Monopole Duopole Nash

......... 23 2.1.1 La non optimalité des mécanismes de marchés en présence d’externalités.................................. 24 2.1.2 La remise en cause de l’hypothèse d’atomicité et les différentes formes de marché..................... 29 2.1.3 Monopoles publics et ouverture à la concurrence .......................................................................... 32 2.2 « ASYMETRIES D’INFORMATION ET NOUVELLE MICROECONOMIE » ............................................................... 34 2.3

au seuil de rentabilité (minimum du coût moyen). Monopole Un monopole est une entreprise qui produit et vend seule un bien sans substitut proche. Le monopole est un faiseur de prix. Il a le pouvoir de fixer un prix supérieur au prix de concurrence en réduisant sa production, ce qu’on appelle le pouvoir du marché. Pourquoi y a-t-il des monopoles ? Il existe des barrières à l’entrée permettant la création et/ou la pérennisation d’un monopole : Le contrôle des ressources naturelles ou des facteurs

capacité d’un individu de manipuler indûment les prix du marché. Il n’est pas soumis à la concurrence stricte par laquelle la main invisible gère habituellement les intérêts individuels. Dans de telles situations, le contrôle du prix affiché par le monopole peut accroitre l’efficacité économique. La main invisible est encore moins capable d’assurer une distribution équitable de la prospérité économique. Une économie de marché récompense les gens en fonction de leurs capacités à produire des biens que

ont tenté de modéliser grâce à la théorie des jeux les situations dans lesquelles les agents effectuent des choix en interaction stratégique. Un des grands fondateurs de ce champ éco est NASH. Les 13 noms majeurs : Quesnay, Smith, Ricardo, Malthus, Say, Marx, Walras, Pareto, Keynes, Friedman, Lucas, Arrow, Nash. PARTIE 1 : PLACE ET ROLE DE L’ETAT L’analyse éco de l’intervention de l’E se concentre aussi bien sur l’analyse du comportement de l’E que sur l’étude de l’influence de l’E sur l’éco

Cm Rem : Indépendant du type de marché (concurrence, monopole,...) = la recette marginale s’applique dans toutes les situations. 3.3. Évolution de Rm et Cm L’intérêt de séparer recettes et coûts marginaux, c’est qu’ils ne dépendent pas de la même chose. Cependant, il y a un lien possible entre les deux = certains types de technologie influencent la production du marché (ex. les chemins de fer sont plus favorables à l’existence d’un monopole) car : L'évolution des coûts dépend de la technologie

l’équilibre peut englober l’équilibre comptable. Celle-ci est également liée à la notion de stabilité. En effet, elle est le résultat de différentes lois ou forces économiques et est établie ou sous-jacente. On utilisera la définition de John Ford Nash qui a posé les premiers jalons de la théorie des jeux, utilisée fréquemment en sciences économiques, définit en 1950 l’équilibre comme une combinaison des décisions optimales individuelles c’est à dire telle que étant donné les stratégies des autres

fusion est profitable si le profit de l’entité fusionnée est supérieur à la somme des profits des entreprises qui la composent dans l’équilibre initial où elles sont indépen10 dantes. Plus précisément, les auteurs comparent l’équilibre de Cournot-Nash initial (avec n entreprises) à l’équilibre final après fusion de s entreprises. Tout se passe finalement comme si la fusion entraînait simplement la disparition de (s − 1) entreprises. Sous les hypothèses d’une demande linéaire et de coûts marginaux

cependant se révéler problématique : soit le point est une unité d’utilité, et alors il faut traduire ou mesu7 Cette théorie s’intéresse au contexte stratégique, aux décisions qui se prennent et aux interactions (supposées mener à un équilibre dit de Nash) qui s’opèrent dans un tel cadre. Voir le chapitre 4 de cet ouvrage. 18 Le décideur face à ses choix rer le « coût de transport » en points négatifs d’utilité (ou unités de désutilité) ; soit le point est une unité de monnaie, et alors

prise en compte des objectifs propres aux managers. 3. L'analyse béhavioriste de la firme. 4. L'analyse systémique de la firme, le phénomène bureaucratique. 5. La théorie des organisations. 7. Le monopsone. 8. Le monopole bilatéral. 9. La concurrence monopolistique. 10. Le duopole. 11. L'oligopole. 12. La cartellisation des marchés. 13. Les stratégies et pratiques de prix autres que marginalistes. F. La théorie des jeux D. La théorie des coûts et de la production 1. La fonction de production

L’analyse économique de la concurrence a changé durant les 30 dernières années, même dans les situations de monopole il peut y avoir concurrence (transport aérien et transport ferroviaire substituables et donc en concurrence). Droit de la concurrence moins stricte. 3°)La concurrence est un jeu à somme positive. Phénomène social qui crée de la valeur ajoutée. Théorie des jeux = outil mathématique (Nash), jeu considéré à somme nul : ce que l’un gagne l’autre perd ; jeu à somme négative : la rivalité donne