Memoire Titrisation

par la crise financière et économique a-t-il entraîné l’instauration d’un nouvel ordre économique et financier mondial ? André DEBET Remerciements Je tiens particulièrement à remercier pour son aimable collaboration dans la rédaction de ce mémoire: - M. Alain Borderie 2 Table des matières Remerciements ............................................................................................................................. 2 Table des matières ................................

crédit vendeur le complément de prix (ou « earn out ») le remboursement d'une créance du vendeur sur la cible SECTION 3. modalités de refinancement des societes operationelles 1. le refinancement bancaire 2. le refinancement par voie de titrisation CHAPITRE ii. les ASPECTS JURIDIQUES D'UN LBO I. lbo et societe cotee : operation de « public to private » II. La situation contractuelle du vendeur et de l’acheteur. A. la garantie d’actif et de passif B.

externaliser leurs risques → elles vont chercher à sortir le risque de leur bilan, en essayant de vendre sur le marché certains types de produits : en particulier les risques de crédit. Par le biais de la titrisation, les banques participent à un processus de transfert des risques. La titrisation n'a pas seulement dilué les risques mais aussi le contrôle des risques. La crise des subprimes qui a éclaté en 2007 et qui a débouché sur une récession mondiale, a donc remis en question différentes caractéristiques

acceptable. C’est dans ce nouvel environnement que se sont peu à peu développé les nouvelles techniques de gestion du risque de signature qui font l’objet de ce mémoire. Il s’agit essentiellement de trois techniques : i) La cession de créances bancaires sur un marché secondaire de dettes bancaires ; ii) La titrisation de créances bancaires ; iii) Les produits dérivés de crédit. L’évolution essentielle engendrée par l’apparition de ces nouvelles techniques est

financeurs en échange d’une rémunération versée à l’échéance. Ce procédé permet à une entreprise d’obtenir des fonds sans avoir à passer par le biais de sa banque traditionnelle, et n’a été possible que grâce à l’essor des marchés financiers et à une titrisation croissante des modalités de financement mises en place par les entreprise. Pour pouvoir soutenir d’avantage les créateurs d’entreprises particulièrement les PME, le recours à des systèmes alternatifs de financement s’avère nécessaire, afin de réduire

ont transformé leurs créances sous forme de titres via le mécanisme de titrisation afin de pouvoir toucher des liquidités et disperser le risque de crédit. Des investisseurs du monde entier comme des banques, des fonds de pensions, des compagnies d’assurance, des gérant de SICAV (= fond commun de placement) ont été attirés par ces titres et les ont achetés dans le but de pouvoir profité d’un bon rendement. « La titrisation est à la base une activité très saine pour les établissements de crédits

de titres non encore enregistrés pour tenir compte des délais de règlement/livraison, des engagements liés à des instruments de financement à terme… On y retrouve notamment la trace les crédits accordés par une banque mais faisant l’objet d’une titrisation. Pour l’année 2008, en France, le bilan de synthèse des établissements de crédit se présente ainsi : En milliards d’euros |ACTIFS | |% |PASSIFS | |% | |Caisse

solution : améliorer son score. Trouver un emploi, par exemple, améliore le score, mais ça, vous vous en doutiez ! Les nouvelles méthodes de gestion du risque de crédit ont permis la création de nouveaux produits dérivés à plus fort rendement (la titrisation) : en gros, pour faire très simple, nous avons une créance (l’argent qu’on nous doit) à risque à laquelle on mélange une créance moins risquée, pour créer des placements, pour l’épargne. Puisque nous avons intégré des produits à risque avec des

rentabilité et beaucoup de personnes ont suivis le mouvement, si bien qu’en 2006 les biens immobiliers ont perdu de leurs valeurs et les couts des crédits s’envoler Les banques et les assurances sont particulièrement touchées car ils ont investi via la titrisation de ces subprimes. Les banques perdent la confiance publique, ne trouvent plus d'investisseurs qui sont inquiets, ils ne connaissent pas l'exposition aux subprime des différents acteurs financiers, ils n'apportent/ne prêtent plus d'argent aux banques

DEUXIEME PARTIE : LA TITRISATION DES CREANCES HYPOTHECAIRES : EST-ELLE UN INSTRUMENT DE REFINANCEMENT EFFICACE ? Depuis plusieurs années le système financier international est entré dans une phase de profondes mutations qui a été déclenché par deux forces principales : la déréglementation et les nouvelles technologies. Sous l’effet de ces deux forces combinées, on a ainsi assisté à une véritable explosion de la sphère financière et à une floraison de nouvelles activités