Paix Civile Selon Hobbes

DUROSELLE, a connu des développements dans les travaux de Raymond ARON mais rares pour donner à la Sociologie des Relations Internationales une place entièrement reconnue dans ce vaste champ des études internationales. Toujours est-il que l’hypothèse selon laquelle les phénomènes internationaux doivent être appréhendés comme des faits sociaux ne semble pas être formulée de façon à stimuler la réflexion et l’analyse des Relations Internationales. En tout état de cause, cette préoccupation demeure essentielle

des citoyens (comme le génie civil, ils pouvaient faire venir des artisans et architectes pour donner leurs avis, mais prenaient leurs décisions seuls) , sauf pour les stratèges , car il renvoi à l’art de la guerre. Ce qui est rejeté est l’idée de la spécialisation (il n’y a pas besoin de compétence) et de la professionnalisation (ce n’est pas un métier). Platon le conteste dans Protagoras : selon lui ce n’est pas un

guerre et de paix………………………….3 2. Origines et inspirations de la théorie de la paix perpétuelle de Kant…………..4 2.1 Kant, le père du projet de paix kantien ?................................................4 2.2 De l’Union à l’Association….…………………………………………6 2.3. Une vision de la paix en plein essor…………………………………..7 3. La solution kantienne…………………………………………………………...9 3.1. La paix dans la liberté…………………………………………………9 3.2. Les articles préliminaires, ou la transition vers la paix…………….....10

droits naturels comme le fondement des droits positifs. Notre parcours, dans cette première partie de notre travail, consistera à montrer que l’homme a toujours été titulaire de droits naturels aussi bien à l’état de nature qu’a l’état civil. En d’autres termes, il s’agira pour nous, dans le premier chapitre, d’analyser dans un premier temps les droits naturels qui caractérisent l’état de nature et dans un second temps, monter l’organe régulateur de cet état. Dans le deuxième chapitre

|Deuxième traité du gouvernement civil | | | |John Locke | | | |Résumé

Introduction ………………………………………………………………………………... 21 Première partie – L’ETAT D’IMPUISSANCE Chapitre 1. Les nouveaux pouvoirs ………………………………………………………..29 Entreprises sans frontières ou l’ère des Business Titans ! …………………………………...29 La société civiles : le 5e élément ……………………………………………………………..39 Le XXIe siècle : un monde en réseaux ……………………………………………………….47 Chapitre 2. Etat et pouvoir : la fin d’un monopole légitime ……………………………. 65 Naissance et croissance du pouvoir d’Etat …………………………………………………

Durkheim. Un ordre sans défaut. Section 1 : les précurseurs Deux auteurs : Hobbes et Emmanuel Kant Tous deux ont une philosophie du droit, qui procède d’une philosophie politique pessimiste et dans les 2 cas le droit est vu comme antidote du mal et du malheur. Le postulat de ces 2 auteurs : « plus grand est le malheur politique plus fort doit être le droit ». Sous section 1 : Hobbes (1588-1679) Hobbes « le droit est une autorité établie et reconnue » Tout faire pour éviter le malheur

un corps vivant, l'Etat despotique au contraire est semblable à une machine. Cette analogie est d'ailleurs déjà présente chez Aristote ( La Politique ). Mais cette analogie a des limites. Le corps organisé "fonctionne" toujours de la même façon, selon une détermination naturelle (biologique). L'Etat, quant à lui, est un produit "culturel", c'est-à-dire l'objet de décisions humaines, de conventions. Par là même, le mode de fonctionnement de l'Etat est susceptible de remises en cause, de renversements

effet, non seulement cette liberté première est hypothétique mais s’accompagne surtout de désavantages. (Cf. Hobbes, Rousseau et Kant) Pour Rousseau, la solitude est une faiblesse ; bien difficile en effet de se défendre contre les dangers extérieurs. Pour Hobbes, l’état de nature, l’individu se retrouve sous la menace de l’autre. [Il serait intéressant de préciser la conception de Hobbes de l'homme à l'état de nature] Au contraire, la collectivité aura au moins, pour compenser la perte de la liberté

eux-mêmes. Par nature, l’homme serait agressif, violent et incapable de se maîtriser pour vivre en société sans un état fort. Ainsi, Hobbes légitime un état au pouvoir absolu qui garantirait aux individus paix et sécurité. Pour cela, ils devraient remettre leur pouvoir et leur force à un seul homme à qui ils confieraient également leur liberté. Pour Hobbes un Etat juste est donc assimilable à un Etat fort au pouvoir absolu. Rousseau, quant à lui, loue le caractère pacifique et heureux