Outils De Pilotage De La Performance Bancaire

|Comment ? Avec des méthodes à base de rapprochements, analyses, | |Comment ? Avec une méthode spécifique (consulter chapitre 2). |inventaires. | |Utilisation des mêmes outils (consulter chapitre 2) | Tableau 1.1 : Tableau de comparaison audit interne et audit externe. Malgré ces différences, ces deux fonctions sont complémentaires

ajoutée en milieu bancaire SOMMAIRE Dédicaces Remerciements Glossaire INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE CHAPITRE 1 : CADRE THEORIQUE SECTION I : PROBLEMATIQUE SECTION II : OBJECTIFS DE L’ETUDE SECTION III : PERTINENCE DU SUJET ET HYPOTHESES DE RECHERCHE SECTION IV : REVUE CRITIQUE DE LA LITTERATURE CHAPITRE 2 : CADRE METHODOLOGIQUE SECTION I : LE CADRE DE L’ETUDE SECTION II : DELIMITATION DU CHAMP DE L’ETUDE SECTION III : LES OUTILS ET TECHNIQUES D’INVESTIGATION

m’intéresse » le cheminement de la relation la communication de notoriété la communication produit Rassure et garder la main Après la signature le piège ! La déontologie une forme de marketing individuel ECHANGER SUR DES FAÇONS DE FAIRE  Deux outils de la relation client l’intervention du client mystère L’objectif : analyser finement votre relation client. Cela passe par la qualité de l’outil de travail (éclairage, température, son ou musique, propreté, aspect du magasin ou du lieu d’accueil

L’intérêt de l’étude 1 Méthodologie 1 PREMIERE PARTIE 1 CHAPITRE I: audit : un mécanisme de gouvernance réduisant l’asymétrie d’information dans les banques 1 Section I : Les fondements de l’audit au service de la gouvernance bancaire 1 Section II. L’audit : un outil de réduction du déséquilibre des pouvoirs et de réduction de l’asymétrie d’information 1 CHAPITRE II : Audit et gouvernance des banques au Cameroun : enjeux pratiques 1 Section I : Collecte des données, échantillonnage et

3 Les frontières de l’entreprise 12 1.1.4 La diffusion des systèmes d’information 13 1.2 Un système d’information coopératif 14 1.2.1 L’alignement stratégie / système d’information 14 1.2.2 Les évolutions du Système d’Information 17 1.2.3 Le pilotage de l’amélioration continue sur le système d’information 18 1.3 La sécurité dans un environnement ouvert 20 1.3.1 La montée de la criminalité informatique 20 1.3.2 Le facteur humain 20 1.3.3 La gestion des identités 21 1.3.4 Les processus de

............................................................................... 10 Administration de l’entreprise : finance et RH ................................................................................................................ 10 Pilotage et décisionnel .............................................................................................................................................................. 11 Système d’information existant .....................................

| | | | |Critères de performance | |Dans la conduite du travail :

publique d’investissement (créée le 1 janvier 2013 par la fusion entre CDC Entreprises, Oséo, FSI et FSI Régions) propose aux entreprises (notamment les PME et les ETI) des financements qui passent par l’investissement en capitaux propres et les prêts bancaires. Elle finance aussi l’innovation. A travers le financement des entreprises, BPI France contribue à la compétitivité des entreprises. En 2013, les financements accordés ont représenté 10 milliards d’euros et l’investissement en capital a représenté

retrait et /ou remplacement du personnel. ARTICLE 7 : SUIVI DE L’EXECUTION DE LA MISSION Un comité de suivi sera constitué pour assurer la conduite et la validation des travaux de cette mission. Ce comité sera chargé en particulier : - du pilotage du déroulement de la mission ; - de la réception et de la validation des livrables prévus. Outre les réunions tenues chaque fois que nécessaire, le comité se réunira à la réception des différents livrables objet du présent appel d’offres

INTRODUCTION CONTEXTE BANCAIRE DANS LA CEMAC Les états de la CEMAC ont hérité à leur indépendance de systèmes et de réglementations bancaires érigées pendant la période coloniale. Organisés à l'échelon national, ils se sont longtemps caractérisés par une très grande stabilité. Ceci en raison de la faiblesse du niveau d'activité et surtout parce que les banques n'étaient en fait que des succursales destinés à financer les activités de la puissance coloniale a savoir la France et ses entreprises