Mission Sociale Du Poète

Imiter les œuvres de l’Antiquité pour en retrouver la richesse Défendre la langue française contre l’usage du latin Exalter la grandeur de l’univers. Célébrer le poète inspiré par la« fureur divine » Formes Privilégiés : L’ode, l’hymne repris de l’Antiquité, le sonnet emprunté à la poésie italienne. Thèmes essentiels :

que la lecture des textes antiques • répandre toutes les formes d’art •imiter les œuvres de l’Antiquité pour en retrouver la richesse • défendre la langue française contre l’usage du latin • exalter la grandeur de l’univers. • célébrer le poète inspiré par la « fureur divine » Le roman, l’essai, le portrait, L’ode, l’hymne repris de La littérature didactique (qui l’Antiquité, le sonnet Enseigne),la poésie, l’épître emprunté à la poésie italienne. • la méditation sur l’Homme et sur

Charles d'Orléans ou les ballades de François Villon. Le Moyen Âge se clôt sur le des Grands Rhétoriqueurs, poètes de cour qui exploitent les ressources du langage pour émerveiller leur mécène. ▶ LE XVIE SIECLE. Au début de la renaissance, le poète Clément Marot perpétue des formes fixes comme le rondeau et la ballade. Mais il est aussi celui qui introduit en France le sonnet, forme moderne héritée de l’italien Pétrarque (XIVe siècle). Il y a deux écoles poétiques au XVIe siècle : - L’Ecole

Introduction au romantisme Dans cet exposé on va parler du romantisme, de son contexte et des thèmes majeurs de cette époque. D’abord, on va situer le romantisme par rapport à son contexte historique, politique et social. Ensuite, nous parlerons de l’environnement littéraire ainsi que des thèmes et oeuvres les plus représentatifs du mouvement. Plus tard, nous lirons un extrait d’Alfred de Musset et à la suite nous approfondirons avec l’analyse du texte. Pour finir, nous conclurons avec notre

façon de ciseler son génie. Conforme à l'esprit romantique qu'il incarne, Hugo se libère des règles de versification. Il fait toutefois exception car la plupart des dramaturges romantiques préfèreront la prose. 5. Mission du drame romantique Le drame romantique s'investit d'une mission sociale et humaine ; il revêt une importance politique, philosophique ou morale. Il ne s'agit plus de distraire le spectateur mais de lui permettre d'appréhender le présent par le recours à la représentation historique

lieu important et remplit plusieurs rôles: elle héberge le seigneur et sa famille. Elle est un centre économique ou s’échangent des biens et des services. Elle est aussi un refuge pour les populations paysannes. On l’a comprit, le chevalier a pour mission de défendre Dieu et les petits gens. Il passe sa vie à s’entraîner au combat(revêtu d’une armure de plus en plus lourde), au tournoi ( il se mesure aux autres seigneurs) et à la chasse pour exercer son courage. Il écoute les chansons de geste qui

beau a un sens tout à fait esthétique, pas moral ou didactique. Il se différencie à Hugo, parce que pour lui l’art se suffire à lui-même, ce n’est pas un art à these, la littérature n’a pas besoin d’être charger d’une mission. Il choisit le beau, parce que à travers le Beau, le poète peut élever l’homme au-dessus du quotidien, le beau est un pouvoir immense. Pour lui, le but sacré de la poésie, c’est de susciter des émotions chez le lecteur, de le faire surpasser le banal, laideur pour atteindre l’idéal

le journal le plus lu de Beyrouth. Grand reporter pendant douze ans, il effectue des missions dans plus de soixante pays, couvrant notamment la révolution iranienne et la guerre du Vietnam. A cause de la guerre, il fuit le Liban et vient s’installer avec sa famille à Paris en 1976. Sa langue d’ombre, dans laquelle il écrivait déjà poèmes, nouvelles et début de romans, devient alors sa langue publique et sociale, renforçant ainsi son désir d’écrire. Il continue cependant de travailler comme

simples « contes ». Dévaloriser son présent est bien sûr une façon polie de louer l’ami auquel on l’offre ; mais c’est aussi renvoyer à une hiérarchie bien réelle, et très forte au XVIIe siècle, entre la politique et la littérature : la grandeur sociale est d’un autre ordre que la poésie, et l’écart est d’autant plus grand dans le cas des fables, c’est-à-dire de « vers » à la « grâce légère », autrement dit de vers qui ne sont faits ni pour célébrer Dieu, ni pour louer le roi. Dans cette poésie badine

Les Fleurs du Mal de Baudelaire Introduction Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. « Dante d'une époque déchue »1 selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la :« modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du xixe siècle. Les Fleurs du Mal constitue l’œuvre majeure de Charles