Merleau Ponty Liberté

plus simple et surtout bien plus confortable que lorsqu’on en est le contemporain immédiat. Reconnaissons à Sartre d’avoir eu le courage de prendre des risques avec une sincérité sans failles tout en restant toujours fidèle à sa philosophie de la liberté. Intellectuels : « personnes qui ayant acquis quelque notoriété par des travaux qui relèvent de l’intelligence abusent de cette notoriété pour sortir de leur domaine et se mêler de ce qui ne les regarde pas ». SARTRE. Prémices d’un homme

propre 7 à l’époque postmoderne. Celle-ci valorise les différences et le particularisme, l’« équilégitimité » . La revendication accrue des libertés et des droits traduit l’autonomisation de l’individu. La dissolution des valeurs traditionnelles laisse place à une unique valeur, « le droit de choisir nous-mêmes ce qui nous 8 concerne » . Cette liberté de choix signifie, en dernière analyse, le droit de choisir les critères de 9 vérité. La dissolution des valeurs traditionnelles est aussi celle

3) Le changement. La durée ne reste jamais identique à elle-même. La durée, c'est donc le temps dans sa pureté, une variation qualitative, continue, et irréversible. Elle est également imprévisible et c'est en elle que Bergson fait résider la liberté. Tout n'est pas déterminé à l'avance, c'est une illusion rétrospective qui nous fait croire que le passé rend les évènements nécessaires. Sartre : L'existence est le lieu de tous les possibles, et nous seuls seront responsables. L' « existentialisme

enseignante. Élevée de manière très pieuse dans sa famille, mais devenue athée très jeune, elle s'oppose fermement au mariage et développe sa pensée autour de la liberté et de l'autonomie des individus, plus particulièrement des femmes. Elle collabore avec d'autres intellectuels et artistes marquants du XXe siècle, dont Boris Vian, Maurice Merleau-Ponty et bien sûr Jean-Paul Sartre, à la revue ‘Les Temps modernes, , qu'elle a contribué à fonder. Ce qui ne l'empêche pas de travailler à sa propre œuvre littéraire

malaise et est victime d’hallucinations (au début de l’année 1891). Il tente de se suicider et est interné dans la maison de santé du Docteur Blanche. Il y meurt en juillet 1893. .Le romantisme: Le romantisme est le mouvement qui incarne la liberté : c’est « le libéralisme en littérature »1. Cherchant l’évasion dans le rêve, dans l’exotisme (« Parfum exotique » de Charles Baudelaire), il exalte le goût du mystère et du fantastique. Il réclame la libre expression de la sensibilité, et prônant

végétal) soumises à des lois générales. Ce sens se spécialise ensuite : 1) Ensemble de ce que Dieu a créé ou, dans une perspective non chrétienne, de tout ce qui existe; ensemble des êtres soumis à une causalité de type mécanique (par opposition à la liberté ou à l'esprit). 2) Le monde visible en tant qu'il s'oppose à ce qui est d'ordre affectif, spirituel ou intellectuel. 3) Par opposition à surnaturel, ce à quoi nous sommes habitués. Cf. Pascal, habitude, "seconde nature"   La culture Le terme culture

de textes philosophiques majeurs comme L'Être et le Néant(1943) ou L'existentialisme est un humanisme (1945), mais aussi de textes littéraires avec son recueil denouvelles publié en 1939 Le Mur ou ses romans : La Nausée (1938) et Les Chemins de la liberté (1945). Son théâtre avec des pièces – par exemple Les Mouches (1943), Huis clos (1944) ou Les Mains sales (1948) - est également une part importante de son activité littéraire durant la période existentialiste. Dans une période plus tardive, il publie

Freud, Proust, Thomas Mann et, de façon plus ou moins avouée, un Bergson, un Wittgenstein. Pourtant, il fut méconnu de ses contemporains, souvent violemment attaqué (récemment encore par Lukács) ou exclu de la galerie des grands philosophes (Merleau-Ponty). Schopenhauer est difficile à situer dans l'histoire de la philosophie : l'étiquette de romantisme semble inévitable, entraînée par le thème de la douleur universelle et du spleen, ou, plus simplement, par la chronologie : sa thèse (De la quadruple

Cependant, cela n’est pas aussi simple. Depuis quelque temps, l’être humain pense de plus en plus ne pas faire partie de la nature et constituer un être à part. Il aspire à croire qu’il n’est pas un être de nature car il estime être le produit de ses libertés et estime être régi par la culture. De même le mot « nature » possède différents sens : il peut vouloir dire l’essence ou la définition de quelque chose mais il peut aussi désigner tous les êtres vivants et leurs milieux voire l’univers tout entier

qu’ils choisissent d’être. Ils ont une existence (ex-istere = sortir de soi) : ils sont projet, perspective. Ainsi, je ne pourrais dire « je suis loyal » qu’à ma mort, en faisant le bilan de ma vie : je ne suis pas par nature loyal ou déloyal. Merleau-Ponty : « Un fois que je sui né, le temps fuse en moi (...) je ne suis pas l’auteur du temps, ce n’est pas moi qui prend l’initiative de la temporalisation ». Il pose l’idée que le temps est jaillissement. Il faut considérer le temps à partir de notre