Monopole de la violence

suprême d’action, de commandement et de coercition". Il souligne ainsi la double acception de la notion d’Etat, qui correspond à un mode d’organisation sociale territorialement défini et à un ensemble d’institutions caractérisées par la détention du monopole de l’édiction de la règle de droit et de l’emploi de la force publique. Le terme même d’Etat s’est imposé relativement tardivement. Il correspond à la koinonia politike grecque (que l’on peut également traduire par société civile) ou à la res publica

enjeux de la politique comparée et principaux axes d’analyse Bloc I Fondements de l’État et du politique Cours 3 Jeudi 13 janvier Aux origines du monopole de la violence comme critère central de la souveraineté La vision hobbesienne du politique et son influence sur la science politique : sécurité et liberté Le monopole légitime de la violence chez Max Weber Cours 4 Mardi 18 janvier Légitimité et efficacité de l’État Les piliers de la comparaison selon Seymour Martin Lipset et Juan

1.2. La règle de droit ou la norme juridique. La règle de droit est une règle de conduite sociale générale, abstraite et impersonnel, permanente, obligatoire, et sanctionné par l’autorité légitime qui détient le monopole de la violence. Elle régie les rapport interpersonnel, elle dicte ou interdit tel ou tel comportement. C’est une règle générale car elle a vocation à s’appliquer a tous. Impersonnel; Elle ne vise pas une personne en particulier

collaboration ou la coopération plutôt que la coercition. L'ennemi commun de tous les anarchistes est l'autorité sous quelque forme qu'elle soit. L'état est le principal ennemi des anarchistes : l'institution qui s'attribue le monopole de la violence légale (guerres, violences policières), le droit de voler et de s'approprier l'individu (conscription, service militaire). Les visions qu'ont les différentes tendances anarchistes de ce que serait ou devrait être une société sans état sont en revanche

juive Organisé par des personnes privées qui ne sont pas engagées religieusement Freinet • L’état a le monopole de la violence légitime • Lorsqu’une personne tue une autre, il sait les conséquences. • Tout état est violent pour préserver la vie de chaque personne. Il y a un domaine où il ne peut contraindre ces lois  la liberté de parole et de pensée. • L’Etat utilise la violence (ex : police) pour faire face à des personnes menaçantes. • L’Etat démocratique ne peut pas obliger ou imposer

ses influences philosophiques, Gandhi étudie le droit en Grande-Bretagne et devient avocat. De 1893 à 1914, il exerce en Afrique du Sud, où il défend les nombreux immigrés indiens contre la ségrégation. C’est là qu’il recourt avec succès à la non-violence (ahimsa) et à la résistance passive (satyagraha) pour parvenir à ses fins. Il va les appliquer à la cause du nationalisme en Inde, où son retour en 1915 est triomphal. Les débuts de la lutte en Inde (1915-1928) Gandhi ne sépare pas la lutte

contrôle des affects » à l'apparition d'un Etat central fort, qui acquiert peu à peu le monopole de la violence physique. Naissance de la civilité. Ceci entraîne la disparition des chevaliers (réputés pour leur violence) et le rapprochement de l'aristocratie vers la cour du roi (processus de « curialisation »). C'est cette dernière qui encourage la civilité moderne, rendue nécessaire par l'abandon de la violence comme mode d'action légitime. La compétition entre bourgeois et aristocrates entretient

liberté. Les relations politiques se caractérisent par la violence J Gicquel écrit <<le droit constitutionnel sent la poudre>> en effet les gouvernements qui détiennent le monopole de la contrainte ont tendance a en abuse a fin de se soustraire à la contrainte inhérente à l’Etat de droit. Appliquer à l’Afrique, le particularisme du droit constitutionnel est clair : en effet la vie politique africaine depuis les indépendances est marque par la violence. Celle ci se caractérise par la violation massive des

de Kaya, aléa ou échec de la construction nationale? La mort en prison du chanteur Kaya, en février 1999, a déclenché à l’île Maurice les premières émeutes que le pays ait connues depuis son indépendance. Cet article souligne l’enjeu de ces violences dans le processus de construction nationale mauricienne, écartelé entre l’idéal de la «nation arc-en-ciel » et le modèle national unitaire. Les élections qui ont suivi la mort du chanteur semblent indiquer la pérennité du modèle communautaire

par certains auteurs comme un pouvoir institutionnalisé, comme une puissance souveraine, d'autorité publique. Le pouvoir politique s'impose à la population. Au sein de l’État, un pouvoir juridiquement organisé monopolise la contrainte légitime. Ce monopole de l’État. Les fonctions politiques se différencient des LE pouvoir politique est devenu de plu en plus autonome. Il s'est progressivement différencié des autres pouvoirs. Il s'est différencié de la personne des dirigeants. C'est ce qui le pérennise