Multibancarisation

tout d’abord dans le domaine de la distribution du crédit et de la gestion de l’épargne bancaire où de nombreux produits ont été créés afin de répondre aux exigences croissantes d’une clientèle devenue plus sensible à l’offre du marché et à la multibancarisation ; – mais aussi et surtout dans le domaine de l’épargne financière avec la création de nombreuses structures de gestion collective destinées à accompagner l’essor du marché financier. D’une façon générale, nombre de services et produits annexes

constitue l’une des caractéristiques économiques et même culturelles de la France de l’après-guerre. Le nombre de comptes ordinaires à vue, y compris La Banque Postale, détenus par la clientèle 7 est proche de 72 millions, compte tenu de la multibancarisation, et celui des comptes à terme et sur livret 149 millions pour une population de 63,9 millions d’habitants. La nécessité pratique, pour toute personne physique et pour toute entreprise, d’effectuer des règlements scripturaux (chèques ou virements)

. le pouvoir de négociation des clients fournisseurs de fonds reste encore limité du fait d’une atomisation sauf concentration (grandes entreprises ou déposants privés importants pouvant arbitrer entre plusieurs établissements du fait d’une multibancarisation élevée) . renforcement du poids des fournisseurs informatiques : poste de dépense important dans les banques et sauts technologiques importants en cours dans la banque (CRM, datamining, commerce électronique, sécurité des paiements sur internet

le pouvoir de négociation des clients fournisseurs de fonds reste encore limité du fait d’une atomisation sauf concentration (grandes entreprises ou déposants privés importants pouvant arbitrer entre plusieurs établissements du fait d’une multibancarisation élevée) . renforcement du poids des fournisseurs informatiques : poste de dépense important dans les banques et sauts technologiques importants en cours dans la banque (CRM, datamining, commerce électronique, sécurité des paiements sur

agressivité commerciale à l’égard de la concurrence, l’émergence d’une nouvelle clientèle s’opérant à un rythme encore lent. • Certains segments de clientèle de type haut et bonne gamme présentent un comportement bancaire de type développé : multibancarisation et recherche de placements plus rémunérateurs que les dépôts bancaires classiques (OPCVM, bourse…). L’autre caractéristique du marché bancaire marocain est la faiblesse des commissions qui représentent en moyenne 14% du PNB des banques. D’autres

client n’explicite pas toujours clairement à son banquier son désir d’épargne ou d’emprunt. Il surfe également sur des vagues successives de besoins : recherche de la performance puis recherche de la sécurité… Le particulier est opportuniste. La multibancarisation laisse penser au client bancaire qu’il est libre de son choix d’établissement en fonction des opportunités commerciales. Les particuliers aiment mettre en concurrence les banques mais sont ravis que la leur l’emporte ! D’où l’existence d’un

les mœurs, les produits de placement à moyen terme que représentent les contrats promus par les banques sont tels, qu'il serait probablement suicidaire pour un établissement de ne pas chercher à bénéficier de cette manne. Dans un contexte de multibancarisation de la clientèle moyenne et haute gamme, il est tout à fait clair que si une banque n'avait pas sa propre filiale pour capter l'argent de ses clients, ceux-ci répondraient aux chants d'autres sirènes.  Des commissions et des dividendes

la moindre exposition des ménages français, via des fonds de pension, au risque action). Ce positionnement favorable, partagé à un moindre degré par les réseaux d’assurance, plus spécialisés, est cependant contrecarré par deux phénomènes : la multibancarisation croissante des ménages3 qui se traduit par une dispersion de leurs avoirs et impose à la banque principale (et a fortiori aux banques secondaires) de s’informer sur les avoirs détenus par leurs clients dans d’autres établissements si elles veulent

particulièrement, recueillir la moindre de ses attentes afin de la satisfaire. Par ailleurs, les entreprises françaises, cherchent systématiquement à optimiser leurs conditions bancaires et n'hésitent pas à faire jouer la concurrence. On a pu voir que la multibancarisation, à savoir le recours d'une entreprise à plus d'une banque, est typique des entreprises françaises. De plus, l'internationalisation du système bancaire conduit à une concurrence exacerbée dans le secteur bancaire, et l'obligation de résultat

L’intensité concurrentielle sur le crédit immobilier Barrières à l’entrée Concurrence interne •  Une forte densité d’agences bancaires dans les principaux centres urbains •  Faible évolution du taux de bancarisation •  Taux de multibancarisation élevé pour la clientèle haut de gamme et la clientèle de CSP A & B+ •  Coûts d’acquisition clientèle élevés pour un nouvel entrant (coût du risque, coûts commerciaux) et différenciation coûteuse par les taux •  Investissement lourd pour