Objection De Conscience

...........  9   2-­‐  Phase  2  :  Une  argumentation  efficace  et  appropriée  au  client  ..............................................  10   3-­‐  Phase  3  :  Traiter  les  objections  et  conclure  la  vente  ...................................................................  11   C-­‐  Un  soutien  de  la  hiérarchie  dans  la  vente  .......................................

Stage : la conscience est-elle le propre de l’homme ? Le but de ce stage est de s’interroger sur la signification du terme de conscience de soi chez l’animal. Selon une certaine approche humaniste, l’animal est dépourvu de conscience (de soi) et en conséquence est dépourvu de droits, de sensibilité. Or, les connaissances dans le domaine de l’éthologie ont permis, depuis les années 70, de mieux connaître « le monde animal ». Dans cette perspective, il serait

nous dit en effet l’expérience ? Elle nous montre que la vie de l’âme ou, si vous aimez mieux, la vie de la conscience, est liée à la vie du corps, qu’il y a solidarité entre elles, rien de plus. Mais ce point n’a jamais été contesté par personne, et il y a loin de là à soutenir que le cérébral est l’équivalent du mental, qu’on pourrait lire dans un cerveau tout ce qui se passe dans la conscience correspondante. Un vêtement est solidaire du clou auquel il est accroché ; il tombe si l’on arrache le clou

aux organismes qui composent notre monde. On peut identifier une première spécificité, ce qui nous distingue d’un objet, est la capacité à dire « Je », « Moi ». Comment apparait cette conscience de soi ? Qu’est-elle exactement ? Quelle forme prend-elle ? Existe-t-elle vraiment ? (cf. cours 1 : La Conscience) La vie psychique de l’homme se réduit-elle à la vie consciente ? (cf. cours de l’inconscient) De plus, l’homme, par l’intermédiaire de ses cinq sens, perçoit et sait qu’il y a d’autres

Theme : Le sujet Notion : Conscience , inconscience , sujet I) Problematique et enjeux A Delphes , sur le fronton du temple de la pythie (oracle du dieu d'Apollon) était écrit ''Connais toi toi-meme''. De cette maxime Socrate fait la tache principale de la philosophie. Dans un dialogue de Platon (Disciple de Socrate) Apologie de Socrate (Socrate est alors condamné a mort par les Athéniens) : '' Moi, athénien, j'obéirai au dieu plutot qu'a vous, et , tant que je respirerai, n'esperez pas

l’instant, nous tendons toujours vers un but. * Le bonheur est pour l’homme un problème : Aristote « la fin des fins », le but suprême, un état idéal * C’est parce qu’il vit dans le temps que l’homme a le souci du bonheur. * Mais si la conscience du temps est la raison pour laquelle l’homme cherche le bonheur, c’est aussi la raison pour laquelle il semble ne jamais être heureux. * Temps vécu comme destructeur (//fuite du temps dans la poésie). Temps = obstacle au bonheur, parce qu’il

une contrainte arbitrairement imposée de l’extérieur, non qu'elle ne sont en effet rien de plus. b) Règles sociales et conscience individuelle Pourtant les règles de vie qui sont admises dans une société ne sont pas nécessairement acceptables comme règles morales pour la conscience individuelle. Sophocle a mis en scènes dans son Antigone la revendication de la conscience qui se réclame des « lois non écrites, inébranlables, des dieux » qui « ne datent ni d'aujourd'hui ni d'hier », pour récuser

malheureux : à peine est-il en repos qu’il tombe dans l’ennui (sens fort de ce terme à préciser à l’aide du glossaire). VI. Raison des effets : victime des apparences, l’homme est incapable d’en trouver les véritables causes. VII. Grandeur : la conscience que l’homme a de sa condition misérable est un signe de sa grandeur, qui est toute entière dans sa pensée. VIII. Contrariétés : les contradictions humaines s’expliquent par le christianisme : l’homme, « monstre incompréhensible » (fragment 163)

présente son argumentation pour que la personne à destination de ces «vous» l'entende: «savez-vous quelle est notre objection principale contre la peine de mort?», or il s'exprime devant la chambre des députés, ce qui montre que c'est elle que désigne le pronom «vous». Robert Badinter, lui, montre plus clairement que ces «vous» s'adresse à cette assemblée : «le choix qui s'offre à vos consciences est donc clair», il montre que les personnes à qui il s'adresse décideront du sort de la loi contre la peine

bonne mine est un Pérou !" ou de l'impatience et de l'exhortation : "Oh! vous m'impatientez avec vos terreurs : eh que diantre !". Une affection à la fois protectrice et grondeuse. Un discours péremptoire : ton moqueur employé pour répondre aux objections de Dorante ð (60livres> 50000livres) : la disproportion mise en évidence semble avant tout le réjouir : cf. l'interjection. Ton critique et moqueur devant les craintes de Dorante, devant la façon trop emphatique dont il les exprime : "vos terreurs"