Mittal

Warren Buffett (50 milliards). Bernard Arnault, dont l'empire du luxe LVMH profite de la croissance des pays Èmergents, les talonne, avec une fortune de 41 milliards de dollars. Dans le ´ top 10 ª de ´ Forbes ª, figurent aussi deux Indiens, Lakshmi Mittal et Mukesh Ambani, respectivement présidents du sidérurgiste ArcelorMittal et du conglomérât Reliance Industries, ainsi que le brésilien Eike Batista, notamment présent dans le secteur minier. …Ric Chalmet DATE-CHARGEMENT: 14 Mars 2011 [pic]

(faible qualification, plus de 50ans) Comment être sûr qu’une branche est vieillissante ou pas nucléaire ? Aéronautique ? Automobile ? Certaines activités vieillissante sont stratégiques (débats sur la nationalisation du site de Florange d’Arcelor Mittal) C/ Faut-il protéger l’environnement ? Développement durable : création de richesse sans remettre en cause la capacité des générations futures à en créer également. Il y a 3 axes : Axe économique : préserver les ressources renouvelables. (Pétrole :

mais depuis peu, on assiste à l’émergence de FMN originaires des pays émergents : un tiers environ des FMN dans le monde proviendraient des pays émergents en 2005, pour à peine 10 % en 1990.De nombreuses FMN ont acquis une dimension mondiale : MITTAL et TATA en Inde, SAMSUNG et DAEWO pour la Corée du Sud, PETRONAS en Malaisie, LENOVO et HAIER en Chine… Les causes de la multinationalisation sont nombreuses. Les trois plus importantes sont : - les coûts : les FMN sont confrontées à des augmentations

également noter la création en 1981 de MARUTI, associé ultérieurement à SUZUKI et qui est devenu le premier constructeur automobile indien, et fournit en voitures les pays voisins. Parmi les grosses entreprises d’origine indienne se trouve ARCELOR MITTAL, qui est le premier producteur mondial d’acier. Il y a également le GROUPE TATA qui compte 93 sociétés et un chiffre d’affaires de 55 milliards de dollars; ce groupe de sociétés compte dans ses rangs des sociétés telles que TATA STEEL, 4e mondial

contre  la  Chine à l'OMC  même si les  parties ont depuis provisoirement transigé.   En fait, il faut bien considérer que la Chine n'est pas seule en Afrique. Outre les intérêts nord-américains et   européens, les firmes de l'Union indienne (Mittal), du Brésil (Vale) ou de Russie (Gazprom, en particulier  en Algérie) sont aussi présentes en Afrique.  Or il est de moins en  moins  rare  que  les  gouvernements  africains mettent en concurrence ces intérêts étrangers  pour faire  monter les

prenantes. Rapport CSR de Total 2012, p 16-17 63 Arcelor-Mittal classe ses parties prenantes dans un cercle en opérant une distinction en fonction des différents degrés d’importance : - pourquoi sommes-nous importants pour nos parties prenantes ? - pourquoi sont-elles importantes pour nous ? Et d’engagement : - manières de s’engager avec nos parties prenantes - intérêts majeurs des parties prenantes. Corporate Responsibility Report Arcelor-Mittal 2010, p 14 64 6. Conclusion L’étude présentée permet

Covenants & levier : le cas Arcelor Mittal (2/2) Dettes Financières nettes (Milliards US Dollar) Ce que gagne l’entreprise (Milliards US Dollar 2004 1,6 20,6 2005 7,9 28,1 2006 21,6 4,7 2007 22,1 7,5 2008 25,7 12,2 Financement soumis à covenant : Dette financière nette 1,5 Rupture du covenant : remboursement coût crédit Rupture des covenants en 2009 : T1 2009 1Mds de gain (soit 4Mds de projeté contre 7,3Mds requis) Juillet 2009 : négociation Arcelor Mittal / Banques sur 17Mds et accord. La banque

imprécis et même les entreprises les plus solides ne sont pas à l’abri d’un rachat brutal à l’exemple de Gillette rachetée pour 57 milliards de dollars en février 2005 par le groupe Procter & Gamble ou le groupe Arcelor à l’été 2006 par l’entreprise Mittal. C’est enfin la flexibilité qui s’accentue et ceci à l’intérieur même des entreprises avec le développement des SBF (sans bureau fixe) où les salariés n’ont plus de bureau attitré et s’installent à des places attribuées selon leur ordre

monopole des grandes firmes, puisque de plus en plus de PME pensent directement à s'implanter sur un marché multinational. Ensuite, des multinationales venant de pays émergent commencent à peser sur l'économie mondiale. Il y a par exemple, le cas de Mittal et Arcelor en 2005-2006.

ce qui est légitime, on ne s’occupe d’améliorer, bien entendu, les conditions de travail en Europe, qui passent bien après en ordre d’importance. Laurence Laigo a conclu en exprimant son regret de voir une « levée de bouclier » contre l’OPA de Mittal sur Arcelor, alors que les OPA des groupes français à l’étranger ne suscitent aucune réaction. Selon elle, la vocation des syndicats est plutôt « d’émanciper les salariés », de les faire participer au débat public et de leur expliquer les phénomènes