Ménon Opinion Droite

la suppression des divisions qui doit être réalisée). Le relativisme consiste à opposer les contenus les uns aux autres. Le relativiste fait valoir que ce qui est pensé sacré par l’un s’oppose à ce qui est pensé sacré par les autres. Il y a des opinions différentes, tout contenu particulier, justement en raison de sa particularité, peut se voir opposer un autre contenu, et donc aucun n’est absolu. Le relativiste est un sceptique. --- Le relativiste reconduira ces contenus particuliers à l’imagination

être citoyen c’est avoir conscience de droits et de devoirs, non seulement pour soi, mais aussi corrélativement pour les autres. C’est donc être vigilant non seulement pour la défense de ses propres droits, mais aussi ceux des autres ; non seulement pour l’accomplissement de ses devoirs propres, mais aussi ceux des autres. On pourrait nommer vigilance critique ce troisième et dernier aspect de la citoyenneté, qui se concrétise notamment par la défense des droits de l’homme et du citoyen partout où ils

telle exigence. Cette totale absence de pensée avait attiré mon attention. Faire le mal (non seulement les péchés par omission, mais les péchés par action) est-il possible quand manquent, outre les « motifs répré­ hensibles » (selon la terminologie du droit), un quelconque motif, le moindre intérêt ou une voli­ tion particu lière? Est-ce que la méchanceté, de quelque façon qu'on la définisse, ce « parti de s' af­ fmner mauvais », n'est pas une condition néces­ saire à l'accomplissement d'une action mauva

que Platon pensait de Socrate 2.2 L'influence de Socrate sur Platon 3 Les dialogues de Platon 4 La philosophie de Platon 4.1 Les influences 4.2 Le platonisme 4.3 Contexte philosophique 4.4 Théorie de la connaissance 4.4.1 Monde sensible et opinion 4.4.2 Hypothèse des Idées (les Formes intelligibles) 4.4.3 Degrés de connaissance 4.4.4 L'amour de la connaissance 4.4.5 La réminiscence 4.4.6 La dialectique 4.4.7 Utilisation du mythe 4.5 L'organisation politique de l'excellence 4.5.1 L'âme

page 22 Annexes page 23 Introduction Habitant en Suisse, nous sommes interpelés par la place que les femmes occupent dans la société civile. En effet, elles ont accédé aux droits de vote très tardivement (1970), et elles sont, à l'heure actuelle, toujours très peu représentées aux niveaux supérieurs, dans les instances dirigeantes, dans les postes de professeurs des universités ainsi que dans les directions générales des grandes

Une pensée est vraie si elle est cohérente, si elle respecte les règles de la logique, si elle ne présente pas de contradiction. Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas simplement d’être en accord avec soi-même, ou d’être convaincu de ses opinions pour être dans le vrai. Cette définition a une portée universelle. 3. Troisième et principale définition : La vérité matérielle L’affirmation « Il a neigé à Paris le 6 avril 2008 » est vraie si elle est confirmée par le fait qu’il ait effectivement

L'influence de Socrate sur Platon * 4 Les dialogues de Platon * 5 La philosophie de Platon * 5.1 Les influences * 5.2 Le platonisme * 5.3 Contexte philosophique * 5.4 Théorie de la connaissance * 5.4.1 Monde sensible et opinion * 5.4.2 Hypothèse des Idées (les Formes intelligibles) * 5.4.3 Degrés de connaissance * 5.4.4 L'amour de la connaissance * 5.4.5 La réminiscence * 5.4.6 La dialectique * 5.4.7 Utilisation du mythe

réflexion) avaient produit en moi un si radical aveuglement que je désapprenais jusqu'à ces choses qu'auparavant je m'imaginais savoir... (Phédon, 96 c). De son côté, Descartes n'écrit-il pas : ...considérant combien il peut y avoir de diverses opinions tou chant une même matière, qui soient soutenues par des gens doctes, sans qu'il y en puisse avoir jamais plus d'une seule qui soit vraie, SOCRATE ET DESCARTES 245 je réputais presque pour faux tout ce qui n'était que vraisemblable (Discours

chagrine pas comme le font au sujet de leurs enfants les femmes qui sont mères pour la première fois. J'en ai vu plusieurs, mon admirable ami, tellement fâchés contre moi qu'ils étaient véritablement prêts à me mordre, pour leur avoir ôté quelque opinion extravagante. Ils ne croient pas que c'est par bienveillance que je le fais. Ils sont loin de savoir qu'aucune divinité ne veut du mal aux hommes et que moi non plus, ce n'est point par malveillance que j'agis comme je le fais, mais qu'il ne m'est

il parle des dangers politiques. Le danger le plus redoutable est la guerre, légitimée par la "coutume" ("Il demeure au-delà de l'eau", 18 : c'est donc un ennemi). Ses causes sont arbitraires (56), même si elle est parfois décrétée pour défendre un droit (48). Elle fait triompher la "force", mais, dans ce cas, la force est une illusion (54). Elle est décidée à tort par une seule personne et selon son intérêt particulier (55), alors que la décision devrait être prise par "un tiers indifférent" (55)