Objection De Conscience

le fait d’avoir de l’argent, de l’amour, de la gloire, du plaisir, etc mais force est de constater que cet « essaim » d’objetss qui nous satisfont lorsqu’on les obtient, ne suffisent pas en eux-mêmes à apporter ce bonheur que l’on en attendait. Objection que Socrate fait à Menon qui lui explique un « essaim » de choses qui font la vertu, C’est Epicure dans sa lettre à Ménécée, qui cherche à savoir ce qui produit « réellement » le bonheur. Pour lui, c’est une entreprise de désillusion et cette entreprise

thèse 2 : la raison n’est pas seulement un outil, un moyen pour parvenir au bonheur, la vie rationnelle est le seul bonheur véritable ou le plus stable, etc : cf le stoïcisme 3eme partie par retour à la première : possible mais pb de répondre aux objections de 2 et de ne pas répéter les arguments de 1 : on aurait pu commencer par l’expression du langage courant : « se faire une raison », et essayez d’en tirer des conséquences négatives pour le bonheur3eme partie par contradiction : la raison n’est

scientifique. Ce à quoi Freud cherche à répondre dans ce texte, c’est à la critique selon laquelle il n’aurait pas le droit de travailler scientifiquement avec cette hypothèse. Qu’est-ce qui, dans la notion « d’inconscient », semble justifier cette objection ? Il semble évident qu’il ne peut y avoir de science que dans ce qui est observable : comment travailler scientifiquement avec un objet que personne n’a jamais perçu directement et que, par définition, personne ne percevra jamais ? La recherche scientifique

l'éducation reçue certaines habitudes de pensée et certaines idées, sans peut-être avoir conscience de leur origine. Mais, justement, cette inconscience témoigne de ce que je ne les possède pas. L'éducation et la culture jouent un rôle considérable sur la constitution d'une personne. "L'homme est ce que l'éducation fait de lui", dit Kant. Sans autrui, l'enfant n'acquiert pas la faculté de parler, ni la conscience de soi, ni la capacité de raisonner. Par conséquent, ce que je suis, j'en suis redevable

Cela présuppose de se conformer à la loi sans engager le jugement personnel. Chez Hobbes, on parle de positivisme juridique, avec sa thèse selon laquelle le juste s'identifie au légal. Pour lui ce ne peut être qu'à la loi civile, et non à la conscience individuelle, qu'il appartient de prescrire les règles du juste et de l'injuste et la première des règles est d’obéir à la loi. Il semble donc logique d’être juste dès lors que l’on obéit à la loi car elle semble elle-même faire la justice. Cependant

peut varié d’un individu à un autre c’est pourquoi elle est souvent qualifié de subjective. La science, par contre emploi une méthode constrictive pour permettre à l’homme d’agir sur la nature afin de la transformé. Elle procède toujours par une objection et une expérimentation pour parvenir à des résultats objectifs qui s’impose à tous, d’où elle est dite objective. En somme la science recherche “le comment” du phénomène de la nature alors que la philosophie ce demande toujours “pourquoi”. I V-

Nous ne naissons pas libre, puisqu’à notre naissance nous ignorons ce qu’est la liberté. Et comment posséder vraiment quelque chose dont on ignore l’existence? Elle peut être à moi, je ne la possède pas. Or, à un moment de notre vie, on prend conscience de cette pleine liberté qui est la notre. C’est donc qu’il y a un parcourt, un apprentissage de la liberté, qui se fait au cours de notre vie. Cela suppose en même temps un degré maximum de liberté, une liberté totale. Comment se fait cette acquisition

pas qu'on ne peut battre la raison, qu'avec ses propres armes. Il lui faut donc convaincre « Socrate », ainsi qu'il désigne la figure de son adversaire kantien, qu'une morale post-conventionnellle de la conscience (morale) ne peut devenir ce autour de quoi se cristallise une vie conduite en conscience que si elle s'inscrit dans une compréhension religieuse de soi17.» C'est le désespoir devant l'impossibilité d'être soi qui révèle l'impuissance de la raison. Louis Dupré évoque cette impuissance en ces

l’affirmation de la rotation de la Terre autour du Soleil sont-elles des vérités universelles et objectives – ce pour quoi on ne saurait y résister. La vérité est universelle, elle requiert l’adhésion de tous – sans quoi elle n’est pas la vérité. B. La conscience, immédiatement accessible et transparente à elle-même, est indivisible Étymologiquement, le kriterion (« critérium ») est la règle d’appréciation du vrai, le moyen de discerner le vrai du faux. Or le critère de la vérité, c’est l’évidence, c’est-à-dire

premier temps de travail est probablement le plus crucial ; il mérite donc d’être traité sérieusement et avec un maximum de rigueur. Votre sujet se présente toujours sous forme de question. Mais comprendre la question, ce n’est pas encore prendre conscience du problème posé. Il faut donc comprendre le problème qui se cache derrière la question. Mais qu’entend-on par problème en philosophie ? Un problème est une recherche sur une question qui, en l’absence d’arguments décisifs, suscite un débat (Aristote