Nietzsche La Promesse

bien-être. Mais prendre le bonheur comme valeur centrale n’est propre qu’à certaines époques et certaines sociétés. Ce fut le cas du xviiie siècle avec l’esprit des Lumières. Auparavant, l’Église faisait régner la honte du péché sur les esprits. La promesse du paradis était repoussée dans l’au-delà. Et il fallait payer son lot de souffrances pour espérer atteindre, peut-être, la félicité dans l’autre monde. De toute façon, pour le chevalier, gloire et honneurs passent avant la recherche du bien-être

des mots sur ce que nous tentons d'expliquer. Cependant, il apparaît que le langage n'est pas totalement capable de rendre compte de la pensée. Alain n'est pas le seul à considérer que le langage est bien plus pauvre que la vie intérieure. Pour Nietzsche, le langage atomise la pensée. Le langage est général , commun à tous, mais chaque vécu psychique est singulier et de ce fait incomparable. Il est ainsi donc réducteur, pauvre à exprimer les nuances de la vie intérieure. C'est ce que pense Bergson

religieuse. Qui mieux qu’un agnostique peut exercer cette tolérance ? I°) B) Les illusions idéologiques de la communion religieuse ne sont-elles pas inévitables ? Toutefois on objecte que celui qui ne croit à rien ne serait pas capable de tenir ses promesses bases d’une réelle fraternité. Les religions semblent offrir un socle solide pour bâtir de la fraternité. Mais ces communions humaines fondées sur la religion ne sont-elles pas souvent des illusions même si il y a une fraternité ? Par exemple,

L’homme peut se connaître prcq l’h est un être chez lequel il y a unification du monde intérieur et des perceptions intérieures. En cela, l’homme est supérieur à l’animal, dont nous savons qu’il n’est qu’une simple machine. Première critique :NIETZSCHE Il s’en prend surtt à Descartes. En effet, il considère que le « je pense » est une imprudence de Descartes. Voici le raisonnement : à partir du moment où je regroupe le constat qu’il y a de la pensée en moi et le constat que j’existe

trouve ce thème chez Hegel lorsqu’ il déclare dans sa propédeutique philosophique que le premier des devoirs envers autrui est la véracité de la parole et de la conduite cette affirmation n’est pas nouvelle Ne pas mentir ne pas faire de fausses promesses ou de faux témoignages font partie des commandements les plus anciens Promettre sans tenir c’est abuser de la bonne foi de l’autre et léser la confidence qui doit exister entre des semblables Le menteur se sert des mots comme le faux monnayeur

avec eux et grâce à eux. Quelques exercices de sagesse : Ils concernent tous le rapport au temps, car c'est dans le temps que se nourrissent les remords, les nostalgies, les espérances et les projets. Nous retrouverons Epicure, Lucrèce, Nietzsche et même Spinoza. Les deux grand poids : Le passé et le futur. Les deux maux qui pèsent sur l'homme d'après les Stoiciens sont deux freins qui les bloquent de vivre le moment présent et les empêchent d'accéder à l'épanouissement ==> la nostalgie

responsabilité politique n'est elle réservée qu'a ceux qui nous gouvernent ? (Pouvoir) Le pouvoir est-il oppressif ? (Pouvoir) Tout pouvoir est-il oppressif ? (Pouvoir) Texte de Machiavel sur le pouvoir: " Un prince bien avisé ne doit point accomplir sa promesse lorsque cet accomplissement lui serait nuisible…" Dans quel régime le pouvoir de faire la loi appartient-il au peuple ? (Pouvoir) La démocratie est-ce l'arbitrage du premier venu ? Préjugé Sommes-nous tous prisonniers des préjugés? Peut-on

vertu de mémoire et la mémoire elle-même comme vertu ». L’infidèle manque de constance dans la mémoire. La fidélité est aussi perçue comme un engagement sérieux, ce qui suppose une mémoire maintenue ou un serment que l’on n’oublie pas. Ainsi, la promesse tenue suppose la fidélité qui la maintient, quelques soient les circonstances et la durée. Cependant, la fidélité n’est-elle pas nécessairement fidélité à un autre ou devant des autres, plutôt que fidélité par rapport à soi ?     1) Concrètement

passion et les discours des choses. Avant qu’il soit proféré en salle de classe, le langage littéraire a déjà circulé en tant que discours public, dans le but de guérir cette faille par la rédemption des passions et du politique – mais malgré cette promesse de guérison, il continue à circuler à l’intérieur d’une économie fétichiste destinée à conserver la faille qu’il promettait de guérir. Et l’énergie du discours littéraire qui soutient l’objet de sa rédemption prend source dans la passion des choses

L’évacuation du bonheur de la vie morale est-elle vraiment pertinente ? B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ? C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ? En guise de conclusion, un exercice : la fausse promesse est-elle toujours condamnable? Bibliographie Introduction Qu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs, tente de répondre à cette