Morale De La Fable Les Obseques De La Lionne

Conclusion de la fable "Les obsèques de la Lionne" de Jean de La Fontaine. La fable divertit le lecteur car c'est un récit dynamique, varié et amusant, c'est une comédie humaine dont les animaux sont les acteurs. Dans cette fable, La Fontaine n'hésite pas à utiliser la parodie et le burlesque. Mais à travers les comportements et les caractères des animaux qui miment ceux des humains, le récit est mis au service de la satire sociale et morale. Ici, c'est à une satire de l'hypocrisie de cour que se

du fabuliste Ici la fable est divisée en 5 parties: vers 1 à 16 : premier acte de la comédievers 17 à 23 : parenthèse et intervention du narrateurvers 24 à 38 : coup de théâtre, deuxième actevers 39 à 51 : deuxième coup de théâtre, troisième actevers 52 à la fin : moralitéL'art du fabuliste: il a construit sa fable comme une pièce de théâtre. La moralité est tout au long de la fable, le récit est riche en pensées. I) Le premier acte 1) Scène d'exposition: "la femme du lion mourut" ( v.1)> économie

Introduction:Le texte présente un rat qui sʼest mis dans un fromage et qui refuse de porter secours à son compatriote sous prétexte que les choses dʼici-bas le regardent plus.La morale nous invite a interpréter la fable comme une critique du clergé régulier et cette critique est en lien avec lʼactualité de la fontaine. La fable se passe dans un endroit propice a lʼimaginaire,le terme” légende” présente le récit appartenant à une époque ancienne et indéterminé. On y trouve une dimension de fantaisie,parce

Les obsèques de la lionne Cette fable raconte les obsèques de la lionne. Tous les animaux st tristes sauf le cerf car la lionne avait étranglé sa femme et son fils. Le roi était en colère car le cerf ne pleurait pas. Il voulut alors le tuer. Le cerf fit croire au roi qu’il avait vu l’âme de la lionne et qu’elle avait gagné sa place au paradis, qu’elle allait bien. Le roi fut soulager et devient même ami avec le cerf. 1) Les différentes étapes du récit Etape 1 : La mort de la lionne (l.

il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. Pour La Fontaine, la littérature doit être utile autant qu'agréable : « Le conte fait passer le précepte avec lui », le Pâtre et le Lion. Il sait d'ailleurs que plaire est le meilleur moyen pour instruire. Et il ne vise pas seulement l'instruction des enfants. Certes, son premier recueil est dédié à l'enfant qui, parmi tous, est l'élève de choix pour le poète : le Dauphin – mais là

Cette fable fut rédigée par Jean de la Fontaine. Jean naquit en 1621 dans la ville de château- Thierry au sein d’une famille bourgeoise. Il fit des études sérieuses et essaya par ailleurs le droit et en parallèle lut beaucoup. Plus tard il sera pensionné par Fouquet, il écrira pour célébrer la fin des travaux du château de Vaux Le Vicomte « le songe de vaux ». En 1668 son premier recueil de fable fut un réel triomphe. En 1673 Montespan sera son protecteur et il pourra se consacrer à la littérature

au financier les « cent écus ». le lion le loup et le renard : c'est une moquerie encore envers la cour et le roi que fait JDLF ici Fable écrite en premier par esope le pouvoir des fables : Les femmes et le secret : La plupart des femmes ne savent rien taire le rat et l'huitre : C'est l'huitre qui contenait la perle de la moralité, elle est la sagesse. Quand on est ignorant il faut se méfier. l'ours et l'amateur des jardins : La morale est de bien choisir ses amis; cela si

L’alternance des mètres Alexandrins (vers 4, 19, 35) et octosyllabes (vers 1, 3, 6, 42…) se succèdent. Tempos différent qui brise la monotonie métrique. B. Une fable polyphonique 1. alternance du discours direct et du récit Les voix fictionnelles alternent. Voix du narrateur (vers 1-16, 24-32, 49-51), voix des protagonistes de la fable (discours du roi : vers 33-38 ; discours du cerf : vers 39-49). 2. La voix du fabuliste Autre voix qui résonne : celle du fabuliste (vers 17-23 et vers 52-55)

Introduction La Fontaine a commencé à écrire sous le règne de Louis XIV. Cette fable est tirée du second recueil, publié en 1694. L'une de ses protectrices était la marginale Mme de la Sablière. C'est par les contes, puis par les fables, sur le tard, que La Fontaine a connu la gloire. Le second recueil est dédicacé à Mme de Montespan. Les fables de ce recueil sont plus philosophiques, plus longues que celles du premier. La Fontaine est quelqu'un de poétique qui aime beaucoup la solitude; il n'invente

Les obsèques de la Lionne v 1, 4, 5, 14 diérèse + rime : effet d’insistance sur le deuil irrégularité des rimes de 3 vers, pas de vers seuls La fable est composé d’octosyllabes et d’alexandrins Les quatre derniers vers constituent la morale v 17 à 23 : semblant de morale, intervention direct de la Fontaine avec « je ». Il prend la parole pour exprimer son point de vue sur la cour, plus précisément sur les courtisans, qualifiés de « caméléons » : animalisation, ils sont se que le roi veut qu’ils