Nietzsche La Promesse

encore pires, Machiavel tente de montrer une voie pour en sortir. La méfiance omniprésente dans son raisonnement vis-à-vis de la nature Humaine on assiste à la naissance unique d’un homme de terrain, d'un théoricien de génie, d'un écrivain dont Nietzsche fera l'éloge stylistique, et d'une honnêteté pratique et intellectuelle complète. Althusser dira de lui qu'il était pour toutes ces raisons un penseur de l'impossible. Malgré cette réputation entachée par la méconnaissance et l’église, Machiavel

de nous enfermer dans une spirale infernale de d’hypothèses. Comme le dit un adage commun, « on peut refaire le monde avec des ‘’si’’ », et ce genre de questionnement, lié à un attachement trop grand au passé, freine l’homme dans sa progression. Nietzsche s’inscrit dans la même lignée, et pour lui, se défaire de son passé est nécessaire au bonheur : « Il est toujours une chose par laquelle le bonheur devient le bonheur : la faculté d'oublier ou bien, en termes plus savants, la faculté de sentir les

exploitées pour terroriser les hommes. Mais ce sont Marx, Nietzsche et Freud qui, dans les temps modernes, ont été les adversaires les plus virulents de la religion. Pour Marx, elle est l’ « opium du peuple » qui permet d’oublier la misère réelle en faisant miroiter un improbable paradis pour les justes. Pour Feud, elle est une illusion qui infantilise les croyants en prétendant qu’un Père bienveillant veille sur chacun d’entre nous. Pour Nietzsche, « Dieu est mort », et c’est nous qui l’avons tué

sur les autres, une monade sans porte ni fenètre (Leibniz); il est nécessairement un je qui est un autre et il est toujours en jeu avec soi et les autres, jeu dont il est l'enjeu pour lui-même (la recherche du bonheur comme contentement de soi). Nietzsche dévalue la conscience car il reste hanté par le mythe nostalgique et naturaliste de la vie comme puissance animale inconsciente, prééthique et innocente (ce en quoi il appartient à la culture allemande jamais libérée de la religion de la "bonne nature

l’Université Saint Augustin de Kinshasa, le professeur Willy M. Okey, dans son tout récent ouvrage[7], de repenser la politique. CHAPITRE PREMIER  LE CREDO MACHIAVÉLIEN I.0. Introduction « Combien il est louable à un prince de respecter ses promesses et de vivre avec intégrité, non dans la fourberie, chacun le conçoit clairement. Cependant, l’histoire de notre temps enseigne que seuls ont accompli de grandes choses les princes qui ont fait peu de cas de leur parole et su adroitement endormir

« fait » – je désire ou je ne désire pas – un « faux désir » … est-ce toujours un désir mais qui n’aurait pas la valeur de celle qu’il paraît promettre ? Du coup, ce qui serait faux ce n’est pas la réalité du désir lui-même, son existence, mais la promesse que j’en attends ? Désir Tension vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Comme objet, c’est ce à quoi nous aspirons ; comme acte, c’est cette aspiration même qui s’origine

entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois") Le problème métaphysique de l'existence de Dieu dépendant de la représentation de son essence. La pensée philosophique est-elle compatible avec la théologie ? Qu'en est-il du "Dieu est mort" de Nietzsche ? Que faire de l'athéisme de Feuerbach et Marx ? Théologie et science ? Panthéisme ou Monothéisme ? Agnosticisme ? Psychologisme ? Mysticisme ? Le problème du mal dans le monde et théodicée ? Le problème de la morale ? Ontologie et théologie ?

à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, par des êtres qui n’ont ni le titre, ni la science ni la vertu. » V°/ Etat totalitaire - Hannah Arendt, Le système totalitaire VI°/ Critique de l’Etat - Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, : « l’Etat est le plus froid de tous les monstres froids, il ment froidement et voici le mensonge qui s’échappe de sa bouche : « Moi l’Etat je suis le peuple » » L’Etat est-il une machine de pouvoir destructrice et aliénante

doublement symbolique. Pour un personnage qui erre perpétuellement, la gare symbolise tout d'abord la possibilité de s'échapper de la prison que constitue la société et d'aller vers une vie meilleure. A l'instar de Rimbaud, Z voit dans la gare la promesse d'un ailleurs et une sorte d'antichambre de l'Afrique où il rêve de se rendre..... -rêve de l'Afrique où il neige : rêve d'un ailleurs...Chez K, l'Afrique ne renvoie pas à une réalité géographique : c'est la « métaphore même de la vie » (citation

de la moralitéA- L’évacuation du bonheur de la vie morale est-elle vraiment pertinente ?B- L’action bonne kantienne est-elle possible à l’homme ?C- L'action bonne kantienne est-elle vraiment louable ?En guise de conclusion, un exercice : la fausse promesse est-elle toujours condamnable?Bibliographie  |   |   IntroductionQu’est-ce qui fait que mon action peut être qualifiée de morale ? Kant, dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs, tente de répondre à cette question. Il y répond d’une