Mos majorum

en puissance des imperatores se fait au départ avec le général Caius Marius, qui gagna la fidélité de son armée envers son propre personnage et non envers la république romaine. Sylla en -88 marchera sur Rome avec son armée en dépit de tout « mos majorum » et laissera des stigmates indélébiles à la république, l’avènement des impératores en dépit du pouvoir effrité du sénat. Imperatores est tout d’abord un titre attribué sous la république romaine aux généraux romain victorieux de leurs campagnes

ordinem » et une périphrase désignant les chevaliers, les equites. Cicéron présente cette société hiérarchisée comme un gage du bon fonctionnement de l’Etat. Cette société permet à chacun, pourvu qu’il ait des qualités personnelles, celles du mos majorum : « ingenium », « ratio », « virtute », « fides », « pietas », de faire carrière, ouverte à tous : « omnium civium » (L11.12). Dans cette forme d’idéalisation de la société, Cicéron montre qu’il est conscient de la réalité : certaines classes sont

poètes a la propagande d’Auguste Auguste organise et met en scène la réconciliation entre les Romains : le souvenir de la guerre civile doit être effacé. La propagande d'Auguste est efficace : il remet en avant les vieilles valeurs romaines (le mos majorum) ; leur abandon est donné comme la cause des guerres civiles. Pour cela il fera appel à plusieurs auteurs de son époque tels que Virgile, Horace ou autre Tite-Live. L'empereur Auguste avait compris très tôt que l’évocation des hauts faits de l'ancienne

Les sources du droit sous la royauté. Le droit est issu des Gentes (des grandes familles) car le roi n’est pas assez puissant pour créer son propre droit. Le droit sous la royauté est représenté par la coutume « Mos majorum » ou « Mores gentis », ces coutumes correspondent a des usages répètes au sein des groupes familiaux. Dans la mesure où le roi n’est pas si important, il n’ya pas de lois. La seule chose présente se sont les coutumes, les coutumes des familles. Dans ces coutumes on trouve des

distinctions de « classes » sociales la théâtralisation du pouvoir, et, pire, la « prostitution » de la figure sacrée de l'empereur • Néron, contre-exemple des vertus traditionnelles romaines de retenue, loyauté, sens du devoir... (perversion du mos majorum), mais aussi des vertus impériales (justice..) -le parti pris de Suétone : quelques expressions, discrètes, semblent refléter son avis sur le personnage : ◦ a) « vix credi potest »: « on peut à peine croire» b)désaprobation de Suetone : <<Se conduisant

le plaisir. Elle représente la satisfaction des désirs. Il s’agit d’un plaisir calme et sans excès (ne pas manger plus qu’on n’en a besoin, par exemple). Ce mot a choqué les principes des Romains parce que l’homme se refuse aux principes des mos majorum, comme la maîtrise de soi ou la valeur d’effort. L’otium est le retrait de l’homme d’un monde dominé par la folie humaine, il peut par exemple rester à l’écart de la politique. Le stoïcisme Zénon est un philosophe grec, né vers -335 à Cition

c’est le temps qui la dicte et pas une autorité. Elle est nait de rites d’usage fait par les premières familles de Rome qu’on appelait les gentes. Tous ces usages ont formé le mos majorum, la coutume des ancêtres. La société romaine était très religieuse, la parole des anciens avait une valeur très importante. Le mos majorum forme le jus civile. Les lois formées par les premiers rois étaient peu nombreuse, un recueil aurait été fait. En -510, un certain Sextus Papirius a fait un certain recueil des

persuasion, on croit en ... pour valoriser. On passe ainsi de l'opinion plus ou moins fondée comme conjecture à la conviction et à un engagement qui nous implique. b) des notions communes de la croyance religieuse : le consentement universel, le mos majorum, l'harmonie universelle, une intelligence qui gouverne, un ordre comme système général et conscient de causalité, une gradation des êtres, des principes et des règles comme dogmes et préceptes, une croyance en l'Un, une Providence vigile sur les

Histoire du droit La coutume a Rome: 1.mos/mores: c'est une tradition encrée dans le religieux. Ce ne sont pas des coutumes formelles, ce sont des traditions puisqu'elle n’existe que lorsqu'elle sont énoncés par les pontifes. On les appelle les responsa. C'est une tradition orale. Elle vont devenir les mores majorum puisqu'elle sont partagé entre les pontifes et deviennent une loi, à un même cas on a la même responsa. 2. Sous la république romaine la coutume devient consuetudo. Cette

l'assistait dans cette tâche. Auguste maintient la discipline avec sévérité ! L'Empire sous Auguste et les Empereurs Julio-Claudiens: 5-Propagandes : La propagande d'Auguste est efficace : il remet en avant les vieilles valeurs romaines (le mos majorum) leur abandon est donné comme la cause des guerres civiles. Auguste veut être le nouvel intermédiaire entre hommes et dieux. 6-Œuvres d’arts : ( l’Ara pacis)= qui est un sanctuaire de la famille d'Auguste. L’autel de la paix d’Auguste :