Nouvelle école Keynésienne

l’analyse Keynésienne : * Le rôle de l’incertitude : La plupart des décisions économiques doivent prendre en compte l’avenir ce qui pose évidemment des problèmes vu que l’incertitude interdit le calcul. L’économie est une science sociale qui est tributaire d’événements historiques variés qui sont en général difficiles voire impossibles à prévoir. * Le principe de la demande effective ( = demande globale anticipée ) Le renversement le plus évident introduit par la théorie Keynésienne est l’idée

entrepreneurs. De plus, l’investissement même provoque une épargne qui lui est égale par les variations de la production. 2. La révolution keynésienne Keynes et la révolution keynésienne « La Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » paru le 4 février 1936 propulse Keynes au premier rang des économistes du vingtième siècle. La formule de «révolution keynésienne » apparaît pour la première fois dans le titre de l’ouvrage de Lawrence Klein en 1947. Elle désigne un moment de la grande transformation

explications sont elles plus importantes ? 5°)Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l’État a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants

économique depuis Keynes Oeuvre de Kaynes ambigue et multiforme = controverse chez ses hértiers. Années 1950-60 : guerre des deux Cambridge : - keynésiens outre Atlantique = synthèse avec la pensée néo-classique - disciples anglais = défenseurs de l'orthodoxie de Keynes Parrallèlement, ertains libéraux (Friedman) réfutent tte conciliation avec les keynésiens. Echo particulier ans les années 1970-80. De plus, deps 1945, ++ hétérodoxies (marxisme/institutionnalisme) On serait tenté de dire que le

changement de mentalité, dans lequel le travail prenait davantage de valeur par rapport au commerce pur. C’est la célèbre thèse de Max Weber (L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, 1905). Il explique qu’avec la Réforme, le travail devint une nouvelle vertu : auparavant destiné à la seule survie, il devint l’origine de la richesse et de son accumulation qui, selon la logique protestante de la prédestination, serait un signe d’« élection divine ». Le travail et la richesse qu’il produit concourent

mercantalistes et physiocrates SOMMAIRE : 1) économie classique 2) économiste néo-classique 3) économistes keynésiens 4) la remise en cause des hypothèses keynésiennes Différents courants de la pensée économique : école Mercantilistes physiocrates Classique keynésiens marxistes Néoclassique néo-keynésien Marginaliste Mercantalistes : (Fin XVI° ; début XVII°)

doit se substituer à une appropriation collective. 4 LES NÉO-CLASSIQUES De nouvelles écoles, qui renouvellent la pensée classique, apparaissent à la fin du XIXe siècle. Les écoles (Cambridge, Lausanne,Vienne), qui soulignent comme les auteurs classiques l’efficacité des mécanismes de marché, recourent à une utilisation plus importante des mathématiques en effectuant notamment une analyse à la marge. 5 LE COURANT KEYNÉSIEN Rompant avec l’approche néo-classique, J.-M. Keynes (1883-1946) effectue un

tenter d’expliquer voire de solutionner des problèmes qui se produisent dans notre économie contemporaine. Joseph Schumpeter (1883-1950), François Perroux (1903-1987), John Kenneth Galbraith, Karl Polanyi (1886-1964), Albert Hirschman (1915.) Ecole de la régulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, André Orléan _Amartya Sen (1933.) L’économie est une science morale (1999)_ Crise de 1929 et Keynes Dans ce siècle, nous avons connu deux grandes stratégies économiques : le Keynésianisme (2)

------------------------------------------------- I°)Petite présentation de la science économique. Objectifs : -présentation de l’objet de la discipline -montrer l’intérêt de la connaissance des idées économiques, leur actualité. 1)L’émergence d’une nouvelle discipline. Aujourd’hui en 2010 les références à l’économie font partie de notre quotidien, les médias évoquent continuellement les questions liées à la croissance économique et à ses moteurs comme par ex le commerce extérieur ou la consommation

l'apparition du système capitaliste, il faut d'abord comprendre le poids de la religion, et ensuite comprendre l'emprise de la structure féodale sur la société. Le poids de la religion entre le XXe et le Xve siècle interdit toute réflexion économique nouvelle car l'église (càd le pape) prône un désengagement total vis-à-vis du pouvoir temporel. Les premiers économistes doivent donc rester discrets. Pour autant, l'église prône par exemple l'interdiction du prêt à intérêt, ce qui montre qu'elle n'hésite