui est présent dans tous ces textes. La misère, une déshumanisation de l'homme Nous allons maintenant étudier les réactions des personnes confrontées à la misère et comprendre ce quil fait d'elle une forme de déshumanisation. Nous commencerons par voir que la misère se traduit par une mise à l'écart des pauvres , ensuite, que mélanger à l'ignorance celles-ci peuvent amener aux crimes et pour finir nous