Mircea Eliade

le mythe, du grec «muthos» est perçu, selon Mircea Eliade «comme un récit populaire ou littéraire mettant en scène des êtres surhumains et des actions imaginaires», il fait remarquer que dans les sociétés «archaïques»: «Le mythe désigne, au contraire, une « histoire vraie » et, qui plus est, hautement précieuse parce que sacrée, exemplaire et significative».11 En effet, pour beaucoup d=Africains, le mythe, comme le souligne si bien Mircea Eliade est: «une histoire vraie, sacrée et précieuse»

« Le Temps se meut en cercle », affirmait Platon. Marc-Aurèle écrit dans le même sens : « toutes les choses sont éternellement semblables et recommençantes ». On peut voir une explication de l'Éternel retour grec et nietzschéen dans ces propos de Mircea Eliade (photo ci-dessous à droite), philosophe roumain du XXe siècle : « l'univers est considéré comme éternel, mais il est périodiquement anéanti et régénéré à chaque création. La doctrine de la conflagration périodique se retrouve chez Héraclite et

apropierea sa de tezele „autenticismului“ literar, foarte activ la acea vreme. Or, pentru generatia lui Mircea Eliade, literatura este în primul rînd un mijloc de cunoastere de sine, o prelungire a experientei vitale, prin mijloacele maximei sinceritati, într-un domeniu care permite însumarea experientei. Sensul compensator al activitatii literare în fata unor frustrari existentiale lipseste la Eliade, dupa cum lipseste la Blecher. Teza „textualista“ a autoarei bucurestene nu-i face dreptate autorului

renaissance. Le blanc de l'ouest est celui de la mort, le blanc de l'est est celui du retour, de l'aube. Le blanc est également la couleur des êtres du monde surnaturel, des spectres et autres créatures de la nuit, c'est la couleur du linceul. Pour Mircea Eliade, dans les rites d'initiation, le blanc est la couleur de la première phase, celle de la lutte contre la mort. Le blanc est la couleur des responsabilités assumées, de pouvoirs pris et reconnus, de renaissance accomplie, de consécration. Dans la

dire que les plus grandes inventions de l’homme sont le feu, la roue et l’automobile. Plus sérieusement, quand on recense les mythes dans différentes cultures, on y voit l’importance de la lumière. Quand, je parle ici de mythe, c’est au sens de Mircea Eliade. C'est-à-dire une histoire à caractère sacré dont la vocation est d’expliquer l’ordre du monde et dont la transmission se fait de manière initiatique. Ainsi, chez les Egyptiens au commencement étaient les eaux primordiales ténébreuses, Noun.

Thompson : mitologii ale traversarii, page 361, dernière section). J’ai trouvé aussi très intéressants les articles où l’on fait l’analyse de la démythisation de certaines idées oui valeurs fondamentales comme le bien, le beau, l’éthique. Ainsi, Mircea Diaconu dans Cioran şi Demiurgul cel rău ?! (page 95, deuxième section) met en relief l’idée de bien que Cioran dévalorise tout le temps dans ses œuvres parce que cela porterait atteinte à la liberté de l’esprit. Accepter le bien est dans la vision

même sa place réelle, son but ou utilité dans l’Univers. Mais revenons-en aux sources… L’Architecture Sacrée fait son apparition en des temps reculés, où l’Homme prend conscience de forces invisibles et d’une certaine idée de l’Immortalité. Mircea Eliade écrit : « La nature, toute entière, est susceptible de se révéler en tant que sacralité cosmique ». On comprendra donc le besoin de l’Homo Religiosus de vivre en harmonie avec tout ce qu’il perçoit intuitivement. La notion d’Ame et d’Esprit des

est á son déclin á l'heure du crépuscule. L'écoulement de la vie vers le cul de sac de la mort constitue l'un des thémes qui hantent Apollinaire. Le ciel, les astres, les étoiles dont il est ici question, nous renvoient á la notion d'en haut. Mircea Eliade affirme que «le haut est une catégorie inaccessible á l'homme comme tel, elle appartient de droit aux étres surhumains» 6• Cette espéce de fuite du poéte vers le haut répond á une tentative de transcendance (!), car seul le ciel est divin, seul

gestes nous reliant à une période antérieure à la tradition écrite . Tandis que le mode verbal est basé sur le pouvoir du verbe , le mode gestuel est basé sur «  l’effet de magie «  , le terme de magie étant utilisé dans le sens que lui donne Mircéa Eliade dans «  images et symboles , à savoir « rien n’est séparé de rien «  ou «  tout est lié «  par une texture invisible .Ici apparaissent des relations invisibles entre le conscient et l’inconscient ; des gestes clefs qui par leur répétition mettent

entre les mains de ses propres fils. » Discours de l’indépendance. Notions : Mythe et Raison – Philosophie - humanité 152. Mircea Eliade : « Le mythe raconte une histoire sacré, son rôle est de fournir une histoire signification au monde et à l’existence humaine. » Aspect du mythe 153. Mircea Eliade : « Le mythe se trouve être le fondement même de la vie sociale et de la culture. » Mythe, raison et mystère 154. François Jacob : « Et il faut bien reconnaitre