Monologue Animaux

Prendre un bon bain chaud et parfumé Faire une activité physique ou sportive Se faire masser le dos, les pieds ou le corps par quelqu’un Jouer, rire avec les enfants, comme un enfant Bricoler, dessiner, jardiner, cuisiner un bon repas Caresser un animal, l’observer, aller le promener Paresser un peu, lire, écouter de la musique Sortir, aller au spectacle, passer une soirée entre amis Faire des pauses régulières dans son travail Boire de temps en temps un grand verre d’eau fraîche Remplacer une soirée

E.V.Rakhilina Institut de la langue russe de l’Académie des Sciences de la Russie rakhilina@gmail.com LES SONS « ANIMAUX » 0. INTRODUCTION Il existe une idée ancienne selon laquelle la langue est essentiellement une grammaire et non un lexique, idée soutenue depuis toujours par la linguistique, ce qui est compréhensible. Il est intéressant cependant de voir que ce point de vue est partagé par des gens « ordinaires ». En effet, quand une personne qui étudie une langue étrangère dit qu’elle apprend

provoque la stupeur et occupe quelque temps la conversation des passants : Bérenger, plumitif timide et velléitaire, son ami Jean, avec lequel il se dispute, et un chœur de personnages falots que domine un «logicien»; puis, malgré le passage d’un second animal, tout semble rentrer dans l’ordre (Acte I). Le lendemain, au bureau où travaillent Bérenger et Daisy, une jolie dactylo qui a également assisté à l’incident, employés (Dudard et Botard) et chef de service (M. Papillon) se montrent incrédules. Mais

Soudainement un Rhinocéros traverse la place à toute vitesse bruyamment. Toutes les personnes (un vieux monsieur, un logicien, le patron du café, la servante, une ménagère…) sur la place sont étonné de voir un Rhinocéros puis sont choqués de voir un animal de cette sorte en liberté, à par Bérenger. Bérenger aperçoit alors la jeune Daisy, dont il est amoureux mais il est trop timide pour lui déclarer sa flamme. Il en parle à Jean qui lui conseil alors de se cultiver et de laisser son côté festif

personne qui parle est probablement Victor Hugo: « je, ma, moi, mon »; « jeanne et Georges », on sait que ce sont ses petits enfants, mais le lecteur lui peut-il le savoir? Donc Victor Hugo semble se parler à lui-même. Donc on est dans une sorte de monologue intérieur. Même procédé avec le quai ( VH sait de quel quai il parle) mais on glisse du je vers le on de l'individuel à l'universel: on entend haleter un steamer B Un poème sonore champ lexical de la sonorité on nous rapporte des bruits :

et vacillante b)Un personnage comique: pantomime, gesticulation, jeu avec la lunette, l'escabeau II. Un personnage sans épaisseur psychologique a) Transparent: -Physique raide, très fin= parle peu, laisse à Hamm le privilège des tirades et monologues, répliques courtes -Traité comme un chien par Hamm b) Sans passé: Clov n'a aucune mémoire de son passé à la ≠ de Nagg et Nell (souvenirs de vieux couple) et de Hamm (monde passé) III. L'utilité de Clov a) Participe

puis attendant quelques secondes sans réponse, je décide de rentrer. Madame P. regarde par la fenêtre, perdue dans ses pensées. Je l'appelle et lui demande gentillement si je peux m'asseoir à ses côtés : elle ne me répond pas. Je commence alors mon monologue en lui disant que je ne suis pas là pour l'embêter mais pour l'aider dans ses soins et lui apporter de la compagnie. J'ajoute également, pour la faire réagir, que je ne suis pas ici pour faire pleurer les gens et si vraiment elle ne veut pas de moi

de l'année, proportionnellement, l'adolescence commence au même niveau de la vie. On peut donc considérer que le printemps est la saison qui représente le mieux cette mutation de l'enfance à l'adolescence, où les arbres commencent à fleurir et les animaux se font la cour . Moyens mis en place par / pour le spectacle : La pièce prend place dans la grande salle du Cratère à Ales. La scène est composé de manière à « créer » un intérieur et un extérieur, en effet, il y a d'abord une « scène sur

passer aux thèmes de la quatrième séquence, est clairement le vers 32, commencement de la quatrième partie, « Que votre sort est différent au nôtre ». C’est la première fois que le poète, Mme Deshoulières, s’adresse aux oiseaux, pour constituer un monologue vers eux -et vers nous-. Ce « votre » nous lance à l’explication que Mme Deshoulières va à donner sur la sort des oiseaux en la comparant au « nôtre », qui nous entraîne de nouveau vers la troisième séquence, vision négative de la sort humain.

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Sujet : suite à votre lecture de Rhinocéros, vous analyserez les scènes de présence des rhinocéros en vous intéressant tant à la façon dont ces animaux apparaissent, qu'aux réactions qu'ils suscitent sur les autres personnages de l’œuvre et le lecteur. L’analyse des scènes et les situations précises aideront à répondre à ce sujet. Alors que l’Europe sort des conflits mondiaux et celle-ci commence