Obéissance Et Transgression

explicite disant de se méfier des inconnus qui n'ont pas toujours de bonnes intentions. En plus que le conte soit amusant et plaisant il instruit. Perault rappelle de façon misogyne le rôle de la jeune fille de l'époque. Elle doit avant tout obeissance et ne doit pas être oisive. Nous voyons dans l'histoire que le petit chaperon rouge va transgresser les codes imposés par la société comme parler à des inconnus ( le loup ), s'arreter en chemin en faisant passer son plaisir avant son devoir. Même

première sera consacrée à l’influence majoritaire dans toute leur formes, alors que la deuxième portera sur l’influence sociale minoritaire. PLAN INTRODUCTION AXE I : INFLUENCE MAJORITAIRE I) La formation des normes II) Le conformisme III) OBÉISSANCE ET SOUMISSION AXE II : INFLUENCE MINORITAIRE I) La déviance II) Le conflit III) L’innovation CONCLUSION BIOGRAPHIE DES AUTEURS BIBLIOGRAPHIE ET WEBORAPHIE AXE II : INFLUENCE MAJORITAIRE 1) LA FORMATION DES NORMES Pour mettre en évidence

sa forme ». D’où la contradiction fondamentale que formule Platon : le sage doit à la fois réfléchir à l’idéal de la justice parfaite et obéir aux lois d’Athènes ou aux conventions du pays dont il est le citoyen. b. Preuve par la négative : transgression et tragédie, Œdipe et Antigone. Le héros tragique franchit une limite intangible qui met en danger l’humanité même de l’homme, il met en péril l’ordre de la Cité et le pouvoir des Dieux. Il entre dans la sphère du monstrueux. C’est pourquoi

L'éloge de l'inconstance La constance, faux honneur ridicule DJ utilise Sganarelle comme spectateur. Il s'amuse et entreprend un grand morceau d'éloquence. Il ne parle pas de son cas personnel il dit « on » ou « nous ».Son cas apparaît comme une obéissance des lois générales. Il prend un ton scandalisé, indigné. DJ commente à Sganarelle que ce sont les autres qui sont dans l'erreur à aimer toujours la même personne et que le dévouement ne fait pas partie des aptitudes des grands de ce monde. Il

justice. Le but éducatif : respect raisonné (faire apprendre le sens de la loi, dialoguer, faire prendre conscience), différent du respect obéissant (obéissance par la peur). La sanction apprend le respect des règles différent de la « peur du gendarme » ; la sanction permet de construire une morale par le rappel des mobiles de la loi et des transgressions. - Canivez : si vous voulez des individus dressés : leur faire peur ; si vous voulez des citoyens obéissants mais actifs, il faut qu’ils comprennent

techniques du XXème siècle. La communication apparait comme une arme en politique, aussi efficace qu’une armée ou tout du moins complémentaire, elle sert à dirigé, contrôlé un peuple ce qui en fait une arme absolue car qui contrôle un peuple (avec une obéissance consentie ou tout du moins que le peuple la perçoive comme consentie) ne peut être défait ou très difficilement. Une armée ne peut affronter un peuple, a part si celle-ci n’a pour but sont extermination ce qui arrive très rare (heureusement). Comme

l'accuse (142/143) Elle lui rappelle ce qu'il lui doit (144,153) et le traite d'ingrat. Qu'est-ce que cela vous rappelle? Elle accusait aussi N d'être ingrat devant Albine. Elle lui montre qu'il outrepasse ses droits et qu'il se met en situation de transgression, elle veut lui faire peur. Elle le traite d'outrecuidant Pourquoi Agrippine fait-elle le plaidoyer de Néron au V 158-164? Elle veut soustraire Néron à l'influence de ses conseillers, selon elle il vaut mieux qu'il choisisse des exemples parmi

différence avec d'autres relations de pouvoir. - Les différents types d’autorité. • Le charisme : il désigne une autorité naturelle et immédiate, une sorte de force invisible qui émane de la personne et qui obtient de façon irrésistible, obéissance et admiration. Le charisme a cependant des limites dans le sens où l’on ne peut pas compter que sur ce trait personnel pour faire preuve d’autorité au sein de sa classe. • L’arbitre : Il fonde son autorité sur son impartialité et sa neutralité

[I] A l'opposé de notre conception suivant laquelle l’État est la réalisation de la liberté, [1] nous trouvons l'opinion que l'homme est libre naturellement, [2] mais que, dans la société et dans l’État dont il fait partie nécessairement, il doit restreindre cette liberté naturelle. On entend par là la façon d'être de l'homme dans son existence naturelle, immédiate. [3] En ce sens, on suppose un état de nature et l'on s'imagine que l'homme y vit en possession de ses

ennemis politiquement et la fonction de chacun est rappelée au détour des apostrophes « prince » désignant Britannicus et « seigneur » pour Néron. Ce dernier a eu le trône et est à la tête de l’empire tandis que son demi-frère par alliance lui doit obéissance et soumission. Jean Racine, d’ailleurs , met en relief ce bouleversement de l’ordre des choses , dans le vers 1038 (« Moi pour vous obéir, et vous pour me braver ») Les antithèses « moi » / « vous » et « obéir » / « braver » soulignent cette