Note Argumentative

la proximité de la mort, s’évanouit et reste inconscient. Revenant à lui quinze jours plus tard, le 23 novembre 1654, entre dix heures et demi et minuit et demie, Pascal a une intense vision religieuse qu’il écrit immédiatement pour lui-même en une note brève, appelé le Mémorial en littérature, commençant par : « Feu. Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, pas des philosophes ni des savants… » et qu’il conclut par une citation du Psaume 119,16 : « Je n’oublierai pas ces mots. Amen. » Il coud

aux mythes antiques, permettent au poème d’illustrer ses idées, tout en maintenant la force poétique du sonnet. Si les références à l’Antiquité font partie de la poétique du poème, il n’en demeure pas moins un fond argumentatif. La dimension argumentative du poème Au-delà de la force poétique du poème, on relève une force incisive du poète pour persuader son destinataire. Il semble intéressant de s’attacher aux divers procédés dont use Ronsard pour dénoncer la superficialité de la Cour et par

Commentaire de texte sur « Les obsèques de la Lionne » (1668) Introduction : « Les obsèques de la lionne » situe l’histoire dans la monde des animaux. Une visée argumentative permet à La Fontaine de critiquer indirectement la cour de Louis XIV. Comme La Rochefoucauld dans ses Maximes, Jean de La Fontaine analyse les comportements humains et critique les institutions de son époque ainsi que le pouvoir royal. La Fontaine va faire de cette fable un récit vivant, dynamique qui va séduire les

hommes des femmes , les beaux magasins... ce fiacre cet homme cette femme ce fiacre... les belles marchandises »). Le lexique frappe par sa simplicité qui confine à la pauvreté : « les magasins sont « beaux », les marchandise sont « belles ». Le poète note, sans y rien changer ou expliquer, ce qu'il voit ou éprouve, comme un enregistrement « impressionniste ». L'emploi des impératifs, les valeurs du présent font du poème un « discours » vivant, comme immédiat et instantané. Ainsi, par l'enthousiasme

la dédicace à la reine et avant la liste des articles de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne , O. de Gouges fait une adresse aux hommes, sous la forme d’un discours polémique, utilisant la stratégie argumentative de l’attaque. En prenant ainsi à parti les hommes, elle veut montrer l’injustice de la

Peste » où le rapport, dans le temps, est plus universel. De plus, leur but stratégique ne sont jamais les mêmes et ils ne s’adressent pas toujours aux mêmes personnes aux mêmes époques. Commentaire : Ce texte fait partie d’un ensemble de note non-publié où l’auteur, Victor Hugo, y rassemblait des « choses vues » (d’où le titre) qui l’eu interpellé d’une quelconque façon dans sa vie quotidienne. L’histoire, de ce texte, que rapporte Victor Hugo dans ses carnets, se passe en 1846, deux ans

sans combattre. Ainsi, ils ont des « biens » alors que le soldat n’a rien, ni même sa vie qui ne lui appartient plus sur le champ de bataille. -       Refrain final : Craonne – Refrain final Le texte change afin de terminer la chanson non sur une note fataliste mais au contraire optimiste et révolutionnaire. Le poilu menace de cesser les combats (en évoquant « la grève ») et affirme que les rôles seront renversés : « Ce s’ra votre tour, messieurs les gros, De monter sur l’plateau« . - > La musique

l’orthographe ou l’écriture, d’autres pas…). Dans la vérification de la compréhension, la priorité est accordée à la compréhension globale, à l’échelle du texte (questions 1, 2, 5) ou du paragraphe (question 4). La question 5 explore la dimension argumentative du texte. Elle amène également l’élève à donner sens aux informations lues en les rapportant aux connaissances qu’il a de la situation belge. Les questions 9 et 10 permettent d’attirer l’attention du lecteur sur les choix de mise en forme linguistique

réussir dans la société et veut dominer mais il se perd lui-même. Lorsque Dino Buzzati écrit cette nouvelle, il sait qu'il va mourir (cancer), il se questionne sur la mort et la vie. On note que son recueil connaît un pessimisme ambiant. Enfin, cette nouvelle, d'abord descriptive, est, en réalité à visée argumentative : c'est une critique d'une partie de la société d'aujourd'hui qui crée ces « monstres modernes ». La vie devient alors absurde.

Anouilh, La fourmi est elle présentée comme particulièrement économe, certains diront même « radine ». Ce sont ces mêmes personnages qui sont sans cesse amplifiés qui donnent leur charme aux fables et qui donnent du plaisir a la lecture. On note cependant que bien souvent les morales des fables se contredisent pour une même histoire et donc ne laisse pas de réels messages. L’histoire n’illustre donc pas totalement la morale, par exemple la version du Corbeau et du Renard de Phèdre et celle