Mineur émancipé Commercant

On considère que la famille est une « mini » société organisée juridiquement. La loi intervient, il en découle les droits parentaux, entre autre. L’autorité parentale dont sont détenteurs les parents à l’égard de leurs enfants tant qu’ils sont mineurs. Chapitre 2 : les sources des droits subjectifs 2 types de sources I) les actes juridiques Un acte juridique est une manifestation volonté conforme à des règles légales et destinée à produire des effets de droit. C’est un évènement

nationales 2. Les sources internationales Chapitre 3 : Commerçants, commercialité et actes de commerce 1. Conditions d’acquisitions de la qualité du commerçant 2. Les actes de commerce (par la forme / mixte / par accessoires) Chapitre 4 : Le droit d’exercer le commerce 1. La capacité juridique à exercer le commerce 2. Les restrictions légales à l’exercice du commerce Chapitre 5 : Les obligations imposées aux commerçants  1. L’obligation d’immatriculation au registre de

se prépare à concrétiser ses projets pour l'âge adulte. Définition des mineurs : La "minorité" est le nom donné au statut juridique que la loi attache à la personne qui, en France, n'a pas atteint l'âge de 18 ans. Définition des enfants : Un enfant est un garçon ou une fille qui n'a pas encore atteind la puberté c'est-à-dire jusqu'à environ l'âge de 11-13ans. Tout compte fait, être jeune, enfant ou mineur, cela est très différent. Définition de la discipline : La discipline

la loi 5-96 du 13 février 1997, la société en non collectif est définie comme étant « une société dont les associés ont tous la qualité de commerçant et répondent indéfiniment et solidairement des dettes sociales ». Cette définition de la SNC démontre clairement que cette société est commerciale par la forme et que tous les associés ont la qualité de commerçant, et on voit bien que la commercialité de la société s’étend à ses membres. Il est important d’observer également que cette définition est

civil : • Pour le mineur non émancipé (pas d’actes de commerce), même représenté par son tuteur : l’acte d’achat d’un fonds encoure la nullité relative (de protection) que peut seul invoquer le mineur (prescription de 10 ans). Cependant, la vente du fonds (uniquement par enchère publique) est possible par l’entremise du représentant légal, autorisé par le juge des tutelles. • Pour le mineur émancipé (seulement des actes de commerce à l’état isolé) : comme ne peut être commerçant, aucun intérêt à

personnellement est tenu de remplir son engagement sur tous ses biens mobiliers et immobiliers, présents et à venir. Ce principe est appliqué chaque fois qu’il y a une procédure collective qui frappe un entrepreneur. Exemple : possible de mettre un commerçant en redressement judiciaire car ne paie pas son loyer d’habitation. Pas de distinction entre les biens affectés à l’activité professionnelle et ceux rattachés à la vie extra professionnelle. Notion de patrimoine : théorie mise en avant par Aubry

LA PROFESSION COMMERCIALE Le statut de commerçant emporte un certain nombre de droits et d’obligations qui sont parfois inconnus des simples particuliers. Il est, par conséquent, important de savoir qui est commerçant ou plus exactement comment on accède à la profession commerciale. A lire l’article 2 de l’acte uniforme relatif au droit commercial général, on a l’impression qu’il suffit d’accomplir des actes de commerce pour devenir commerçant. L’examen des articles 6 et suivants révèle

La capacité : Les actionnaires n'acquièrent pas la qualité de commerçant. Un mineur émancipé peut souscrire des actions ; il en est de même pour un mineur non émancipé mais la souscription doit se faire par l'intermédiaire d'un tuteur, ou d'un administrateur légal. Le majeur protégé peut souscrire. Pour un étranger, dans la mesure où la qualité de commerçant n'est pas requise, il n'y a pas nécessité de carte de commerçant. Pour être actionnaire, aucune interdiction ni incompatibilité ne

compte. Certains utilisateurs des chèques, connaissant ces “temps d’attente” reconnaissent jouer avec les dates. Par ailleurs, les chèques sont, en pratique remis périodiquement par les bénéficiaires à leur banque pour encaissement. En effet, les commerçants regroupent les chèques, billets et traites dont ils sont bénéficiaires et les remettent à leur banque périodiquement sous bordereau. En effet, il serait fastidieux de devoir se rendre à la banque pour chaque chèque reçu. Ainsi les délais de latences

porteur. (Evite multiplication des monnaies) Exploitation de nouveaux territoires et renforcement du pouvoir royal : - Ordonnance de Colbert, 1673 (Code Savary) : législation structurée propre aux activités commerciales - codes qui distinguent les commerçants du droit civil - Colbertisme : l’Etat doit impulser/diriger/contrôler l’éco. Liberté du commerce et de l’industrie - Décret D’Allarde, Loi 2-17 Mars 1791 : révolution française marque le triomphe du libéralisme - Loi Le Chapelier, Décret 1791 :