Monopole Duopole Nash

sur le niveau des prix. C’est une idée forte. L’hypothèse de concurrence parfaite est par hypothèse une très grande simplification. - Concurrence parfaite versus concurrence réelle (monopole, oligopole). Dans les situations de concurrence réelle, ce qu’on observe est souvent des situations de monopole ou d’oligopole : il y a un nombre restreint d’offreurs, qui influencent le niveau des prix. La concurrence parfaite s’y oppose donc. 16 Graphique : - Demandeurs Bien (quantité) - Acheteurs

internet) * Ouverture d’un nouveau marché c'est-à-dire l’invention d’un marché (ex : le marché du CO2) * La conquête d’une nouvelle source de matière première * Réalisation d’une nouvelle organisation du marché (ex : la création d’un monopole ou d’un oligopole) * L’innovation a deux caractéristiques : * Elle ne répond pas à une demande sur le marché mais crée une demande. * Une fois que les innovations importantes fonctionnent alors elles se diffusent en grappe dans la société

production unitaires (= coûts moyens) augmentent avec ce volume. Il y a deux raisons de croire que la loi de l’offre serait de dire : pour que l’entreprise puisse vendre plus sur le marché, il faut qu’elle puisse le faire à un prix plus élevé. Monopole : lorsque l’entreprise domine elle-même le marché. Chez nous, c’est le marché qui détermine le prix. Quantité du bien i Prix du bien i S frustration Q2 ? Q1 Q3 P1 c a b B. La fonction d’offre Tout point sur

l’internationalisation. 4.1- La concentration: Un secteur est dit concentré lorsque la production globale est assurée par un faible nombre d’entreprises. Moins il y a d’entreprises plus la concentration est faible. La situation extrême étant celle du monopole. Pourquoi rechercher la concentration ? A l’heure actuelle, plusieurs secteurs ont tendance à se concentrer: le transport aérien, les banques, les constructeurs automobiles ... C’est le fruit d’une stratégie d’entreprises. Nous allons énumérer

comment est répartie la richesse qui naît de l’activité économique ? (avantages comparatifs, spécialisation, circuit économique, etc.). Les trois principales institutions que sont le marché, la firme et l’Etat sont décrites et analysées (concurrence, monopole, intervention publique, etc.). Sont aussi présentés les principaux agents économiques et les grands phénomènes et problèmes économiques contemporains. Tout ceci dans le contexte économique européen. 12 Ce cours introductif ne nécessite pas de

10.4 Conclusion Conclusion Chapitre 11: Biens publics et ressources communes 11.1 Les différents types de biens 56 57 57 57 57 Quatre types de biens 57 Les biens privés 58 Les biens publics 58 Les ressources communes 58 Monopole naturel 58 Conclusion 58 11.2 Les biens publics 58 Le problème de passager clandestin 58 Quelques biens publics importants 59 La difficulté de l’analyse coût-bénéfice 59 Conclusion 59 11.3 Les ressources communes 59 La tragédie

la suite, pour exploiter les terres, ils réduisirent en esclavage les populations indiennes, rapidement décimées par les virus importés d’Espagne et la pénibilité du travail. 87 Afin de protéger leurs intérêts économiques et protéger leur monopole commercial sur l’Amérique du sud, les Espagnols mirent en œuvre les moyens mercantilistes suivants : • Interdiction aux navires étrangers d’entrer dans les ports espagnols et, plus généralement, interdiction aux commerçants étrangers d’exporter vers

industriels dans cette période d’industrialisation et de « barons voleurs » par l’émergence des « trusts » et des « gros » qui éliminaient sans pitié leurs concurrents les plus faibles pour pouvoir ensuite s’assurer des superprofits par l’entente et le monopole ». (5) Après la promulgation du Sherman Act en 1890, un écart important a subsisté durant un certain temps entre l’esprit du texte de loi et son interprétation par les « General Attorneys » et les juges des tribunaux fédéraux, notamment ceux de la

industriels dans cette période d’industrialisation et de « barons voleurs » par l’émergence des « trusts » et des « gros » qui éliminaient sans pitié leurs concurrents les plus faibles pour pouvoir ensuite s’assurer des superprofits par l’entente et le monopole ». (5) Après la promulgation du Sherman Act en 1890, un écart important a subsisté durant un certain temps entre l’esprit du texte de loi et son interprétation par les « General Attorneys » et les juges des tribunaux fédéraux, notamment ceux de la

profitable (i.e., aussi profitable que les autres activités envisageables pour le fermier). Donc les exploitants des terres les plus fertiles, à ce prix là, réalisent une rente. Il découle de ce raisonnement une vision de la rente : - c'est le fruit du monopole de la bonne terre - c'est le fruit d’aucun travail. Il n’est donc pas surprenant que - les classiques soient favorables à un impôt sur la rente - que, alors que pour les physiocrates la terre est symbole d'abondance, pour eux elle est symbole d'avarie