Modèle Ws Ps

Le modèle WS-PS et le chômage d’équilibre Antoine d’Autume Octobre 2001 Etude réalisée pour le compte de la Direction de la Prévision du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie EUREQua, UMR 8594 CNRS-Université Paris I Maison des Sciences Economiques, 106-112 boulevard de l’Hôpital, 75013 Paris Résumé : Le modèle WS-PS (wage-setting, price-setting), introduit par Layard-NickellJackman(1991) et approfondi récemment par Cahuc-Zylberberg(1999), constitue une référence pour

UFR SEGMI Département d’Économie Année 2015-2016 L2 Macroéconomie B Mmes C. Coudrat – A. Labye Document n°3 L’économie de moyen terme : le rôle des institutions et des anticipations Le modèle IS-LM étudié dans le TD1 est le premier modèle synthétisant la vision néoclassique et keynésienne de l’économie. Ces deux approches fondamentalement différentes s’appuient l’une sur l’efficience du marché qui permet d’obtenir un équilibre de plein emploi à long terme grâce à la variation des prix et une politique

1) Les théories économiques de l’Union Européenne pour réduire le chômage à l’origine de nouvelles pratiques d’« activation » A) L’application de la théori e économi que néo-classique par l’Uni on Européenne : le modèle wage s etting pri ce s etting (WS-PS) Le modèle WS-PS (wage-setting, price-setting) introduit par Layard-Nickell-Jackman (1991) constitue une référence pour fonder un taux de chômage d’équilibre. Celui-ci résulte de la confrontation entre une courbe W S (wage setting), représentant

par les seconds afin de démontrer en quoi les politiques conjoncturelles de relance s’avèrent inefficaces voire néfastes, puis recyclée par les nouveaux keynésiens au sein du modèle WS-PS. 1. L’interprétation keynésienne Dès 1960, Lipsey substitue à la variable « salaires nominaux » une variable « inflation » dans le modèle de Phillips. De fait, l’augmentation des salaires nominaux est intimement liée à l’inflation. Elle entraine une augmentation de la demande et une augmentation des coûts de production

06/11/2012 Chapitre3. Le modèle Offre  Globale/Demande Globale 1 Introduction 2 3 1 06/11/2012 Remettre les entreprises dans leur comportement de fixation des prix et des salaires au cœur de l’équilibre macroéconomique. 4 1. L’offre globale 1.1. La fixation du prix Une entreprise en concurrence monopolistique opère en une  combinaison de prix  P et d’output  Y située sur sa courbe de  demande Z(P). Pour un salaire nominal W donné, l’entreprise  fixe sa production et son prix de manière à maximiser son 

Ils adhèrent à ce que l’on appellera désormais la «synthèse néoclassique» : ! ! ➢ Le modèle Classique (néoclassique) est considéré pertinent pour comprendre les phénomènes de long terme et les comportements microéconomiques. ! ! ➢ L’analyse keynésienne semble plus pertinente pour comprendre les phénomènes macroéconomiques de court terme. La représentation emblématique de cette «synthèse néo-classique» est le modèle IS/LM, originairement issu du fameux article de John Hicks de 1937 : «Mr. Keynes and

confrontation entre une ou des offres et une ou des demandes. L’objectif c’est de pouvoir procéder à des échanges et ils se font sur la base d’un système de prix. Tout cela résulte d’une négociation entre les parties présente. Le marché dans un modèle de concurrence parfaite, càd un marché idéal dans la théorie standard. Mais c’est une forme d’organisation des transactions extrêmement centralisées. Celle ci est mit en œuvre par une institution du type commissaire priseur. Celui ci propose des prix

ménages est en fait leur revenu net, impôts déduits : YD = Y − T G = G = 200 Il s’agit d’une équation institutionnelle qui représente les dépenses publiques (ou dépenses des administrations) qui sont exogènes (c’est à dire qui ne dépendent pas du modèle) T = T = 100 Il s’agit d’une équation institutionnelle qui représente le niveau de l’imposition qui est exogène I = I = 200 Il s’agit d’une équation de comportement qui définit l’investissement des entreprises. Ici l’investissement est exogène et

salariales sont revues a la hausse, les salaires plus élevés forcent les entreprises à diminuer leur production, le taux de chômage augmente (modèle WS/PS, décalage de WS vers la droite). Comme en plus la masse monétaire s'est accrue, le taux d'inflation s'élève. L'incohérence temporelle, loin d'aboutir a une baisse du chômage par une hausse de la production (modèle IS/LM, décalage de LM vers le haut). L'incohérence temporelle des décisions prises par la banque centrale lui a fait perdre sa crédibilité

à ces difficultés > un modèle global. Des problèmes de financement qui sont liés à la crise et au perspective du vieillissement démographique, donc d’abord des réponses nationales avec des ajustements, des paramètres de la contrainte financière et cette qs des retraites prend une dimension internationale ds les année 90 avec la publication des rapports de la banque mondiale des 1994 World Bank « Adverting the Old Agelins «  elle( la banque mondiale) propose un modèle, de réforme pour les retraites