Métalinguistique

didactique…) Classification par fonctions de langage ou fonction sociales. Les fonctions de langage : typologie de R. jakobson. On y classe les discours sur la base d’une fonction prédominante (fonctions référentielle, émotive, conative, phatique, métalinguistique, poétique). C’est assez délicat car un discours mobilise plusieurs fonctions à la fois et de plus, beaucoup d’énoncés ne peuvent être classés dans une de ces catégories. Les fonctions sociales : fonction ludique, de contact, religieuse… Mais

l. 1 à 3 : * Le nom du village est utilisé pour signifier tous les habitants : donne une impression de cohérence globale, d’unité face à une autre unité : les hommes blancs.* Emploie le nom commun de « story » : amorce la mise en abîme par l’énonciation même de l’histoire, dans l’histoire, à travers le discours direct, marqué par l’incise, elle, dans la narration.* Parallélisme entre l’entente et la vue, qui joue sur la thématique, dans la répétition de la même expression « with my own… ».* Jeu sur

décourage progressivement les autres. Le message et le code Tt enseignement doit ê métalinguistique, c'est-à-dire expliquer sans arrêt son propre code. Tache double : expliquer les termes techniques et s’assurer que les élèves comprennent bien les termes usuels L’enseignant se contente de repérer ceux qui possèdent déjà ce code Vrai moyen de lutter : créer chez les élèves des habitudes et des SF métalinguistiques comme questionner le maitre, consulter un dictionnaire Le modèle 2 gdes difficultés

l’affirmation n’est pas opposée à la négation : les phrases négatives peuvent fort bien épouser le contour prosodique ‘affirmatif’ (Le serpent ne tua pas Jacques Fréron). Nous avons fait état précédemment de nos réserves sur cette option métalinguistique (§1.4. supra), aussi nous bornerons-nous ici à un rapport neutre de la théorie présentée. Le constituant affirmatif se réécrit obligatoirement par le constituant Intonation affirmative (abréviation Intonaffir), distincte, par hypothèse, des

mode d’apprentissage Les connaissances explicites sont celles que le sujet est capable de verbaliser et de contrôler intentionnellement. Il s’agit bien, ici, de métacognition et plus précisément, dans le domaine du langage, de la conscience métalinguistique, mieux connue des didacticiens de la langue première que celui des connaissances implicites. L’importance de la conscience phonologique dans l’apprentissage de la lecture n’est plus à démontrer. La conscience de savoir qui caractérise les

titres comme révélateurs du titre romantique : il y a là une pétition de principe 28 qui n'ôte rien à la valeur du sondage et à l'intérêt des problèmes soulevés. La confusion volontaire entre le second titre et le soustitre (annoncé par un élément métalinguistique) est plus fâcheuse puisqu'elle entraîne une opposition non pertinente entre sous-titre « objectai » (désignant le texte entier) et sous-titre « subjectal » (désignant le sujet du texte) 29. Mais surtout on peut se demander si la méthode suivie

psychologique et sociologique entre émetteur et récepteur) est lié à la fonction phatique qui tend à vérifier si l’écoute du destinataire est toujours établie. Le code, symbolisme utilisé pour la transmission du message, est lié à la fonction métalinguistique du message. Par elle, destinateur ou destinataire vérifient s’ils utilisent le même lexique, la même grammaire. Dans ce modèle proposé par Jakobson, il faudra noter l’apparition ou la réapparition (parce que Shannon parlait déjà de code) des

plusieurs langues autres que le français. Sur le plan du développement cognitif, les recherches sur le bi-plurilinguisme font état d’un apport important pour les sujets vivant au contact des langues, notamment pour le développement des aptitudes métalinguistiques. Cependant, pour Hamers et Blanc (1983), suivant que les deux langues sont valorisées ou non dans l’entourage de l’enfant, celui-ci développera des formes différentes de bilingualité2. Si les deux langues sont suffisamment valorisées, l’enfant

avec les mots car l'enfant va en expérimenter les propriétés. Ils vont manipuler les mots pour découvrir leur propriétés. Exemple les enfants avant de dormir vont parler et changer les lettre des mots. A partir de 5 ans : début des activité métalinguistiques cad des activités qui porte sur le lgg en tant que tel. Ils sont capable d'effectuer des tâches de jugement sur la longueur des mots. Si à 4 ans on demande à u nenfant si « train » est un mot long ou court l répondra « long » car il ne fait pas

conative du message. √ Le contexte, ensemble des conditions extérieures aux messages et qui influence sa compréhension, lié à la fonction référentielle du message. √ Le code, symbolisme utilisé pour la transmission du message, lié à la fonction métalinguistique du message. √ Le contact, liaison physique, psychologique et sociologique entre émetteur et récepteur, lié à la fonction phatique du message. [pic] -7- Le modèle de Gerbner Geroge Gerbner, sociologue des années 1950, avait l'ambition