Nouvelle école Keynésienne

universitaire : 2013 /2014 I – les grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique de Nickolas kaldor  I – les grands

1970:École se reconnaissant des Néoclassiques Ecole de Chicago:Monétaristes(FRIEDMAN) Il montre le rôle déstabilisateur à CT de la monnaie dans le domaine des prix+ tx de change Ecole des choix publics:JOHN BUCHANAN Il veut établir une méthode de choix qui permettrait d'optimiser les transferts sociaux Ecole de l'économie de l'offre (REGAN/LAFFER) Elle montre le caractère dissuasif de niveau d'imposition trop élevé sur le travail,l'épargne et l'investissement Nouvelle Ecole Classique

École néoclassique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Néoclassique. L'école néoclassique est un terme générique utilisé pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d'offre et de demande sur un marché. L'hypothèse de maximisation de l'utilité qui sous-tend ses calculs économiques la rattachent au courant marginaliste

inflation. C’est le début de la fragilisation des idées de Keynes : ils ne savent pas expliquer la situation, qui est le résultat de 30 ans de Keynésianisme. * FRIEDMAN est le fondateur du monétarisme ($ as good as gold) * 1972 : NEC (Nouvelle École Classique) qui introduit la notion de cycle. Socialisme : * 1840 : PROUDHON, chef de file des anarchistes. Il y a plusieurs branches dans le socialisme, qui ne sont pas toutes en accord. * 1848 : MARX et le marxisme. Manifeste du

a trois écoles dans ce courant: École de Lausanne, c’est le travail de Walras et de Pareto. École de Vienne, c’est le travail de Menger. École de Cambridge, le travail de Jevons. Ce courant défend le progrès et la propriété privée c'est-à-dire que les individus sont poussés par l’intérêt individuel. Ils sont contre la logique de la propriété collective. C’est l’idée que la justice sociale doit se mérité par le travail. Ils vont développer une nouvelle théorie de la valeur c’est la valeur

d’aboutir aux objectifs visés ? Sinon pour quelles raisons ? Dans le but de répondre à toutes ces interrogations, nous utiliserons la théorie keynésienne de la politique économique et les différentes critiques dont elle a fait l’objet, il s’agit de la critique de Milton Friedman, et de celles de la nouvelle macroéconomie classique également appelée école des anticipations rationnelles. Nous nous rendrons compte que malgré de nombreuses critiques de la politique conjoncturelle budgétaire, les Etats

préoccupation spécifique de l’Espagne qui était de converser dans le pays l’or qui venait de ses conquêtes. On retrouve aussi se soucie au Portugal, en Italie ou d’autres pays européen tels l’Angleterre. L’augmentation de la richesse, selon cette « école ». B. Le mercantilisme Anglais Le mercantilisme commercialiste, qui est représenté par des hommes tels que, Thomas MUN (1571-1641), William PETTY (1623-1687) et David HUME (1711-1776). Ces acteurs font l’apologie de l’enrichissement par commerce général

qu’on avait réussi à les domestiquer grâce aux politiques keynésiennes. La crise des 1970’s va mettre fin à cette illusion et va mettre fin au consensus keynésien, et c’est pour ça que va s’ouvrir une période de grande diversité dans l’analyse contemporaine des cycles. Aujourd’hui, alors que les analyse marxistes et néo-schumpétériennes mettent l’accent sur la dimension structurelle de la crise des 1970’s, les auteurs néoclassiques et keynésiens soulignent le rôle joué par les facteurs conjoncturels

gouvernements n’ont pas compris que c’était la crise qui entrainait le déficit budgétaire. Ils pensaient l’inverse ! 3.2.) Les nouvelles politiques économiques : Le New Deal américain et ses applications en France 3.2.1) Le New Deal aux Etats-Unis Roosevelt (1933), un démocrate qui succède au président Hoover (un républicain), propose un programme : Il propose une nouvelle conception des dépenses publiques auxquelles il attribue un rôle de relance. Il propose trois choses : * Stimuler les dépenses

rencontré des problèmes d'antisémitisme De 1941 à 1943 il travaille comme conseiller auprès du Département du Trésor des États-Unis sur la question des taxes pour financer l'effort de guerre. Porte-parole du Trésor, il défend alors une politique keynésienne** En 1943, il rejoint l'université Columbia où il travailla pendant le reste de la guerre comme statisticien. En 1945, il rend à Columbia sa thèse de doctorat, En 1945 et 1946, Milton Friedman enseigne à l'université du Minnesota,Puis à l’Université