Multibancarisation

considérablement évolué, le profil des clients s’en est trouvé naturellement modifié. Ils sont désormais mieux informés sur les produits des banques et font ainsi jouer la concurrence entre ces dernières. Ce qui conduit à un accroissement du taux de multibancarisation des clients, ces derniers adoptant une logique d’achat en fonction du service qu’il souhaite consommer. Les clients deviennent de plus en plus exigeants envers leurs banques et aspire à davantage de simplicité dans leur relation. En effet,

moyenne 88 % de leurs placements. Parmi les seniors, les seniors aisés (25 % des 50-74 ans), se caractérisent plus par leur appartenance à la catégorie « seniors » que leur appartenance à la catégorie « aisés ». En effet, ils ont un taux de multibancarisation relativement faible (30 %), proche de celui des seniors dans leur globalité (26 %), et très éloigné de celui des aisés de moins de 45 ans (74 %). L’enjeu pour les acteurs bancaires est donc d’être et rester l’établissement principal des seniors

de service bancaire - Le modèle de servuction appliqué à un retrait sur un distributeur de billets* - Le rôle du support physique dans la politique de service bancaire - La satisfaction et la fidélisation des clients bancaires (le modèle - La multibancarisation bancaire* - Les étapes de la démarche qualité en banque - La politique de fidélisation des clients par les banques - Les évolutions majeures de l’offre de produits et services en banque* - La politique des prix en banque - Rémunération de dépôts

(placements dans plusieurs banques). Du fait de leur possession de certains produits d’épargne – livret A notamment – ils sont déjà 32 % à avoir des placements dans plusieurs banques entre 16 et 20 ans, ce chiffre atteignant 53 % à 26-29 ans. La multibancarisation (comptes courants dans plusieurs banques) croît, elle aussi, rapidement passant de 10 % à 27 % chez les jeunes actifs. Un taux qui s’approche déjà de la moyenne nationale. Être le banquier exclusif d’un jeune est donc quasiment impossible. L’enjeu

Les clients haut de gamme permettent de drainer des capitaux à un client de type particulier peut le devenir à titre professionnel, ce qui permet de développer la double relation. - Devenir la 2ème banque (voire la premiere) en raison d'une multibancarisation généralisé. Les banques orientent leurs stratégies commerciales sous 4 grandes directions : - La fidélisation : On équipe au maximum le client avec plusieurs produits car les statistiques ont démontrés que des clients fidèles sont aussi

21-23 ans est l’âge moyen où l’on constate l’accélération de certains événements financiers : souscription d’assurances dommages à titre personnel, de prêts auto et de crédit consommation, multifinanciarisation et aussi montée en puissance de la multibancarisation. * les 26-29 ans « jeunes actifs », la population de jeunes que les banquiers s’arrachent. Le taux d’activité de ces jeunes atteint 90 %, 40 % ont des revenus supérieurs à 1 500 € par mois, 29 % ont déjà accédé à la propriété. C’est à 25

fiscalisés, à l’initiative de spécialistes étrangers et d’acteurs en ligne qui sont venus concurrencer les banques de détail. Dans ce contexte, le consommateur, de plus en plus averti, n’est plus le client d’une seule banque (voir figure « La multibancarisation », page suivante). Plus généralement, les hausses de tarif successives et systématiques réalisées dans les années passées ne constituent plus un levier utilisable pour la croissance. Car la satisfaction des clients s’est fortement dégradée.

un indice de richesse locale de 1,08%. De plus, la concurrence interbancaire est très faible concurrence dans la même ville, qui se situe à proximité d'une autoroute, donc d'une forte circulation. On observe une expansion du phénomène de la multibancarisation, surtout dans le génération des plus jeunes (jeunes actifs principalement). Néanmoins, comme dans tous les environnements, ils existent des menaces pour la BCD : on constate que l'attractivité touristique de la ville reste très faible, qu'il

de leur banque à un contrat IARD, est qu’il ne souhaitent pas disposer d’un trop grand nombre de contrat au sein d’un même établissement. En effet, les clients préfèrent diversifier leur contrat dans plusieurs établissements (phénomène de la multibancarisation). Beaucoup souhaitent rester chez leur assureur « historique » car selon l’opinion commune changer d’assureur est une opération fastidieuse, de plus être un nouvel assuré au sein d’une bancassurance ne vous procure pas une tarification des plus

menaces. S o l u t i o n 1. Les menaces c c c c c c c c c c Saturation et croissance lente du marché bancaire. Concurrence vive. Multiplication des canaux de contact. Relation de plus en plus virtuelle entre le banquier et son client. Multibancarisation des clients. Autonomie accrue des clients dans leurs opérations bancaires. Clientèle très informée et avisée. Clientèle exigeante, infidèle et zappeuse. Difficulté de faire venir la clientèle en agence. Déplacement des lieux de vie de la clientèle