Monologue De Médée

femmes : « Andromaque » ; « Alceste » ; « Hécube ». Par exemple, dans Médée ; où il a un agôn très violent entre Médée et Jason. Médée est une princesse de Colchide et elle a rencontré Jason qui était venu chercher la toison d’or. Et elle a aidé par des poisons et des drogues à prendre la toison qui va lui donner le pouvoir. Il part avec Médée. Plus tard il l’a répudie pour épouser la fille du roi afin d’avoir le pouvoir. Médée pour se venger, se pose une question « Qu’est ce qui ferait plus de peine

diminution des réécritures théâtrales de l’Antigone de Sophocle, après la floraison de la fin des années 70 dont parle George Steiner : « 1978-1979 connurent de véritables ‘épidémies d’Antigone’ »1. Il me semblait alors que d’autres héroïnes, comme Médée, avaient supplanté la fille d’Œdipe et que l’ombre écrasante d’Anouilh et de Brecht était un frein à l’invention créatrice. Antigone aurait déserté la scène pour venir hanter les romans, ceux d’Henry Bauchau par exemple. Mais, comme souvent, les

volumes équivalents : – un monologue qui fait scène et une séquence de tirade qui relève de l’aparté et s’apparente au monologue ˆ rappel sur le vocabulaire du théâtre (cf. encadré complémentaire ci-dessous et corrigé) ; – deux invocations (même fonction du langage ˆ conative) à des dieux et qui se retournent contre les personnages (ironie tragique) ; – même objet : le personnage d’Hippolyte. 10 Classiques & Cie    Guide pédagogique  Quelques rappels • Le monologue : le personnage tient en scène

doit oublier qu'il est au théatre, s'imaginant etre le témoin indiscret de l'action. Pour cela, on est obligé d'éviter le plus possible d'avoir recours à des artifices purement théâtaux, l'a parte par exemple, qd le comédien s'adresse au public, le monologue, l'utilisation de l'alexandrin. Mais le public et les comédiens réclament ces modes d'expression. Il n'y a pas meilleurs moyen de mettre un comédien en valeur que de le faire débiter une grande tirade seul en scène, le public en raffole. La carrière

texte, en fonction du lieu et des circonstances de représentation (cf. manuscrits pour tournée en province). Possible que certaines scènes aient été optionnelles ou déplaçables (c’est sur cette hypothèse que s’appuie Peter Brook, qui déplace le monologue du « to be or not to be » après échec à tuer Claudius en prière, après meurtre de Polonius, au moment du plus grand désarroi, et non avant rencontre ss surveillance avec Ophélie). En tout cas, selon J-M. Maguin, impossible que la représentation de

l’enfance Le thème de l’enfance est central dans ce chapitre. 9 a. Dans un royaume, les mots « infant » ou « infante » désignent les enfants du roi, héritiers du royaume. b. Un infanticide est une personne qui a tué son propre enfant (par exemple Médée, p. 222 à 225). 10 « enfantin » : caractéristique de l’enfance, des enfants. La littérature enfantine est destinée aux enfants ou Elle a gardé une voix enfantine qui lui donne beaucoup de charme. « infantile » (péj.) : qui ne convient qu’à l’enfance

d’agir, où l’infiniment petit remplace les desseins des hommes illustres. La dernière décennie du XXe siècle a vu l’arrivée en force du monologue, inauguré par Beckett, notamment avec La Dernière Bande (1960), où le vieux Krapp, impotent, presque sourd, se repasse les bandes enregistrées par lui trente ans auparavant. Certaines pièces sont de purs monologues, comme L’Hypothèse de Robert Pinget (1961), Oh les beaux jours de S. Beckett (1963), Stratégie pour deux jambons de Raymond Cousse (1978)

descomédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique (Médée), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie historique — il fut le dernier des poètes dramatiques de sa génération à le faire —, donnant ainsi ce que la postérité considéra comme ses chefs-d’œuvre : Horace, Cinna, Polyeucte

lieu d’agir, où l’infiniment petit remplace les desseins des hommes illustres. La dernière décennie du XXe siècle a vu l’arrivée en force du monologue, inauguré par Beckett, notamment avec La Dernière Bande (1960), où le vieux Krapp, impotent, presque sourd, se repasse les bandes enregistrées par lui trente ans auparavant. Certaines pièces sont de purs monologues, comme L’Hypothèse de Robert Pinget (1961), Oh les beaux jours de S. Beckett (1963), Stratégie pour deux jambons de Raymond Cousse (1978)

et même le sacrifice du bouc; mais rien ne s'y trouvait de ce qui ne s'emprunte pas, les caractères, la passion, la vie. Garnier, qui fit oublier Jodelle, suivit ses errements : il imita aussi les Grecs, mais à travers Sénèque, se jeta dans des monologues d'une longueur démesurée, dans des descriptions minutieuses, dans des récits plus épiques que dramatiques; en même temps, comme Ronsard, il parla grec et latin en français, et, faute d'un théâtre public, il n'eut pas, pour l'engager et le retenir