Noumène

est l’incarnation d’une « Idée » à laquelle l’esprit humain accède par une « conscience vraie ». Bergson affirme que le monde n’est qu’un ensemble d’images : « nous ne sommes assurés 18 19 Voir définition S’oppose à phénoménale. Vient de « noumène » qui signifie chose en soi au-delà de toutes expériences possibles. immédiatement que de l’idée que ce soit l’idée de la pensée ou l’idée des choses corporelles ». Pour Brunschvicg : « je crois toucher et voir ce qui m’entoure. En réalité, la

connais seulement comme je m'apparais à moi-même, non pas comme chose en soi. » Comme je m'apparais à moi-même veut dire comme phénomène, c'est à dire que je me représente à travers ma sensibilité et ma catégorie de pensées. Une chose en soi est une noumène, les choses telles qu'elles sont indépendamment de nos catégories de pensées, de perception et de représentations. Une connaissance de soi par soi est donc impossible. Le rapport à autrui est indispensable. « Autrui est le médiateur indispensable

renvoie étymologiquement au grec krinein, qui signifiait juger une affaire (au sens juridique). La raison organisera donc un procès de ses propres prétentions, « dogmatiques », à connaître des objets situés par delà l’expérience, appelés par Kant noumènes (par contraste avec les phénomènes). Bien que restrictive, cette tâche permet aussi, en limitant le savoir et en départageant clairement le champ du savoir et celui de la croyance (spéculation), de mettre en sûreté tous les acquis du savoir contre

par la science. Si l’on en croit Bachelard, dans Noumènes et microphysique, la physique quantique remet complètement en cause notre rapport empirique au monde, d’une part car les objets quantiques sont inaccessibles au point que c’est leur théorisation qui nous semble plus réelle que les phénomènes eux-mêmes ; d’autres part car la traduction mathématique des objets quantiques apparaît comme de nouveaux noumènes, en ce qu’elle explique une réalité profonde accessible

…………………. ALMAS Lu et approuvé CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE DETERMINEE Entre les soussignées : La société ALMAS Z.I. Chebedda 1135 Chebedda – Naassan D’UNE PART Mr : Nouméne Manai ……………..ci- après dénommé l’employé Né le : 15 avril 1980 C.I.N.n° : 07081369 du 23-04-2003 à Tunis  Adresse : Mghira centre Fouchana Ben Arous

déjà défini G. Bachelard dans son étude sur le nouvel esprit scientifique : « la nécessité de l’expérience étant saisie par la théorie avant d’être découvert par l’observation, la tâche du physicien est d’épurer assez le phénomène pour retrouver le noumène organique » (Bachelard 1968). Une telle conception permet de comprendre la démarche scientifique moderne, c’est-àdire la maîtrise d’énoncés de haut niveau, principes ou lois générales que l’on retrouverait ensuite, suivant une méthodologie déterminée

| | |La chose en soi n’existe pas en autre chose. | | |Chez Kant, la chose en soi ou noumène désigne ce qui n’est pas accessible à la raison et s’oppose alors au | | |phénomène. | |entéléchie

existence. La vérité est tjs relative, la réalité est tjs absolue. Rq : la vérité n’est pas subjective, cad relative à chq sujet, elle est universelle mais elle ne vaut que pour l’homme. Réf à Kant : Critique de la raison pure : distinction entre le noumène ( = réalité telle qu’elle est en elle-même, c’est ce qui est absolu, mais on ne peut pas le connaître) et le phénomène (=la réalité telle que l’esprit humain peut la concevoir) ⎝ La connaissance présuppose tjs une mise en ordre de la réalité d’après

dogmatique » en ce sens que la Raison doit être capable d’apercevoir ses propres limites. Sur la question de savoir si l’on peut connaître le Réel, Kant fait une série de distinctions capitales. 1) Il faut distinguer la réalité « en soi » (les « noumènes ») et ce que nous pouvons en apercevoir effectivement (les « phénomènes »), d’abord par l’intermédiaire de nos sens ; même après le travail de conceptualisation et d’abstraction, jamais l’esprit ne peut prétendre cerner l’Etre d’une chose, d’abord

est précisément le problème du pont. Or nous l’avons vu, c’est un faux problème. Pourtant, ce n’est pas la seule contradiction de l’idéalisme. 1° L’idéalisme prétend que nous ne pouvons pas connaître les essences et les « choses en soi » (les noumènes). Or il y a au moins une chose en soi que l’idéalisme prétend connaître très bien : c’est l’essence de l’intellect humain. « Toute épistémologie idéaliste, écrit Jacques Maritain, est une doctrine se réfutant soi-même, un héautontimorousmênos parmi