Objectivité

ce qui est autre que moi, il est ce que je ne peux réussir à connaître totalement. Pourtant, il permet de se connaître, de se différencier des autres et même de connaître le monde, les idées du moi et d’autrui se confrontent pour atteindre une objectivité souvent impossible à atteindre sans un jugement extérieur. Peut-on dire que l’on ne désire que ce qui a du prix pour autrui ? En d’autres termes peut-on désiré autre chose que ce qui est jugé désirable par autrui ? Autrui est une personne étrangère

histoire scientifique; mais il faut qu’elle s’en dégage naturellement, d’elle-même, presque en dehors de la volonté de l’historien.[4] » L’historien doit donc être impartial. Fustel de Coulanges ne se demande pas s’il le peut ou si une telle objectivité est souhaitable. C’est ni plus ni moins qu’une obligation. Il se peut sans doute qu’une certaine philosophie se dégage de cette histoire scientifique; mais il faut qu’elle s’en dégage naturellement, d’elle-même, presque en dehors de la volonté

apporter une couleur au texte.Il sera alors essentiel de décrire l'attitude de l'auteur dans son texte au travers de son type d'écriture,afin d'observer l'opinion de l'auteur et de prendre de la distance au moment du compte rendu afin de garder une objectivité. Le plan du compte rendu comporte une introduction ;rappelant les objectifs et l'objet du compte rendu. Ainsi qu' une conclusion ;synthétisant les points essentiels abordés. Il existe généralement deux types de plan sous formes de classifications :

Ce n'est donc pas un objet comme les autres. Or si l'objet scientifique est construit par l'assentiment de la communauté, peut-il lui-même prétendre à l'objectivité, au même titre que l'on peut parler d'un jugement objectif ? Pour qu’il y ait objectivité, il faudrait être certain que tel objet, tel phénomène, se présente comme tel devant tous les sujets possibles en tout temps. Nous sommes donc conduits à définir de prime abord l’objectivité comme ce qui, d'un objet, est universellement attestable

contredire. On ne peut pas la contredire si ce n’est d’avoir une preuve que cette vérité est fausse . Par exemple dans la science la vérité est toujours remise en question au fur et a mesure de découvertes scientifiques. Cependant, une trop grande objectivité conduit aux illusion et bien quelle fassent vivre, conduisent l’homme au relativisme, a l’indifférence et au rejet de la réalité donc au rejet de la vérité a laquelle il croit. Je pense que la vérité subjective ainsi que la vérité

 RÉSUMÉ CRITIQUE DE M. Weber , «Le métier et la vocation de savant», Le savant et le politique, pp.76-88; M. Lowy, « Science et révolution: objectivité et point de vue de classe dans les sciences sociales», Dialectique et révolution, pp. 202-11, 214-15, 229-36 TRAVAIL PRÉSENTÉ À L'UNIVERSTIÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL COMME EXIGENCE DU COURS POL 1300 À DAVID MANDEL PAR FLORENCE GAGNÉ GAGF25599500 DÉPARTEMENT DE SCIENCE POLITIQUE LE 29 JANVIER 2015 La question de la

les problèmes que l'on a avec les autres ne sont que le reflet de ceux que l'on a avec soi-même ». Cette citation vient ainsi confirmer que la connaissance de soi rencontre des obstacles telles que l'indulgence quant à nos défauts et notre non-objectivité. Nous ne pouvons nous connaître nous même par cause de manque d'objectivité envers nous même mais le problème principal de la connaissance de soi même est la quête perpétuelle de soi. Mais la connaissance de soi par soi rencontre également

l’objectivité présente quelques faiblesses. Dans un premier temps dire; qu’il n'existe pas de point de vue absolument objectif est une idée plus ou moins abstraite. Il faudrait se situer à la limite de l’objectivité et de la subjectivité pour nier toute objectivité. Deuxièmement, la vie de la conscience reste liée à des règles objectives. Le Devoir-être de la conscience est dicté par des considérations objectives. Par exemple faire, dire, ou mange n'importe quoi sans avoir « mauvaise conscience » est impossible

les perçois qu'en tant que je suis un homme et je ne perçois ainsi le monde non pas tel qu'il est mais comme il m'apparaît à travers les formes "a priori de l'intuition". Ainsi, il n'existe pas plus de jugement purement subjectif que de pure objectivité, dans le sens où la pensée s'exerce toujours sur un objet dont le sens est toujours élaboré par un sujet. Lorsqu'on parle d'un jugement de connaissance, cela implique toujours l'effort d'une subjectivité qui veut partager son savoir avec d'autres

d’écrire un roman sans y ajouter son point de vue personnel, et donc d’influencer le lecteur. D’ailleurs, lorsqu’on lit un roman historique par exemple ou politique, on ressent rapidement le point de vue de l’auteur et l’œuvre perd ainsi toute objectivité. Le lecteur qui n’est pas dans le même engagement n’aura pas envie de continuer cette lecture. Ainsi, lorsque Zola évoque le monde ouvrier de cette époque, c’est tel qu’il le perçoit, alors que pour un autre, la vision peut être très différente