Monologue Caractère Artificiel

ailleurs, le déroulement de certaines scènes des deux tragi-comédies présente de nombreuses rencontres de détail sur le plan de l'organisation et de la formulation : - dans le premier acte (Dorimon, sc. 3/Villiers sc. 3), Dom Juan fait, dans un monologue, l'exposé de sa conception de l'amour : Je ne connus jamais un amour violent, Et ne veux d'Amarille être que le galant, En poursuivant ce bien jamais la jalousie N'arrêtera le cours de ma galanterie. Je me ris de l'espoir d'un langoureux

contexte littéraire marqué par l'influence de Proust et d'autre part par la lecture des anglo-saxons: le stream of consciousness, le flux de conscience (très présent chez Joyce). Manière de reproduire la pensée par des monologues intérieurs, pour refléter notre conscience. Le monologue intérieur chez Cohen est extrêmement déployé dans Belle du seigneur. Phrases extrêmement longues, reprises de certains groupes sémantiques, pour permettre la reprise de la logique de l'esprit. Également contexte de

Le conte et la nouvelle On ne saurait établir entre le conte et la nouvelle, tous deux des récits brefs, une frontière précise, si ce n’est que le terme conte convient sans doute mieux au récit merveilleux et fantastique, aux histoires dont le caractère oral est affirmé et qui se termine souvent par une morale. Comme la nouvelle, le conte existe en France depuis le Moyen Age, avant de se développer particulièrement au XIXème siècle avec des écrivains comme Guy de Maupassant auteur de Boule de suif

conte et la nouvelle On ne saurait établir entre le conte et la nouvelle, tous deux des récits brefs, une frontière précise, si ce n’est que le terme conte convient sans doute mieux au récit merveilleux et fantastique, aux histoires dont le caractère oral est affirmé et qui se termine souvent par une morale. Comme la nouvelle, le conte existe en France depuis le Moyen Age, avant de se développer particulièrement au XIXème siècle avec des écrivains comme Guy de Maupassant auteur de Boule de

il n’existait plus. » SÉANCE 6 ● Les types de discours On s’appuie sur l’étude du texte 6 (voir p. 172, chapitre III d’Un cœur simple, l. 571633). Le discours direct, le discours indirect, le discours indirect libre, le discours narrativisé et le monologue intérieur sont facilement repérables dans ce passage. Le discours direct se caractérise par l’utilisation de guillemets, d’un tiret, d’une proposition incise (verbe introducteur plus nom du locuteur) et d’un passage à la ligne. Le discours indirect

sentiments Support: Ch I ou II du Dernier jour 1) Le rythme des phrases La variation du rythme des phrases peut créer différentes impressions: - un rythme binaire produit une impression de stabilité, d’équilibre, ou a au contraire un caractère tranchant: «Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée.» - le rythme ternaire produit inversement une impression d’instabilité, de malaise, ou au contraire de majesté dans certains poèmes (c’est le rythme de

mariage entre Henriette et Clitandre, lequel risque d’être empêché de se marier par Philaminte qui veut lui faire épouser Trissotin,un poète précieux et pédant. Cette est loccasion pour Molière de dénoncer le comportement et le langage apprêté et artificiel des femmes qui se croient savantes. A- La biographie de Molière Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 en l'église Saint-Eustache, et mort le 17 février 1673 à Paris à l'âge de 51 ans, est un dramaturge, comédien

sentiment d’angoisse qui étreint si souvent le Prince, toujours latent et extériorisé dans les pensées Page 8 sur 25 Conférence de Monsieur Actis-Grosso – Aristocratisme et décadence dans Le Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa et les longs monologues intérieurs du personnage, souvent juste avant ou juste après des épisodes sinon de joie, du moins de sérénité. Il s’agit donc d’analyser la composante spiritualistico-contemplative présente dans l’âme du Prince. De très nombreux passages

l’honneur de Chimène et son amour pour Rodrigue : « Et par tes grands exploits fais-toi si bien priser Qu’il lui soit glorieux alors de t’épouser. » n 3. La consécration du pouvoir monarchique (question 4) Cette scène de dénouement exalte le caractère impérieux de l’autorité royale, qui décide du destin des individus. Elle met en avant la préséance du souverain sur les conflits privés et les questions d’honneur individuel. Les valeurs héroïques héritées de la féodalité sont mises au service du

douce envers ses deux enfants, Eponine et Azelma, et qui a inspiré confiance à Fantine (« tout en berçant ses deux petites, la mère chantonnait », p 219, I, 4, 1). Hugo s’attache donc à nous présenter des personnages réalistes en nuançant leurs caractères et en multipliant les détails. Ils en deviennent si réalistes qu’Hugo écrit à propos de Mademoiselle Baptistine : « Pauvre sainte fille ! Doux souvenir disparu ! » (p.114, I, 2, 2), laissant supposer, par ces exclamatives, que Mademoiselle Baptistine