Outils De Pilotage Bancaire

............................................................. 11 III.4.2. Appui technique aux IMF ........................................................................................................... 12 III.5. LES RELATIONS AVEC LE SECTEUR BANCAIRE CLASSIQUE ................................................................. 13 II.6. AUTRES STRUCTURES D’APPUI TECHNIQUE ........................................................................................ 13 III.7. PRINCIPAUX ATOUTS ET FAIBLESSES

par : ANTAR Wassim GHANMI Anis ABDELGHANI Nabil La Gestion Actif- Passif : ALM ISCAE 2011-2012 PLAN Introduction Chapitre 1 : La gestion des risques Section 1 : Historiques de la gestion des risques Section 2 : Les principaux risques bancaires Chapitre 2 : la gestion des risques de taux et de liquidité en ALM Section 1 : Facteurs de risque de taux et de liquidité Section 2 : Les indicateurs de gestion Section 3 : Théorie des impasses Section 4 : Taux de cession interne Chapitre

Contrôle interne et Risk-management P5.2. Immobilier et touristique P5.3. Assurance P6. Moyens humains et techniques P6.1. Moyens humains P6.2. Moyens Matériels PDeuxième partie : Déroulement de stage1. Une formation sur l’organisation du travail et les outils utilisés… P2. Les taches effectuées… P3. Les travaux préparatoires des missions d’audit P3.1. Les circularisations… P3.2. L’établissement des « Leads » P4. L’audit et le commissariat aux comptes… P4.1. Audit des comptes de trésorerie P4.2. Audit des

Ces systèmes sont souvent appelés « platesformes communautaires », car ils constituent un réseau télématique reliant entre eux les différents acteurs de la communauté portuaire. Ces systèmes utilisent les outils EDI (=Electronic Data Interchange ou Échanges de Données Informatisées) et les outils du commerce électronique. La généralisation du conteneur maritime a permis de fortes améliorations de la productivité du transport. Les progrès à venir sont liés : • au traitement de l’information, source

COMMISSION BANCAIRE _______________________________________ SECRÉTARIAT GÉNÉRAL _______________________________________ MISE EN ŒUVRE DU PROCESSUS DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE ET D’EVALUATION DES RISQUES (PILIER 2) CRITERES ET METHODOLOGIE UTILISES PAR LA COMMISSION BANCAIRE 1. 2. Introduction ......................................................................................................2 Modalités d’application du processus de surveillance et d’évaluation prudentielle .....

stabilité des prix( c'est à dire un taux d'inflation proche de 2% ) mais en fonction de la politique économique, elle peut aussi agir sur l'emploi, la croissance ou l'équilibre extérieur ( triangle keynésiens). Pour cela elle as à sa disposition plusieurs outils. Afin de maintenir cette stabilité, la banque centrale qui détient le monopole de la création monétaire contrôle l'inflation avec la possibilité d’émettre ou de retirer du système monétaire de la monnaie banque centrale ce qui contribue à la mise

stabilité des prix. Chapitre 1 3 instruments privilégiés - Open market : élément essentiel de la BCE pour le pilotage des taux d’intérêt : ce qu’on veut faire, quand on veut le faire et combien. On va gérer la liquidité bancaire et par nos actions on va montrer dans quelles actions on veut mener la politique monétaire 5 outils pour faire ces opérations. ▪ Repurchase agreement (Repo) : Outil de cession temporaire, sous la forme de pension essentiellement. ▪ Opérations fermes ▪ Emission de certificats

sein de certains secteurs à l’image de l’industrie bancaire car, la nature informationnelle des services financiers permet leur transfert sous forme électronique. De ce fait, chaque vague d’innovations dans les technologies de l’information et de la communication (TIC) a été porteuse d’une forte industrialisation et informatisation des processus qui ont bouleversé les activités de back-office et l’organisation des systèmes d’information bancaires. Accompagnés par une forte saturation des marchés,

------------------------------------------------- L'ENTREPRISE BANQUE 1. – LE CONTRÔLE DE GESTION ET L’ALM Le contrôle de gestion de l’entreprise bancaire * Le contrôle de gestion est un outil clé permettant aux banques de piloter leur rentabilité et de suivre les performances, à ce titre il mesure la rentabilité par centre de profit, accompagner la procédure budgétaire, éclairer les responsables opérationnels et la Direction Générale sur le suivi des performances afin que les actions

Trésorerie Générale du Royaume a initié un grand projet de modernisation de son système d'information et a lancé le programme Système de Gestion Intégrée de la Dépense de l'Etat (GID). Le système d'information budgétaire et comptable dédié au pilotage et à l'exécution de la dépense de l'Etat du Maroc a plusieurs missions: � Réduire les délais de traitement des actes de dépense ; � Optimiser les coûts de ces actes; � Simplifier les circuits et procédures d'exécution de la dépense; � Disposer