Multibancarisation

population homogène alors que celle-ci est doublement hétérogène : géographiquement, chaque pays du Maghreb ayant des besoins spécifiques ; et démographiquement, chaque génération d'immigrés ayant un profil patrimonial parfaitement typé. D'où une multibancarisation de cette clientèle atypique, ce qui fait le bonheur de Fedcx, de Western Union et surtout, malheureusement, de l'économie parallèle. Que faire pour mettre un terme à ce gâchis ? Rien de plus simple : assumer notre avantage comparatif (géographique

barrière à la concurrence qui ne doit donc pas être négligée. 4. La fidélité A partir des années 80, le comportement des consommateurs s'est transformé (Flambard) : montée du consumérisme, multiplication de l'offre, concurrence plus vive, multibancarisation systématisée (1,8 banques par client : INSEE) d'où l'enjeu central de la fidélisation et de la captation de nouveaux clients. La fidélisation exige une attention permanente, une très grande proximité et du temps (Moulins, 1997). Il est vital

barrière à la concurrence qui ne doit donc pas être négligée. 4. La fidélité A partir des années 80, le comportement des consommateurs s'est transformé (Flambard) : montée du consumérisme, multiplication de l'offre, concurrence plus vive, multibancarisation systématisée (1,8 banques par client : INSEE) d'où l'enjeu central de la fidélisation et de la captation de nouveaux clients. La fidélisation exige une attention permanente, une très grande proximité et du temps (Moulins, 1997). Il est vital

sont devenus des acteurs importants. De plus, la multibancarisation est en hausse. Nous sommes passés d’un ratio de 1,4 banque par foyer en 2002 à 2,2 en 2008. La dérèglementation bancaire a permis à une multitude de nouveaux acteurs non-bancaires de proposer des produits financiers et de venir empiéter sur le terrain des banques traditionnelles déjà concurrencées par les établissements bancaires étrangers. A cela, il faut rajouter la multibancarisation qui est en hausse. Les caractéristiques des nouveaux

barrière à la concurrence qui ne doit donc pas être négligée. 19 4. La fidélité A partir des années 80, le comportement des consommateurs s'est transformé (Flambard) : montée du consumérisme, multiplication de l'offre, concurrence plus vive, multibancarisation systématisée (1,8 banques par client : INSEE) d'où l'enjeu central de la fidélisation et de la captation de nouveaux clients. La fidélisation exige une attention permanente, une très grande proximité et du temps (Moulins, 1997). Il est vital

population homogène alors que celle-ci est doublement hétérogène : géographiquement, chaque pays du Maghreb ayant des besoins spécifiques ; et démographiquement, chaque génération d’immigrés ayant un profil patrimonial parfaitement typé. D’où une multibancarisation de cette clientèle atypique, ce qui fait le bonheur de Fedex, de Western Union et surtout, malheureusement, de l’économie parallèle. Que faire pour mettre un terme à ce gâchis ? Rien de plus simple : assumer notre avantage comparatif (géographique

satisfaction et leurs attitudes à l’égard du site de la banque. Au final, une base de données de 20392 individus a été constituée. L’échantillon ainsi exploité est redressé selon le profil de la population mère (Sexe, Age, PCS, revenus, mono/multibancarisation, taille de l’agglomération, ancienneté bancaire). Il correspond à un taux de réponse avoisinant 14% des clients internautes (environ 145 000 clients internautes). Les résultats indiqués ici sont issus de cette enquête interne. Par ailleurs,

 Le pouvoir de négociation des clients fournisseurs de fonds reste encore limité du fait d’une atomisation sauf concentration (grandes entreprises ou déposants privés importants pouvant arbitrer entre plusieurs établissements du fait d’une multibancarisation élevée) 54 Thomas FAYE – Consultant Formateur en Marketing et Communication 2.123 LES FOURNISSEURS Pouvoir de négociation des fournisseurs  Renforcement du poids des fournisseurs informatiques : poste de dépense important dans les banques

(l.36, 37, 38). Selon les dires d’Edith, ce sont bel et bien les exigences des clients qui sont à l’origine de l’exigence du Crédit Agricole envers les compétences de son personnel. Le phénomène sous-jacent à cette thèse n’est autre que la multibancarisation. Les clients d’une banque peuvent l’être aussi d’une banque concurrente. En tant qu’être rationnel, un client met en concurrence les prestations bancaires des divers établissements financiers et sélectionne celui qui octroie les meilleures conditions

souhaite que l’on s’adapte à lui: « Le client est une personne unique, qui ne peut se résoudre à être traitée de façon différente selon les services qu’il attend » soulignent Jean Pierre Helfer et Géraldine Michel. Avec l’évolution de la « multibancarisation » le client est de plus en plus à même de comparer les prestations des différentes enseignes bancaires et pourra donc confier sa relation principale à celle qui sera la plus intéressante selon elle. Une qualité satisfaisante sera alors perçue