Mémoire Filiation Adoption

n’est pas un déchet médical). Il doit être viable, c’est-à-dire physiologiquement capable de survivre, sinon il n’acquière pas la personnalité juridique. Aucune action n’est reçue par rapport à un enfant qui n’est pas né viable dans le cadre de la filiation. Au moment de l’ouverture de la succession, il faut exister (né viable) ou être conçu. Si la naissance n’est pas une condition suffisante, elle n’est pas toujours nécessaire, elle peut être reconnu à quelqu’un de simplement conçu. B. Le tempérament :

Premier : L’établissement du lien 92 Chapitre 1 : La filiation par le sang 92 Section 1 : les modes de preuves non contentieux de la filiation 94 I.Les modes de preuves propres à la filiation paternelle ou maternelle 94 A.L’acte de naissance 94 B.La présomption de paternité 95 II. les modes de preuve commun à la filiation maternelle et paternelle 97 A.La reconnaissance 97 B.La possession d’état 99 Section 2 : la preuve contentieuse de la filiation 101 Sous section 1 : les règles communes aux actions

politique, à l'architecture (Panthéon, thermes), la protection des arts (le ministre Mécène), Rome devient une puissance politique à part entière sous Auguste. Mais le régime mis en place n'est pas dynastique, les successions se faisant par filiation, adoption ou parenté. Ce système va permettre à quatre grandes familles d'empereurs de se succéder, les Julio-Claudiens, les Flaviens, les Antonins et les Sévères. Chez les Antonins, malgré le nom commun d'Antonins qu'on leur donne, ces empereurs

Il existe différents systèmes mnésiques indépendants les uns des autres : - Mémoire procédurale : apprentissage des automatismes. - Mémoire déclarative : de nature verbale - mémoire à court terme - mémoire à long terme : mémoire sémantique, mémoire épisodique. - mémoire de travail  * Les troubles de la perception Il existe 2 types d’altération de l’expérience

(assimilation ou acculturation) * Sociale (insertion) * Politique (intégration) * Personnelle (identification) ; Et, se développent selon 2 dimensions complémentaires, la première étant objective et en partie volontaire (participation et adoption de normes), et la seconde plus subjective avec une part d’affectivité (sentiment d’appartenance). 2. DES QUESTIONS VIVES (p.27) · « Faut-il des immigrés ? » Une question avec plusieurs dimensions : * Economique ; disparités économiques

AUGUSTE Rares personnages à avoir donné son nom à un siècle : on parle du « siècle d’Auguste ». (ô c’est Périclès). A sa mort des sénateurs l'ont proposé pour honorer sa mémoire. Qq réticences mais l’expression a fini par s’imposer, d’autant plus que pour les Romains « saeculum » ne correspond pas forcément à une idée de 100ans, c’est plutôt l’idée d’une époque ou d’une génération. Avec l’expression saeculum augustum, on associe un homme à une époque. Donner le nom d’Auguste à une époque, c’est

sur le mariage ou sur la filiation. Autrement dit, la simple affection même assortie d’une vie commune ne semble par suffire. Le couple vivant en union libre ne semble pas constituer une famille. Cela le deviendra lorsqu’il y aura un enfant et que la filiation sera établie. Traditionnellement, ce qui constitue le lien familial c’est la filiation (la parenté) ou le mariage (le lien d’alliance) 1) La filiation (la parenté) Le lien de parenté est le lien issu de la filiation. En la matière, les choses

de laïcité , d’=é et de liberté . II) Les codifications : Le code Civil. *Arrêté du consules du 24 thermidor an VIII (13 aout 1800) nomma une commission pour établir un new projet sous l’égide de Napoléon. Napoléon écrit son mémoire ; «  Ce que rien n’effacera, ce qui vivra éternellement, c’est mon code civil ». A) Le code civil de 1804. Il fallut 4ans et 36 lois successives votées par les corps législatif pour créer le « code civil des Français »

conduit en droit civil à l’instauration d’égalité en matière successorale. Car il y avait avant le droit d’ainesse, l’ainé à plus que les autres ou la privilège de masculinité. Le principe de l’égalité va supprimer ces privilèges. Il y a deux types de filiations : enfants naturels et enfants légitime possèdent des droits l’égaux. De plus, le principe de laïcité, le droit intermédiaire consacre la sécularisation. On a fait passer le droit civil à l’état laïc. C’est plus l’église qui le détient mais la

l’état-civil et intégrés dans l’arbre généalogique, toutes les filiations identiques procurant les mêmes droits : ce sont des personnes. La personnalité et les droits ne dépendent plus de la religion, de la nation, ni de l’inscription dans l’arbre généalogique acte privé, la personnalité est devenue publique et constante. Le notaire et le maire, officiers publics, détiennent les clés des droits de chaque individu identifié personnellement par la filiation et généalogiquement. 56.- A l’aune des